Comme vous l’avez sans doute constaté, les colonnes de la Gazette restent désespérément vides ou plutôt, on y lit le même article encore et encore depuis des semaines.
Bien que j’apprécie mes propres articles, qui me rappellent à chaque relecture combien je suis talentueuse dans tout keske j’entreprends, ici, à la Rédac’, on a quand même envie d’un petit brin de nouveauté.

C’est pour ça qu’on (je) a eu cette idée de concours de pouésie. On vous explique ?

La Gazette aussi en pénurie
Je sais pas si c’est la flemme, la grève ou si c’est parce qu’iels sont toustes occupé·es à draguer à la taverne ou à préparer leurs zépousailles, mais en ce moment, la Gazette souffre cruellement d’un manque d’activité.
Ceci dit, personne ne nous en tiendra rigueur, à par les zig ou sto péquenaud·es qui ont pris l’abonnement et qui se demandent sûrement pourquoi iels payent.

Ben parce qu’il faut rémunérer les auteurices, parschni !

Toujours est-il que plutôt que de harceler les journaleux·ses et de prendre une plainte pour avoir surmené les chroniqueuses, je me suis dit que j’allais essayer de mettre les lecteurices à contribution.

Et oui, cher public, si tu veux lire, il va falloir écrire !

La Gazette organise un concours de pouésie
Je sais keske tu vas me dire : oui, mais je sais pas, et pis j’ai pas ton talent, et patati et patatras.
Parce que vous croyez qu’on en a ? Oui, bon, c’est vrai, on n’est pas dénué·es d’un certain talent qui transpire dans chacun des mots qu’on a l’audace de coucher sur le papier.
Oui, mais peut-être que toi aussi, t’en as ? Qui sait ? T’as ptet pas bien regardé.

Si jamais le courage te prend et que tu veux voir ton nom dans la Gazette, tu peux toujours postuler comme journaliste, mais sache que j’ai déjà bien assez de flemmeux·ses à nourrir pour m’encombrer d’une nouvelle recrue. En revanche, si tu te sens l’âme d’un·e pouète·sse, n’hésite pas à glisser tes œuvres dans ma boîte à missives !

À toi la gloire, à nous les struls !
Alors vite, sors ta plume de ton postérieur et trempe-la dans l’encre de ton inspiration pour me pondre ton plus beau pouème et deviendre, qui sait, le nouveau Beau de l’Air ou le fameux Rein Beau !

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Si vous êtes radin·e, ou si vous êtes fauché·e, ce qui est probable si vous n’êtes pas abreuvé·e au robinet des Struleone, la Gazette de Vluxtrznbnaxl a compilé pour vous les blaz meilleures astuces pour allez vous faire cuire un noeunoeuf sans débourser kah seul strul (la zigième va vous étonner !)

Un œuf de pioupiouk sur le bitume
Ce matin, vous êtes allé·e vous balader dans la jungole et, coup de bol Popol, vous avez trouvé un nid de pioupiouk. Zigouble coup de bol, il contenait des œufs de pioupiouk tout frais ! Mais voilà, vous n’avez plus un strul en poche et le prix de l’électricité n’arrête pas de monter.

Et pas question de gober ce noeunoeuf tout cru, sa texture glaireuse vous rappelant trop prestement les morves de votre jeunesse que vous racliez du fond de votre gorge avant de les avaler ou de les cracher sur JF Sebastien.

Pas de souci, on a la solution ! Attendez que le baromètre dépasse les kahgozglap degrés Celpoivre et cassez votre oeuf de pioupiouk sur le trottoir. Attendez patiemment le temps nécessaire en veillant à ce qu’aucun·e passant·e ayant marché dans un excrément de kramouth ne piétine votre déjeuner.

Quand c’est cuit, vous n’avez plus qu’à vous agenouiller pour déguster. Zamen !

Des lobriks grillés avec une oculoplastoupe
D’aucun·es ont utilisé cette technique pour allumer un feu et y griller leurs lobriks. Gaspillage de temps et d’énergie, clamons-nous à ces inconscient·es qui n’ont que du flan à la place du neurone.

Pourquoi risquer de foutre le feu au BBB quand on peut directement placer les lobriks sous la loupe et profiter du spectacle de leur petit corps frétillant et friturant en achedé ?!

Un grazouk cuit à l’étouffée dans le bureau du lécheur de timbres
Tout le monde a dans son entreprise un lécheur de timbres ! Si vous n’en avez pas, il faut vite en trouver un ! Car de lui dépend la cuisson de votre pitance !

Quand vous l’avez trouvé, rendez-vous dans le cagibi vitré qui lui sert de bureau. Déposez votrez grazouk farci au pioupiouk sur son bural et attendez zig à sto jours. Quand ça commence à sentir, c’est que c’est prêt !

Du Gloutella à boire !
Personne n’y avait pensé ! Pourtant, il n’y a rien de plus aisé que de faire fondre le cœur de l’être aimé un jour de canicule ! Pour siroter un bon petit Gloutella liquide mi-chocolat mi-huile mi-molette, il suffit de placer le pot dans votre ziclick dès que la température extérieure atteint la température escomptée.

Quand le chocolat et l’huile forment zig couches distinctes, vous n’avez plus qu’à planter une paille dans le pot et à aspirer (découvrez notre DIY pour transformer un pot de Gloutella en tassaté, ou en tirelire, si vous réussissez votre entretien d’admission chez les Stru). Commencez par la couche que vous voulez !

En conclusion
Avec un peu d’imagination et beaucoup de radioactivité, on peut cuisiner pour pas cher et pas bon. Mais, de nos jours, qui peut encore payer l’électricité pour se faire à manger ?

Surtout si vous n’avez déjà pas les moyens d’acheter à manger.

Ou que les shops sont encore vides à cause des Stru.

Ou que votre salaire a été coupé à cause des impôts du MLB.

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Depuis plusieurs mois, un nouveau film hante les sales zobscures et les salles de cinéma. L’héroïne ? Une blondasse bonnasse surboobzée baptisée Barbie. L’histoire ? A-t-on besoin d’une histoire quand les boobz d’une blonde crèvent l’écran ?

Tu connais pas Barbie ?
Quoi ? Tu kiffes les blondes à gros boobz et tu connais pas Barbie ? Laisse-moi te dresser son portrait.
Barbie, c'est cette poupée blonde à mon effigie. Mattelolo a beau se défendre de tout plagiat pour éviter de me filer de la royale tize, il est plus qu’évident que Barbie a été créée dans le même moule que votre sculpturale rédac’ cheffe, journaliste, bras droite et mairesse occasionnelle. D’ailleurs, on ne s’y trompera pas, même son nom rime avec le mien.

Une actrice dont le talent crève l'écran

Résumé de ce fruit pourri
Maintenant que vous connaissez Barbie, laissez-moi vous parler du film. Alors Barbie le film, ça parle d’une poupée à la morphoplastoc parfaite qui découvre de la cellulite sur ses cuisses habituellement aussi lisses que les joues de mon adorable TikTok et qui se met à penser à la Quête. Logique, me direz-vous. Seules les bouzoukettes flasques osent militer pour le gras et le droit d’exister avec un physique médiocre.

Donc Barbie, elle voit sa perfection lui échapper et elle se dit qu’elle irait bien rejoindre Schnibble histoire de lui toucher zig mots et plus si affinités et s’il ressemble toujours à Fuyuzora.

Un bouzouk déguisé en Schnibble pour essayer de pécho

Sauf que sa Quête ne se passe évidemment pas comme prévu et qu’à défaut de trouver Schnibble, elle vit toute une série d’aventures toutes plus insipides les unes que les autres sans jamais toucher une goutte de champo ni gober la moindre pilule.

Le pire du pire : Barbie la plus belle blonde du monde s’émancipe de son désir de perfection et de Rick, son éternel et muské petit ami.

Sans vouloir vous divulpourrir le film, mais un peu quand même, à la fin, cette gourdasse renonce à tous les plaisirs de la vie pour partir en quête non pas du Schnibble, mais de sa véritable identité à elle et de son moi profond, que tous les Rick de son village magique ont déjà pourtant exploré en long, en large et en travers.

Le village magique de Barbie

Notre avis (enfin le mien, parce que le vôtre, on s'en fout)
Mon avis est aussi limpide que mon corsage : ce film, c’est de la fiente de pioupiouk qui a la gastro et qui a mangé du chouk. Pourquoi ? Bah déjà, je joue pas dedans. Soyons Claire... Enfin non, restons Pincemi, mais.. Enfin, t’as compris. Ce film de série X met en vedette une poupée à mon effigie et prend une actrice quelconque pour jouer le rôle qui me revenait de droit ! Tout ça pourquoi ? Parce qu’elle a comme zigième prénom celui de notre Grand Créateur ? Et oui, Margotte Robby a été choisie pour son nom qui fera fureur au botox-office, au détriment de votre bien-aimée moi, à qui il ne manque plus que « starlette de cinéma » à faire figurer sur sa biographie.

Une carrière prometteuse quêtée dans l’œuf

Conclusion
Ce film est tout pourri et il serait trop facile de résumer sa nullité à cette seule erreur de casting. C’est pourquoi je ne le ferai pas. Plutôt que de fustiger plus avant cette bouse monumentale, je profite de l’occasion pour lancer un appel : tu es un producteur véreux ? Un réalisateur de zigonde zone ? Tu cherches la nouvelle BB ? Te fatigue pas, on a encore mieux ! Brigitte peut aller se rhabiller avec seulement zig B et la coupe à la Folle aux pioupiouks. Moi, j’en ai sto, des B, et j’ai tout keskil faut là où il faut pour devenir la star que Vlurxtrznbnaxl ne mérite même pas !
Et la prochtaine fois que tu hésites entre Margotte et moi, rappelle-toi que je suis mariée au Parrain de la mafia, avec tout ce que ça implique de lac et de souliers en béton armé jusqu’aux dents, que c’est tout ce qu’il restera pour t’identifier !

Un accident est si vite arrivé...

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