Durant les 9 premiers jours du mandat de boubouch les dépenses de la Mairie se sont chiffrées à 99 573 struls (sans compter l'achat des marchandises aux entreprises). Et contrairement à ce que vous pourriez penser (ou pas) les deux plus grosses dépenses ne servent pas à la mise en oeuvre du programme politique.

La dépense principale est le résultat des dons (62 993 struls, rien que ça!) soit presque 60% des dépenses totales!. Seuls 58 bouzouks sur près de 800 recensés ont pu en bénéficier.

Sur ces 62 993 struls c'est un peu plus de la moitié qui a été envoyée aux employés de la Binouze du Plouc et seule une minorité en a bénéficié (26 employés). Mais ne vous y méprenez pas, une partie de ces dons a uniquement permis à boubouch de payer ses employés avec l'argent de la Mairie plutôt qu'avec celui de son entreprise (parce que c'est bien connu, vous payez des impôts pour ça!).

Puis autour de 9 506 struls ont été reversés à des membres de la CCE (12), et 1/3 de cette somme a été attribuée à nodaska et 3 de ses employés : ça ne fait pas beaucoup de récompensés pour les voix apportées à leur patron adoré.

Près de 8 418 struls ont été dégagés pour la famille Struleone, mais sur 36 membres uniquement 7 auront eu ce privilège.

Le reste, 9 019 struls, a été versé à d'autres bouzouks, qui n'ont pas pu être référencés dans un mouvement précis, à cause de la confidentialité de la liste des membres des clans énoncés ci-dessus.

Suite à quoi boubouch est venu crier au scandale quand il a vu que le boostzouk se faisait vider en quelques heures après son remplissage. Peut-être a-t-il oublié que ce sont ses copains, qu'il a si bien enrichi, qui en sont responsables... Pour éradiquer le problème (ou plutôt pour saisir l'excuse qui permettra de regonfler les caisses de la Mairie que les dons ont laissé à sec) près de 800 bouzouks ont été taxés à 49%.

La deuxième dépense majeure de la Mairie n'est autre que le salaire du Maire (1 500/jour) soit 13 500 struls depuis le début du mandat. Une somme qui n'a pas d'égale même en additionnant la dépense pour les subventions aux patrons (8250 struls versés à presque 30 patrons) à l'argent reversé aux mendiants (15 struls à 72 mendiants : 1080 struls) et à l'argent distribué aux vainqueurs de ParionStruls! (4000 struls).

La redistribution de 20 struls à 664 bouzouks (la belle affaire!) a coûté 13 280 struls.

L'aide à la création d'entreprise aura coûté 8000 struls :

Sont concernés « Au struls gourmand » qui produit des... beurkeurs ! Alors que comme l'a souligné l'article de la gazette « cessez de ne pas gaspiller », certaines denrées dont les beurkeurs (près de 29 000 s'entassent dans les shops) ne se vendent pas tandis que d'autres comme les flopeurs ou les flacons de Chprotzong sont à cours peu de temps après le remplissage des shops : apparemment ça n'était pas assez pertinent !

Ainsi que le « Struleone Palace » qui a été financé à 100% par la Mairie pour le bon copain de la famille Struleone et qui est quasiment vide depuis sa création avec des finances au bord du gouffre après seulement 5 jours.

Un quiz réservé aux employés de la Binouze du Plouc a généré 2 300 struls de dons pour 16 employés.

Quant au Bureau des Arts et des Recherches il n'aura pas coûté cher. Ce n'est pas loin de 750 struls que 4 artistes se sont partagés.
Et le seul concours organisé par le Bureau n'est même pas subventionné par la Mairie, la récompense est un objet personnel de son directeur.

La dépense allouée aux allocations chômage n'aura sûrement pas posé trop de problèmes puisqu'elle n'a été que de 0 strul pendant toute cette période !

Toutes ces dépenses ont obligé boubouch à taxer les entreprises à 38% et à envoyer une autre taxe de 38% pour ce 29/05 (parce que oui vous comprenez,il faut renflouer les caisses pour continuer à faire des dons !)

Vous pourrez retrouver la liste complète des dons à la redac' de Vlurxtrznbnaxl News.

"C'est en faisant croire n'importe quoi qu'on peut faire ce qu'on veut" - J.F Sébastien

C'est ce que nous allons prouver aujourd'hui, grâce à cette histoire tout à fait banale, qui n'a d'intérêt que parce qu'elle est authentique.

Cette histoire, c'est celle du bouzouk au milieu. A ce stade, inutile de savoir ce qu'il y a autour de lui. Sachez juste qu'il est au milieu.

Ce jour là, le bouzouk au milieu s'était levé du pied gauche, ce qui n'aurait pas été un problème si sa trompe ne s'était pas trouvé dessous. Mais attardons-nous sur ce pied gauche afin de donner raison à J.F Sébastien. Doté - plus ou moins - d'une demi-douzaine d'orteils, ce pied est, dirais-je, ce que la main gauche est à la main droite. De même utilité et de même valeur que son homonyme symétriquement opposé, il est composé d'un nombre assez élevé d'os, et de viandes diverses - qui pourraient d'ailleurs être utilisées à bien plus de fins alimentaires que journalistiques.

Mais le bouzouk au milieu, lui, se fiche bien de savoir qu'avec son pied gauche, il pourrait nourrir une famille de pioupiouks pendant deux heures, ou me servir de prétexte ! Non, le bouzouk au milieu ne pourrait, de toute façon, pas s'en séparer. L'idée même de tanguer dans son asymétrie le ferait vaciller (vers l'arrière, bien sûr !), car le bouzouk au milieu est quelqu'un de droit. Un esprit... carré, dans une tête ronde.

Ce jour là, le bouzouk au milieu n'a rien fait, ou discrètement, mais pour équilibrer, il s'est couché du pied droit !

On parle souvent de ce bouzouk, dans les milieux autorisés, pour peu de monopoliser l'attention de nos auditoires, car, comme l'a compris boubouch depuis qu'il est maire - et comme le dit notre morale - "C'est en faisant croire n'importe quoi qu'on peut faire ce qu'on veut", il suffit d'un con centré !

C’est la panique dans la rue marchande. On est à la recherche d’une entreprise de construction pour écarter les murs des boutiques. En effet, plus la dernière pénurie s’éloigne et plus les stocks débordent. Que nous révèle la surproduction actuelle ?

En entrant dans le Bouffzouk, où le vendeur a la trompe nouée à cause de sa situation, les beurkeurs s’entassent dans les rayons Freegidehrisés. Depuis que l’entreprise du grand Tweedy a coulé dans des circonstances mystérieuses, provocant une vague de détresse sur toute la Colline, la pub « ne crachez pas sur un bon beurkeur, nous l’avons fait pour vous. » n’est plus diffusée et c’est l’annonce « Have a break, have a Flopeur»* qui occupe les écrans. Le résultat est là : face aux bouzouks qui veulent garder la ligne pour séduire (à l'image du concours lancé par Obey et des cours donnés par Pincemi) et aux patrons qui ne veulent pas de trompes molles dans leurs rangs, nous sommes plus proche de la création d’une salle de gym que d’un retour à la consommation des beurkeurs et autres tartes à la Crapouille.

A l’indispenzouk, si les Chprotznogs se vendent comme des petits flopeurs, ce n’est pas le cas des mercurochroutes. Le « pansement préféré des exploités » ne trouve plus preneur : alors que je m’attarde dans les rayons, le vendeur, dépité, essaye de me les vendre pour accrocher des posters ou en guise de patins pour mes meubles. Néanmoins, qu’il s’estime heureux , car le jour où le bouzouk se détournera de la consommation d’excréments de crocomouth, on pourra vraiment dire que son entreprise est dans la [insérez le mot de votre choix ici].

Au Luxezouk, on trouve le vendeur accoudé à son propre comptoir, à boire ses Bierrouïllis, qui ne se vendent pas. Les bouzouks ont-ils eu une révélation quant à leurs mœurs ? Le résultat est là : Les bluxtres occupent un entrepôt entier, tandis que les bierros ne quittent même plus leurs emballages. Le Bar des Pochtrons ne renouvelle plus ses stocks depuis des semaines, à force de désertions. Au Club comme dans d’autres endroits, pour d’autres raisons, on sabre le champozouk mais pour nos magasins, pas de doutes : les temps ne sont pas à la fête.

Comme pour toute règle, il y a une exception, le Boostzouk commande son coffret de champozouk millésimé toutes les demi-semaines. Les bouzouks ont de l’argent à dépenser chez lui et ça se voit. A croire que les bouzouks se nourrissent de luxe.

Ainsi, si la rédaction ne peut vous conseiller de vous blesser ou de mettre en péril votre régime, elle se doit de faire passer un message de l’Institut pour la Bonne Santé des Etablissements Commerciaux (qui a passé plus de temps à peaufiner son nom que ses actions): « Pour le bien de vos magasins, surconsommez cinq produits frais par jour. »

*Le publicitaire précise que la pause n’est pas fournie avec le Flopeur.