Ça zlote dans la ruelle des mendiants comme dirait ce bon vieux myrddin . Mais pourquoi donc ce fléau prend t-il tant d'ampleur à Vlurxtrznbnaxl?
Nous avons posé la question à J.F Sébastien: " Qu'ils aillent se plaindre chez leurs employeurs s'ils ne sont pas assez payé!" Voilà qui est dit.
Nous avons entendu quelques bouzouks qui traînaient dans la ruelle des mendiants, "mon patron m'exploite, je ne suis pas payé depuis deux jours, ou encore que voulez-vous que je fasse avec 25 struls?" Beaucoup de questions qui ont le mérite d'être étudiées.

Il est évident qu'un pauvre lécheur de timbre ne peut obtenir un salaire mirobolant à peine arrivé sur le marché du travail, et même si les membres des A.T.E.L.I.E.R.S. se vantent de donner plus d'argent à ces bouzouks, cette méthode n'encourage pas ces derniers à progresser dans l'apprentissage d'un nouveau métier qui est pourtant indispensable pour prospérer dans ce monde impitoyable.
Les patrons véreux prospèrent à vue d'œil depuis que la mairie accorde une aide de 5500 struls à la création d'entreprise et nombreux sont ces zloteurs qui n'hésitent pas à proposer des primes à l'embauche pour au final, diminuer voir carrément supprimer les salaires. Une technique peu scrupuleuse pour attirer les jeunes pioupiouks fraîchement débarqués dans le monde du travail. Et ce n'est pas près de s'arrêter.

Les comptes de la mairie ne s'arrangent pas et dégringolent de jour en jour. Nous pouvons craindre le pire pour l'avenir de nos entreprises et surtout pour les ouvriers. Une mairie à la ramasse équivaut à un rachat partiel de la production des entreprises et donc des recettes qui seront forcément insuffisantes pour les patrons qui auront toutes les peines à maintenir les salaires. Pas de salaire donc pas d'achat dans les shops et l'engrenage se poursuit. Nul doute que l'incompétence et le laxisme de J.F Sébastien qui nous a confiés "je suis au bar des pochtrons je n'ai pas le temps pour envoyer des taxes" ne fait qu'aggraver la situation. Le prochain maire élu aura du pain sur la planche pour stabiliser cette situation délicate et nous pouvons d'ores et déjà lui souhaiter bonne chance.

Il est incroyable de voir comment les riches et les puissants tremblent face aux initiatives du MLB. Le MLB est là pour combattre toutes les racines de l'exploitation et les arracher une à une afin que sur notre belle terre qu'est la Colline Pourpre cesse de pousser la mauvaise herbe de l'esclavage et de la corruption.

Non sans joie nous constatons que notre combat à ses effets. Car aujourd'hui, sur la Terrasse des Nobles il est bon de constater que le champozouk est amer et les cigares bien trop acre pour des riches qui se regardent les uns les autres en se demandant: "Je vais plus pouvoir exploiter les bouzouks! Le MLB va prendre tous nos struls pour les donner à la populace! Que faire? Que faire?"

Au MLB, nous sommes fiers de voir que, suite à l'expérience réussie des A.T.E.L.I.E.R.S., les Coopératives Autogérées se multiplient. Les patrons, eux, se sentent menacés par ce mode de production alternatif où chaque ouvrier contrôle son outil de travail. Et pour cela, dans leur attitude réactionnaire et rétrograde nous attaque sur tous les fronts, car ils savent qu'à chaque fois qu'une coopérative s'ouvre, c'est un un peu de leur pouvoir qui leur échappe.


Ensuite, il curieux de voir que les puissants font courir des rumeurs de tricherie au grand concours de Vlurxtrznbnaxl que j'ai remporté. Ces rumeurs, ne sont dû qu'à la jalousie de certain qui n'accepte pas qu'un prolo, un mendiant, un chômeur peut se montrer bien plus intelligent que toute une horde d'exploiteurs.

Alors que l'on chasse les bouzouks de l'école en leur disant: "va te faire exploiter!", j'ai prit le temps en étant au chômage de me cultiver et de mieux connaitre le monde qui m'entoure. Et je n'aurai de cesse de dire aux bouzouks de compléter leur instruction par l'école de la rue, qui nous apprend bien plus de chose que le dur labeur au sein des exploitations capitalo-industrielles.

Mais cela, les riches ne peuvent le comprendre. Car pour eux, un bouzouk sortant de l'école c'est un bouzouk de plus que l'on peut opprimer et exploiter afin d'accroître son porte-strul.

Par ce concours, j'ai remporté les locaux d'une entreprise où j'ai décidé de monter une coopérative autogérée, dans laquelle je fais les mêmes taches que mes camarades et dans laquelle je ne suis pas patron, car nous le sommes tous. Mais cela encore sur la Terrasse des Nobles on ne le comprend pas.


On m'accuse d'exploiter, mais regardez autour de vous camarades bouzouks et bouzoukettes, qui dans le silence exploitent des centaines d'employés et ce en dehors de toute couverture des médias probablement déjà acquis à la cause des riches, des puissants, de la Terrasse des Nobles.


Camarades, en qui avez vous foi? Le patron qui tremble comme une feuille morte sur la Terrasse des Nobles? Ou le MLB qui lutte sans cesse pour augmenter la liberté des bouzouks. Le MLB qui lutte contre l'exploitation. Le MLB qui a le rêve de bâtir une société juste et égalitaire par le message de la Révolution?

Il est temps au Peuple de prendre conscience de sa force, et de se lever comme un seul bouzouk pour détruire le mensonge et la corruption du patronat, des riches et des puissants.

Face au mensonge du patronat, faites le choix de la vérité avec le MLB.

Il semblerait bien qu'une nouvelle page soit tournée pour le prestigieux prestidigitateur chef du MLB.
De crève-la-faim révolutionnaire, le voilà passé au rôle de créateur d'entreprise, épuisant sans relâche le filon de l'excrément de crocromouth. Ses positions restent en apparence strictement les mêmes : Il dit se considérer comme un employé comme les autres. (Mais dans ce cas, un employé de qui et de quoi ?) ; Il refuse de faire travailler ses collègues, usant de la production d'excrément animal (mais peut-être peut-on se récrier contre l'exploitation abusive des crocromouth) ; Il promet un salaire égal à chacun, quel que soit sa qualification. Pourtant, son rôle administratif de patron le fait basculer dans une position contraire à ses revendications. Quels sont les raisons qui l'ont poussé à ouvrir cette entreprise ? Cette organisation participative pourra t-elle tenir la route sur le long terme ?

De nombreux bouzouks avaient eu envie de réagir. Nous nous sommes rendus dans certains foyers de population. Ainsi, avons-nous pu recueillir ces propos dans le quartier des mendiants : « Zorba ? Roi des déjections ? Mais il était juste parti taguer un mur, il devait revenir. Sa bierro n'est même pas terminé, elle l'attend encore !» s'exclame un anonyme intime de notre héros.

Devant cette marée montante de surprise , nous avons décidés de mener l'enquête, juste pour votre trompe (Il serait d'ailleurs bon d'appliquer un peu de chprotznog sur l'immense bouton qui y pousse. Conseil d'ami.)

Petit retour en arrière : Inauguration de Vlurxtrznbnaxl. Un grand concours de culture générale est organisé (Miss Augine à assuré par la suite qu'il s'agissait de faire à nouveau passer un dernier controuïlle surprise à tous les nouveaux arrivants, renvoyés en masse de l'école pour mauvais résultat.) Zorba en ressort grand vainqueur et gagne une entreprise. La vie est parfois bien simple sur la colline pourpre. Trop simple ? Certains bouzouks accusent le nouveau propriétaire de l'U.S.I.N.E d'avoir triché. En effet, il aurait trouvé à travers ce concours le moyen de concrétiser son projet impie de richesse, et de justifier son nouveau statut administratif de patron, aussi bien d'un point de vue économique, qu'idéologique. Il aurait versé des somnifères dans les bierrozouïoli de ses concurrents dans le but de les déconcentrer durant les questions de rapidité. Nous ne nous permettront pas d'émettre un avis sans preuve. Il n'empêche que le soir de ce fameux concours, nous avons eu un brusque coup de pompe.

Triche ou non, Quelles raisons l'ont réellement poussé à passer au statut juridique de patron ?
N'ayant pu l'interroger (son haleine nous donne des hauts-le-coeur), nous nous sommes accaparés des interprétations de l'anthropologiste et maire de renom, J.F Sébastien, chargé, entre autre, d'analyser l'évolution du MLBiste au cours de l'histoire, et en temps réel. «Le MLBiste à cette tendance naturelle à chercher à retourner discrètement sa veste dés qu'il a le ventre vide. Il agit ainsi pour ne pas trahir son environnement social» nous confesse t-il. Cette interprétation porterait peut-être un éclaircissement sur l'affaire Bachibuzouk. Cette employée s'est vue retirée l'intégralité de son salaire par Zorba, après avoir demandé poliment une augmentation. Cette mesure avait pour but de la pousser à quitter l'entreprise, sans avoir à la renvoyer. Cette décision abusive a été entièrement assumée par Zorba. Ce paradoxe nous permet également de nous interroger sur les chances de viabilité de cette organisation participative.