**Pincemi attrape la main de Karambo. Elle la serre sans doute un peu plus fort qu'elle ne devrait.**
Tiens, te voilà, toi ! Tu viens savourer ta victoire ? Te délecter de mon désespoir ? Tu viens me narguer, faire "nanana nanèreuh, biste biste rage, c'est moi que j'ai gagné" ?
Tu m'aides à me relever alors que c'est toi qui m'as mise à terre ! Tu savais, pourtant ! Tu savais que... C'est quoi, ces manies qu'on les coupines de me souffler les zouks que j'aime ?! Hein ? Tu peux me dire ? Ça suffisait pas de voir Crole partir main dans la main avec Fuyuzora et adopter Christox ? De voir Sky suivre Suddenly dans la Quête ? De voir Clafoutis draguer ce gronul de blazzord pour on ne sait quelle obscure raison ? Non ! Il a fallu que... toi ! Ma filleule adorée, ma famille, la seul, la vraie... il a fallu que tu me le prennes, lui aussi ?
Comment je suis censée vivre avec ça ? Est-ce que je dois vous regarder être heureux en quêtant de désespoir ? Tu aurais plus vite fait de me remettre dans une barque, tu crois pas ?!
Est-ce que, toi aussi, je vais t'aimer plus que tout, tout en te détestant d'avoir été choisie par celui que j'aime ? Est-ce que je vais devoir te sourire tout en convoitant celui que tu aimes ? Ou est-ce que je dois te tourner le dos, te déclarer la guerre et redevenir la Pincepute prête à tout pour te piquer ton zouk ?
Dis-moi, Pioukette ?
**La dernière question avait été prononcée avec une infinie tendresse, par une zoukette folle de douleur et de nouveau désorientée.**
C'est là que dedel qui observait toujours la scène, sort du buisson, tel Zorro surgissant de la nuit.
Sauf que dedel, il ressemble plutôt à ça en ce moment :
Et il a de la bave séchée plein le col, ça fait des croûtes.
Finon mouah ve fuis livre Pinfemi fi tu feux.
Il sourit de toutes ses dents cassées.
Le timbre de Pincemi toucha Karambo, qui ne prit pas la peine, pour kah fois, de cacher ses véritables sentiments.
" Jamais je n'aurais cherché à te blesser volontairement. Tu es ma reine adorée, ma famille, la seule, la vraie ... Quand tu parlais de tes sentiments pour Jeoff, je n'ai pas vu de différence avec ceux que tu avais pour d'autres zouks ... Tous ceux que tu as cités t'appartenaient donc et il aurait fallu qu'aucune autre zoukette ne puisse s'intéresser à eux pour les rendre plus heureux que tu n'en as jamais été capable ? Parce que tu as jeté ton dévolu sur Jeoff alors quoi ? J'aurais du le haïr comme n'importe quel Struleone, dédaigner sa compagnie de peur de te blesser toi ? "
Son regard se fit plus sévère.
" Tu comptes énormément pour moi et ça me brise le keur de te voir dans cet état. Je me souviens d'une zoukette qui était capable de mettre à genoux un zouk d'un seul regard ... ou se mettait à genoux, selon les versions. Cette zoukette, autrefois, m'a dit que la fidélité c'est de rester aux côtés de ses compagnons, pas de partir à la kahière difficulté et revenir à la kahière opportunité... Cette zoukette, je l'ai perdue si aujourd'hui elle m'oblige à faire un choix entre zig personnes auxquelles je suis fidèle."
**Pincemi est décidément très fière de la zoukette que Karambo est devenue. Elle lui sourit, caresse tendrement sa joue et lui dit brutalement.**
Je ne t'oblige pas à choisir, Pioukette. C'est lui qui le fera. Et c'est lui que tu perdras. Et on verra si, à ce moment là, tu restes à mes côtés
**Pincemi se tourne ensuite vers dedel, lui sourit et lui attrape le bras.**
Allez viens. Depuis le temps que tu en rêves... Si tu es sage, je ferai la ninfirmière. Si t'es pas sage, je serai le nain fermier
**Alors qu'ils s'éloignent, Pincemi se retourne et dit à Karambo**
Ah oui et... C'est lui ,qui a jeté son dévolu sur moi.
Karambo sourit et leva les n'oeils au ciel. Elle ne dit pas kah mot de plus. A quoi bon? Elle n'avait ni envie de se battre avec Pincemi, ni de la blesser. Lorsqu'elle se fut éloignée avec dedel, Karambo soupira.
" Pourquoi faut-il toujours que tu sois la même prostiput3 qui piétine les sentiments des autres ... "
Elle se frictionna légèrement les bras, puis continua sa promenade nocturne, les n'oeils humides.
**Après s'être perdue au cinoch'ma, Pincemi a continué à errer en ville à la recherche du ristorante.**
Une petite ruelle calme dans un quartier assez chic
Visiblement, ce n'est pas là...
**Perdue, fatiguée et affamée, Pincemi tente malgré tout sa chance avec un timide...**
Anodore ?
== La famille aimait bien traîner dans les Jardins Publics de Vlurxtrznbnaxl. Ils concluaient beaucoup d'affaires, s’adonnaient au bonneteau clandestin et y tenaient une forme de marché noir auquel seuls quelques Bouzouks expérimentés avaient accès. Ce matin là, c'était au tour de Pauliz de s'assurer que la famille ne rencontrerait pas la bouzoupolice. Il était adossé non nonchalamment à un poteau, chapeau de mafieux sur le tête, les mains dans le pantalon de costard. Il vit Pincemi, un peu perdu passer non loin de lui. Puis d'un air flegmatique : ==
Hey ... Psssiiiiit
Ouais toi...
Viens par là !
**Pincemi sursaute quand un bouzouk flegmatique l'interpelle.**
Hey ... Psssiiiiit search
Ouais toi... search
Viens par là ! search
**Sans s'approcher, elle lui répond de loin.**
Quoi ? Tu vas ouvrir ton nain perd et me faire voir ta trompinette ? Vieux digoulasse
**Elle reprend, d'une voix tremblante.**
Monsieur Anodore ?
== Pauliz regarde à droite puis à gauche comme s'il cherchait à qui s'était adressée Pincemi. Personne ne l'avait encore jamais ignoré à ce point depuis qu'il travaillait pour Jeoff. ==
Mon nain perd? Mais de quoi parles-tu?!
Tu cherches des réponses? j'ai des questions pour toi!
Non attends... c'est pas ca que je dois dire !
Tu te poses des questions?
J'ai des réponses à t'apporter...
Mais pas en publique !
== il s'approche doucement d'elle par peur de l 'effrayer pour lui chuchoter quelques mots à l'oreille ==
**Pincemi écoute le zouk puis le regarde avec intensité..**
Je vous suis !
Dernière modification par Pincemi (2957-06-24 17:23:04)
== Pauliz est impressionné par le courage de Pincemi. Il ressent à la fois sa peur et sa détermination ==
Hehe doucement bella ragazza, ca ne sert a rien de crier ici!
Il Ristorante?
Je connais bien cet endroit... j'y travaille. C'est moi le... CUISTO.
Tu as faim? tiens... prends ceci mais... chuuuuuuuuuuuut
== il lui tend un schmurtz rose ==
Le CUISTO ? C'est vous ?
**Elle attrape le smurtz rose, le renifle et le jette.**
J'aime pas le rose, ça m'inspire pas confiance.
On y va ?
Anodore arrive enfin aux jardins en se perdant et voit Pincemi suivre un mafieux.
Mais où vont-ils? Elle me quitte déjà???....
Mais.... Mais non! Il lui indique juste le Ristorante! Je vais les suivre de près pour arriver juste après eux.
**Pincemi, à force de suivre le larbin de Jeoff et de ne jamais arriver, est épuisée. Elle quête de faim. Depuis son retour, elle n'a toujours rien mangé et elle est de plus en plus faible. Trop faible pour pouvoir même tenir un stylo...
Elle s'inquiète pour Monsieur Anodore, le vieux avec qui elle doit manger au Ristorante. À bout de force, elle interroge Pauliz.**
On arrive bientôt ?
**Avant de s'évanouir dans un magistral gargouillis stomakal**
== Pauliz marche à une bonne allure, il ne s'est pas aperçu que la Zoukette n'a rien dans le ventre depuis son retour de quête et qu'elle n'a que très peu de force... Il lui parle encore et encore et encore et encore et encore et...
Malheureusement, cela à pour seuls conséquence de faire enfler les tympans de Pincemi, mais ne la nourrie pas... GROOOOOOOOOOOUIK, elle s'avanouï. Pauliz se retourne pile à ce moment là et la rattrape.
Nom de Schnibble !
Juste devant l 'entrée d'il Ristorante...
Si Jeoff apprends ça il va m'envoyer direct en quête pour un long moment!!
== Il rentre dans le ristorant avec Pincemi, la pose à une table et court en cuisine! il revient avec un énorme plat de spaggiouli et un verre de Gnoulze. Il lui pince le nez et la bourre de nourriture ! ==
on se réveille vite vite vite !! allez...
Anodore arrive avec Pincemi pour la surprise après la ballade romantik, il s'agenouilla tendit une bouate rose de voeux-lourds fermée
Voilà Pincemi j'ai l'honneur de ne pas te demander ta main ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin, oui je te demande en mariage, j'ai couru acheté la dernière bague du marchand tout à l'heure la voici
**Pincemi regarde la boîte, puis Anodore, puis la boîte (qui n'est définitivement pas LA boîte, la belle et merveilleuse boîte de Diego). Elle finit par éclater de rire.**
Me marier ? AH AH AH ! Certainement pah ah ah ah ! La dernière fois que j'ai voulu épouser un zouk, il est parti avec une autre ! Tu imagines ?! AH AH AH
Et tu voudrais que je remette ça ?? Mouahahah ! Et tout ça parce qu'on a flirté dru minutes et que je me suis amusée à te draguer ? Hi hi hi
Mais si tu savais, mon pauvre ! Keske je vais aller m'embêter avec un zouk engoncé dans ton genre quand je peux avoir le plus fonky de tous les bouzouks ?
Tu peux garder ta bagouZ, va. La seule que j'aie jamais embrassée, c'est celle de Don. Et plus aucune bague ne m'attachera à qui que ce soit ! Tu peux te la mettre autour de ta ridicule petite trompe minuscule, ta bague. En plus, le Caillou est ridicule et c'est même pas du Schnibble ! Escroc !
Devant Pincemi et son "La seule que j'aie jamais embrassée, c'est celle de Don" Anodore regagne la mémoire: Pincemi n'avait toujours été qu'un être abominable, une menteuse, une dégeulasse qui vomissait entre ses boobZ, une crasseuse du MLB, il se leva le regard noir, tout en écrasant dans sa main la bouate, la bague dedans fit un crac, il jeta furieusement les restes de la bouate alors qu'il regardait la poisseuse.Et dit assez calmement
Je me souviens de tout à présent, toi la crasseuse MLBiste, l'amourette de 4$ une bonne-As tout juste bonne à coucher pour survivre, écornifleuse poisseuse, avec tes cheveux gras et puants qui sentent la bierro, ta robe trouée qui suinte le vomi, ta bouche, à peine supportable pour sucer ou embrasser la bagues du Don, lui qui t'a renié alors que tu suivais la bonne route, tu es devenue ta vraie nature: Une P-tasse ingrate refaite, tu as fait regonfler tes boobZ depuis la dernière fois, fausse boubZette!
Tu as joué à la nouvelle quand j'étais amnésique, tu as abusé de moi pour 500$, je comprend que ton mari t'as quitté, tu es bonne pour moisir dans ta crasse avec les autres tocards de ton genre puants , infects et infâmes! Même le MLB derrière qui tu te caches devrait avoir honte de toi!
Anodore attrapa la zoukette aux cheveux pour les tirer quand avant de le faire il se souvint de Crole....
La pauvre,.... Il poussa la P-tasse et couru vers le chemin de la Quête...
Dernière modification par anodore (2957-07-04 18:49:10)
**Le zouk inconnu enfin parti, Pincemi reprend tranquillement la route du Ristorante en sifflotant.**
C'est bon d'être à la maison !
Bon, maintenant, Jeoff, à nous !
Après avoir quitté le sanctuaire, Coquelicot rejoignit les jardins publics. Plein de choses lui étaient arrivées depuis son apparition en ces lieux.
La jolie rouge s'allongea paisiblement au milieu des fleurs et finit par s'endormir en ressassant les nombreux souvenirs dans sa petite tête.
Quelle douce journée d'été pour faire une sieste au soleil.
BernardoW, libéré de ces contraintes, pouvait enfin s'accorder un peu de temps pour lui, de temps pour rien faire, il décida alors d'aller se balader dans les jardins publics.
Au détour d'un bosquet il vit coquelicot allongée sur l'herbe en train de contempler le ciel. Plutôt curieux, le chef du CdBM en RTT n'avait pas vu que la zoukette dormait et il se demandait surtout qu'est ce qu'elle pouvait bien regarder.
Il s'allongea alors à ces côtés sans rien dire, il contempla le ciel et après quelques minutes...il s'endormit.
Coquelicot avait fini par se réveiller une fois que le soleil eut décidé de se coucher. Le vent frais du soir venait marteler ses pétales, et il était désormais temps de se mettre en route.
Elle regarda autour d’elle et vit ce qui ressemblait à tout sauf à une fleur. Elle ne savait pas si c’était un cheval ou une truie, mais en tous cas, ils ne l’avaient pas loupé.
En y regardant de plus près, il s’agissait un bouzouk en tenue ail-ouah-yenne.Coquelicot s’approcha encore un peu plus du dit bouzouk et réalisa qu’il n’était autre que Bernardow.
Ben dis donc, les vacances ça ne lui réussit pas !
La zoukette à la crinière rouge resta quelques instants à observer le chef censeur pour qui elle n’avait toujours éprouvé que sympathie et tendresse. Elle espérait que celui-ci commencerait enfin à prendre de bonnes décisions dans sa vie et arrêterait de faire constamment de mauvais choix..
Cela tombait bien qu’il soit endormi, cela lui éviterait de devoir lui dire au revoir, elle n’était pas douée pour ça.
Coquelicot décida cependant de lui laisser un petit quelque chose afin de lui dire adieu et lui montrer qu’elle ne l’oublierait pas. C’est ainsi qu’elle accrocha un joli coquelicot à la bretelle qui maintenait les vêtements du bouzouk en place.
Avant de se relever, elle déposa un chaste baiser sur la joue du censeur. La zoukette remarqua que celui-ci ne portait plus son médaillon solaire. Elle serra dans sa main le sien qui brillait toujours autant en se demandant pourquoi il s’en était séparé. Elle reprit vite ses esprits en se disant que tout ceci n’avait pas d’importance là où elle irait.
C’est ainsi que la jolie rouge se releva et entreprit sa route, laissant tout derrière elle et tentant de disparaître aussi mystérieusement qu’elle était arrivée.
Extirpant Bouchbouch de kah situation trop complexe pour son neurone de jeune insolent, Karambo le guida le plus loin possible des ennuis.
Jusqu'à finalement parvenir en kah lieu arboré et calme. Fini le tumulte, et finis les risques pour Bouchbouch de s'attirer les foudres de Schnibble en proférant kah discours hérétiK. Les jeunes n'avaient pas le respect de la foi, c'était bien connu. Il fallait donc le leur inculquer avec beaucoup de patience, à grands renforts de menaces sibyllines et de flagellations bibiliK. Karambo devait expliquer au jeune zouk qu'elle faisait partie de " ces Illuminés et autres rongés du neurone ", mais il fallait s'y prendre correctement.
Elle s'installa sur kah banc publiK et invita Bouchbouch à prendre place à ses côtés, en tapotant l'espace libre. La zoukette porta alors sur son compagnon kah regard tendre, de ceux qu'elle ne pouvait réserver qu'à kah protégé.
" Tu sais, tu ne dois surtout pas mettre les z'adorateurs du Schnibble dans kah unique panier. Car l'étrange pestacle dont tu as été témoin mettait en scène kah croyant d'un faux Schnibble. Le Schnibble Solaire. Ne te laisse surtout pas berner par ces pitreries. Je n'ai eu de cesse de te répéter, depuis le début, de ne te fier qu'à ton instinct, et de ne croire personne sur parole. Kah seul Schnibble mérite d'être vénéré. Kah Schnibble zoo net et verdoyant, qui a réuni toutes les conditions pour que nous puissions nous rencontrer. Il a fait de moi ton guide, comme lui même m'a toujours guidé. Ne te laisse pas avoir par des disciples corrompus, jamais ! "
Kah sourire à la fois bienveillant et malicieux s'immisça sur ses lèvres.
" Évidemment, tu pourrais me croire, moi, sur parole. Mais je ne cherche pas à te recruter. Il existe bien des façons de L'honorer, et la meilleure voie sera celle que tu choisiras de prendre. "
Bouchbouch se faisait tirer la mimine par Karambo dans un lieu calme et paisible. Il fallut DRU secondes au jeune zouk pour se remettre de ses émotions passées dans le Confessauna de la Secte. Il était bouche bée face à ses belles choses que lui offrait ce lieu, par rapport aux restes de la ville qu'il avait pu voir. Il se trouvait ici, en parfaite symbiose avec la nature. Le doux chant que faisait le vent sur les feuilles des arbres le laissait muet et souriant !
Il se tint près de Karambo sur le banc afin de l'écouter attentivement. Il analysa tous ces dires et lui répondit en souriant :
"Toutes ces histoires de Schnibboul ou Schnibble, jecépakoi... Je n'y arrive pas. Je vois bien que ça à l'air important, vu que tout le monde parle de lui ou de ça, même vous... Je vous crois, soyez en sûre mais je ne peux me résoudre à y croire à mon tour. Je ne crois quand ce que je peux voir, comprendre et ressentir. Voyez par exemple ce joli point de vue que nous avons là : Un banc au milieu d'une douce nature sans bruit, sans fourberie, sans odeur nauséabonde... Une douce nature apaisante, enivrante... Mes n'yeux s'emplissent d'eau et de bonheur... je sais que ça, c'est vrai et que ça pousse à vivre dans ce monde !"
Il essuya les petites larmes qui coulaient de joie sous sur ses joues.
"Voyez : je vous vois, je vous entends et surtout écoute, je vous sens et vous ressent... Je crois en vous parce que vous créez en moi le sentiment !"
Il quitta Karambo des yeux et se retourna afin de se moucher la trompe.
"S'cusez mademoizoukette ! Voilà ce qui m'anime ici... ce qui me touche profondément. Je vous dois beaucoup, v'savez... et je compte bien vous le rendre !"
Il se retourna vers la zoukette avec gaieté et lui décocha une bizouille sur la joue.
"Merci Karambo"
Après avoir fait une petite sieste de deux heures...du moins c'est ce qu'il pensait, BernardoW se réveilla difficilement au milieu des jardins publics.
A son réveil il regarda à droite et à Gauche mais Coquelicot n'était plus là, à la place le Chef Censeur avait un petit coquelicot sur la poitrine.
Oh.....c'est Mignoooooooooooon.
Bon c'est pas tout mais il va falloir que je fasse mes valises pour les vacances, c'est pas une petites siestes qui va me changer les idées à moi.
Le Chef Censeur repris donc la direction du CdBM pour récupérer ces affaires.
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