Après le show télévisé, les censeurs ont décidé d'organiser une conférence au sommet de la Colline Pourpre. L'occasion pour les biens pensants de la Ville de se rencontrer et d'intervenir autour d'un débat qui fait rage : l'Exploitation.
Ci-joint une photo de Bernard l'esclave affranchi qui arrose quotidiennement la plante grasse du MLB GOZ fois par jour, BNZ jours sur POO..
Vous connaissiez l'histoire comme nous. Après tout, le Percepteur exploitait votre porte-strul, le maire exploitait (et il le fait toujours !) sa secrétaire sur le bureau ou encore le patron exploitait ses employés pour produire des bluxtres bien plus que des imbéciles, bref l'exploitation est dans nos moeurs !
Oui mais voilà, la réalité du marché aujourd'hui est toute autre. On a des employés qui deviennent concurrentiels, des patrons obligés de promettre des primes vertigineuses pour espérer recruter, des coopératives qui se créent et mettent à la porte le patron, autant dire que ça zlote mon capitaine et qu'on est bien loin du schéma pré-bouzoukien que veut nous faire croire le MLB.
Le MLB qui revendique la révolution n'est-il pas devenu obsolète dans sa lutte anti-patronal ?
Les exploités d'aujourd'hui sont-ils vraiment les salariés de demain ?
Les patrons sont-ils les tyrans que le MLB veut nous faire croire ou de simples mendiantes comme Lolo et Sucette ?
En partenariat avec l'ISEEV, le Club a décidé d'ouvrir le débat et de faire tomber les masques en montrant la réalité dans laquelle on vit : OUI l'exploitation existe toujours, MAIS elle semble s'être déplacée. Est-ce vraiment votre patron qui vous exploite ou vous qui l'exploitez ? Marre de ce mouvement terroriste qui prétend défendre les plus démunis. Bien que condamnée par la saine Censure, la révolution ne devrait pas mentir au peuple.
Afin de vous donner toutes les cartes en trompe pour pouvoir réagir, le Club a sollicité l'ISEEV pour nous présenter les toutes dernières statistiques et sondages à jour de la version BLAZ 5.000. Accrochez-vous, ça fait peur.
A la demande du CDBM, un sondage a été effectué auprès de tous les patrons de la ville (hors coopérative), les résultats sont les suivants :
Nombre d'entreprise dans la ville (hors coopérative) : 33.
Nombre de patrons ayant participés à ce sondage : 20 sur 33, soit 60% des patrons ont participés.
Salaire moyen des patrons par jour : 14 $truls.
Nombre de patrons qui ne se paye pas : 10 sur 20, la moitié des patrons ne prend aucun salaire.
Salaire le plus haut par jour : 50 $truls.
Nombre de patrons qui doivent mendier : 14, soit 70% des patrons doivent mendier pour survivre.
Nombre de jour de mendicité sur les 4 dernières semaines par patron en moyenne : 19.9 jours sur 28.
Patrons souhaitant transformer leur entreprise en coopératives : 0 (2 réponses ambigües).
Nombre de patrons souhaitant redevenir employé : 2 soit 10% des patrons songent à redevenir de simple employé.
Dernière modification par LeFacteur (2954-05-13 22:12:17)
Pas bon d'être patron en ces temps! Mais pourquoi 'hors-coopérative'? Pourquoi ne compteraient-ils pas dans les statistiques?
Merci beaucoup à l'ISEEV pour ces statistiques !
Salaire moyen des patrons par jour : 14 $truls.
Nombre de patrons qui ne se paye pas : 10 sur 20, la moitié des patrons ne prenne aucun salaire.
Salaire le plus haut par jour : 50 $truls.
Quand on pense que les "gestionnaires" de coopératives gagnent 65 struls par jour, on se demande vraiment où est l'exploitation.
La plupart des patrons sont honnêtes et font tout leur possible pour rendre heureux leurs salariés.
Dernière modification par Kaicho (2954-05-13 22:22:57)
[Le Don soupire mais applaudit quand même.]
Enfin la vérité éclate au grand jour... Cela fait vraiment plaisir. Être patron ce n'est pas exploiter, être patron c'est offrir la chance à ses employés de devenir grands.
Aujourd'hui, le MLB est mis à mal par les chiffres que nous voyons et que ces derniers vont se faire plaisir de nier en disant que ce n'est que mensonges et calomnies...
Mais chaque patron de cette ville sait pertinemment qu'une entreprise survit qu'en chouchoutant ses employés et en les fidélisant.
Pas bon d'être patron en ces temps! Mais pourquoi 'hors-coopérative'? Pourquoi ne compteraient-ils pas dans les statistiques?
Bah à vrai dire, le MLB nous a toujours affirmé qu'il n'y avait pas de patrons dans les coopératives, mais qu'ils prenaient les décisions tous ensemble, comme une masse de salariés.
Pas bon d'être patron en ces temps! Mais pourquoi 'hors-coopérative'? Pourquoi ne compteraient-ils pas dans les statistiques?
La commande sur CDBM spécifiait hors coopérative. Les "patrons" des coopératives sont des employés comme les autres après tout.
En tant que statisticien objectif de l'ISEEV, je ne commenterai pas ces résultats mais je me permet une remarque : il est clair que les patrons n'ont pas la vie facile.
Ils ne peuvent gagner beaucoup mais certains ont des compensations ou du pouvoir.
Les coopératives ne sont pas intégrées au sondage car il n'y a aucun patron réel dans l'entreprise tout simplement.
J'ai une petite question pour les Amigos là...
C'est normal de voir les patrons se payer si peu ? N'y a t'il pas un soucis dans l'appel d'offre aux ouvriers?
Parce que c'est le marché qui veut ça. Les patrons choisissent de pratiquer des appels d'offres concurrenciels afin d'attirer.
Aucune mécanisme pour réguler, les patrons font la course, et au final, qui paye les pots cassés?
Eux. Puis les salariés trop payés.
Faut pas pleurer après. Vous choisissez vous même de vous intégrer dans un circuit que nous appellerons "capitaliste" - si cela ne gène personne.
Vous subissez les règles du jeu que vous vous êtes vous même imposer.
Quand aux nombreuses réflexions concernant les coopératives, vous soulignez vous même la force des coopératives.
Personne ne se prive. Tout le monde est payé correctement.
En gros, nous brisons le système de base et en avons crée un parallèle. Libre aux gens de venir le tester ou de rester dans la dynamique actuelle.
Faut pas pleurer après. Vous choisissez vous même de vous intégrer dans un circuit que nous appellerons "capitaliste" - si cela ne gène personne.
Vous subissez les règles du jeu que vous vous êtes vous même imposer.
Plait-il ? Quel patron pleure, monsieur ? C'est plutôt le MLB qui vient chouiner parce que les vilains patrons seraient de vilains exploiteurs alors qu'il n'en est rien et que c'est le contraire complet.
Cette étude met seulement en avant que l'idéologie de votre groupuscule terroriste est caduque, totalement.
Aucune mécanisme pour réguler, les patrons font la course, et au final, qui paye les pots cassés?
"Faudrait savoir, soit les patrons exploitent, soit ils paient les pots cassés"
Puis les salariés trop payés.
"A mon avis on est jamais trop payé"
Est ce vraiment les appels d'offre qui sont concurrentiels ou bien les employés eux-même ?
On peut pas dire que la Colline Pourpre se remplit aussi rapidement et régulièrement que nos différents shops. Nous sommes à un tournant dans notre société ou l'employé a les moyens de négocier son salaire. Il sait que l'entreprise a besoin d'employés pour se développer et produire.
Aujourd'hui l'employé est un produit à part entière bien plus qu'un outil de travail. Le rapport de force entre employeur / employé n'est pas celui que décrit le MLB dans sa vision prébouzoukienne de la révolution.
Les véritables exploités du système sont les patrons actuellement je pense, car l'employé a compris qu'à l'image d'un Antipérimator, il était très rare sur le marché du travail.
Si le MLB n'est pas une supercherie et veut défendre l'exploité, pourquoi continue t-il sa lutte anti-patronal et ne devient-il pas anti-salarial ?
Et si l'on pousse un peu plus loin le raisonnement en considérant que le dominé est le patron et l'employé le dominant, alors les coopératives qui regroupent seulement des employés deviennent l'archétype du modèle d'exploitation.
Si les coopératives ne sont pas un vulgaire mensonge, il faudrait qu'elles soient un ensemble de patrons et non plus d'employés.
Je commençais a me sentir seul merci pour ces chiffres qui viennent appuyer mes idées !
L'exploitation des patrons va plus loin que ça... certains sont rabaissés, humiliés par leurs employés, voici pour peuve un témoignage anonyme :
Don StrulDaOne, Notre idéologie n'est pas caduque. Elle n'est pas imposée, et se pose justement, en alternative au circuit basique. Et encore une fois, prière de ne pas affilier les coopératives au MLB. C'est assez frustrant de voir ce genre de raisonnement pulluler encore et encore après le mal que l'on s'est donné à vous expliquer.
Enfin, limite, personne n'écoute nos grands débats sur les coopératives. Normal que vous ne puissiez assimiler nos points clefs.
Bref, là n'est pas le sujet.
Azer, l'exploitation, ce n'est pas uniquement le fait de se payer ou non. C'est le fait de contrôler le système. De pouvoir demander aux salariés de se priver lorsqu'il y a une taxe élevée.
C'est aussi le fait de pouvoir orienter les votes... On exploite ici, non plus la main d'oeuvre, mais l'être tout entier.
Et on va éviter de me ressortir le couplet lambda sur "on fait c'qu'on veut''. Nous avons chacun nos propres positions sur le sujet.
Et enfin, Myrddin.
Tout d'abord, félicitation. Un Débat sur l'exploitation n'étant pas présenté par le MLB, c'est de l'inédit.
Victimiser les patrons qui ne se paient pas, c'est encore mieux.
Et en plus de cela, associer le bénévolat des patrons à une action charitable de ceux ci...
Bingo, Eureka! La combinaison gagnante est ainsi révélée.
Le Fait est que les Patrons sont prisonniers d'un système qu'ils ont eux même conçus.
Tu me balances le paradoxe "Du Pioupiouk et de L'oeuf", à savoir lequel des deux est arrivé en premier.
Est ce le salarié avide de struls qui pousse le Big Boss à monter sa grille de salaire?
Est ce le Boss qui consent à suivre ses partenaires dans cette danse endiablée?
Et si cela résultait d'un accord commun? Hein L'Grenaud? T'en penses quoi toi?
Moi j'dis qu'à force de courir derrière le p'tit strul, on finit par créer son propre piège.
Aujourd'hui l'employé est un produit à part entière bien plus qu'un outil de travail. Le rapport de force entre employeur / employé n'est pas celui que décrit le MLB dans sa vision prébouzoukienne de la révolution.
Déjà j'adore l'utilisation du terme "produit". Oui aujourd'hui le Salarié Lambda est un produit.
C'est un produit car, contrairement à ce que l'on peut penser, il peut rapporter gros.
Ce n'est pas la CCE qui vous dira le contraire, ni même la famille Struleone.
Aujourd'hui, le Salarié Lambda, ou le produit, comme tu dis, on le bichonne. On lui fait croire qu'il a le pouvoir. Au final, on le range comme les autres Moutons dans la Bergerie, et on le nourris, on le brosse, on lui susure des mots doux.
Et ensuite, lorsqu'on lui a fait croire qu'une relation amicale s'est instaurée, on lui demande de voter. [CF : Lettre de Seigneur Babouche à ses salariés. ]
En d'autres termes, le visage de l'exploitation s'est transformée. Ce n'est plus une main d'oeuvre que l'on recherche. Non. On recherche un Réservoir à voix.
Car là où la main d'oeuvre rapporte quelques piécettes, le Réservoir à voix permet de s'enrichir, et très rapidement.
Et pour quelques piecettes à verser, où est le problème? La Team Rocket ira puiser dans les coffres de la Mairie le manque à Gagner de l'exploitation primaire...
PS Encore une fois, je tiens à souligner que ce message s'adresse aux grosses structures. Celles qui avoisinent les 75... 180 employés.
Je ne considère nullement les petits patrons comme des exploiteurs, qui bien souvent sont pris dans la tourmente crée par d'autres.
Non, je ne critique pas le petit patronat qui crée un réel lien avec sa Famille. Je dénonce tout simplement le nouveau visage de l'exploitation.
Le petit patronat représente 93% des patrons Obey, les entreprises au dessus de 75 employés sont au nombre de deux et nous les connaissons tous. Donc quand le MLB ou son chef nous parle d'exploitation du patronat sans autre précision, ça laisse pantois.
Vous mettez en avant une minorité du système pour justifier une quelconque révolution. Je réitère la question : le MLB souhaitant défendre les plus démunis, ne devrait-il pas plutôt prendre par la trompe les patrons plutôt que de cracher dans leur bouzouïoli, si toutefois ils parviennent à s'en acheter ?
Personnellement je suis pour l'exploitation dans le bon sens du terme car elle est dans nos moeurs, mais bon pour l'instant on ne peut pas dire que le patron exploite grand chose...
Et L'Grenaud qui accuse Zorba de discours alambiqués et qui s'y met par la suite...
Personnellement je suis pour l'exploitation dans le bon sens du terme (...)
Peux tu préciser?
Obey a écrit :
Elle n'est pas imposée, et se pose justement, en alternative au circuit basique.
Ah oui ? Tu es sûr de ce que tu dis, ce n'est pourtant pas les mots de notre "cher" zorba. Le fait est que vous vouliez (voulez?) que les entreprises deviennent des cooperatives en les appauvrissant en faisant payer 75% des entreprises "non-concernés"...(car bien sûr les "grosses boites" sont nullement en danger avec vos méthodes...)
La Saine censure recense les seuls moeurs qui peuvent et doivent être suivi et votre politique n'en fait pas partie...
*T3kila arrive discrètement (avec son sens personnel de la discrétion) dans la salle de conférence avec une petite (comprendre grande) pancarte. Elle se met à crier le slogan inscrit sur cette pancarte *
A bas l'exploitation des patrons par les ouvriers !
* T3kila se demande finalement ce qu'elle raconte. Ça ne tourne pas bien rond en ce moment dans sa petite tête...*
Excuse moi Galbatorix, mais même si les propos de Zorba sont virulents, j'vois pas comment on peut imposer un système de coopératives à des gens qui n'en veulent pas.
T'es pas d'accord?
Donc au final... J'ai 'un peu' raison non?
j'vois pas comment on peut imposer un système de coopératives à des gens qui n'en veulent pas.
T'es pas d'accord?Donc au final... J'ai 'un peu' raison non?
Si on suit ta logique on ne pourrait pas imposer un système qui ne soit pas désiré par les "gens" dans ce cas il s'agit des employés. Alors n'est il pas envisageable de penser que le peuple serais favorable au système "capitaliste" actuellement en fonctionnement ? Après ce n'est qu'une question comme une autre histoire d'ajouter mon petit grain de chnaplure...
Et L'Grenaud qui accuse Zorba de discours alambiqués et qui s'y met par la suite...
Personnellement je suis pour l'exploitation dans le bon sens du terme (...)
Peux tu préciser?
Comprends par là qu'il est d'usage qu'un patron exploite ses employés car il leur verse un salaire conforme à la F.A.Q. - Fédération Associative des Quasi-travailleurs. En échange de ce salaire à quoi le patron peut-il s'attendre ? Des employés productifs qui se tuent à l'ouvrage car on les rémunère à leur juste valeur.
Oui mais voilà, l'employé est une denrée rare et on lui accorde des privilèges bien plus qu'à l'employeur. En plus il se permet d'enchaîner pause sur pause à la machine à café, c'est dingue ça.
Bien que les syndicats furent dissouts au sein des entreprises, le patron doit en plus de subir la crise économique verser une prime d'incompétence quand il licencie un employé. Si le salarié est incompétent ça se défend, mais quand c'est pour des raisons économiques ça se passe comment ?
L'entreprise s'appauvrit tout bêtement.
Je te l'accorde, on ne licencie pas souvent vu qu'encore une fois les employés se font rares sur la Colline Pourpre. Mais on ne peut pas dire jamais. Après tout, quel patron n'a jamais accepté un départ de l'entreprise à l'amiable en le licenciant pour préserver l'expérience de son ex-employé ? De peur d'être lynché injustement sur la place publique par le MLB ?
En dehors de ça, on retombe une fois de plus sur le salaire dérisoire que se versent les patrons - quand ils peuvent se le permettre. Ce que j'ai du mal à saisir c'est le paradoxe que vous persistez à faire entre le mendiant et le patron par exemple. Vous rejetez le patronat mais accueillez à trompe ouverte les mendiants ? Comme le précise l'ISEEV, c'est bien 70% des patrons qui sont obligés de mendier pour survivre. Pourquoi ne pas reconnaître leur situation désavantageuse face à leur personnel ? Combien d'employés peuvent se vanter de mendier par nécessité ? Combien mendient pour profiter d'un système basé sur des politiques de pauvresse ?
À la différence de l'employé, le patron n'a pas le privilège de claquer son salaire au bonneteau.
Si par le passé l'exploiteur signifiait l'employeur, aujourd'hui c'est bien le patron qui se retrouve abusé par ses employés. Qui l'aurait cru ?
Edith Piaf : l'employé d'aujourd'hui est insolent aussi j'oubliai.
(13/05 22h42) T3kila: myrddin, je crois que c'est l'heure de te faire fouetter par tes employés préférés du moment...
À l'Usine Tourneboule ils sont fous, je leur pardonne, mais tout de même .
Dernière modification par myrddin (2954-05-13 23:48:48)
Excuse moi Galbatorix, mais même si les propos de Zorba sont virulents, j'vois pas comment on peut imposer un système de coopératives à des gens qui n'en veulent pas.
T'es pas d'accord?Donc au final... J'ai 'un peu' raison non?
Je suis tout à fait d'accord, il est impossible de faire cela car les employés aident leur patron et les patrons qui ont eu le malheur de faire faillite n'ont que plus d’empathie envers zorba...:cool:
C'est bien pour ces propos virulents que je suis contre le MLB et contre cette "Révolution" qui n'est pas voulu par la majorité...Je t'invite cependant à relire les projets de zorba lors de son début de mandat (et qui le sont encore à moins que je me fourvoi) et tu verras je crois que tes propos ici ne soutiennent pas le MLB ( ) mais les coopératives ( ), ce qui n'est pas vraiment le débat ici, mais comme l'indique notre bien-aimé super-censeur myrddin "la lutte anti-patronal du MLB" serait plutôt le sujet
Dernière modification par Galbatorixette (2954-05-13 23:49:47)
(13/05 22h42) T3kila: myrddin, je crois que c'est l'heure de te faire fouetter par tes employés préférés du moment...
À l'Usine Tourneboule ils sont fous, je leur pardonne, mais tout de même .
Non mais Oh, faut te calmer mon petit myrddin, ça devait rester privé.
Retourne dans ton bureau qu'on puisse t'exploiter comme il se doit...
Non, mais c'est quoi ça ? Ça zlote grave ici !
Exploitons les bouzouks comme il se doit, et les hypopozouks seront bien gardés.
Pour répondre au Chef du mouvement qui disait à propos du Club :
Le club est incapable, incompétent et ne sers strictement à rien. Il voit ses intérêt personnel avant les intérets du peuple, et sa censure n'est qu'une menace puérile dûe à un bouzouk complétement dépassé par la situation qui ne sais même plus qui ni quoi défendre.
Je suis perplexe car si le combat du MLB consiste à lutter contre l'exploitation du patronat, qui pour reprendre les propos d'Obey concerne les deux plus grosses entreprises, soit 7% des patrons, alors le MLB ne sert strictement à rien. Il voit ses intérêts personnels avant les intérêts des exploités et sa révolution n'est qu'une illusion dérisoire du à un bouzouk complètement obsédé par la Mairie qui ne sait même plus comment justifier une triche aux élections.
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