Après une halte dans l'ancien bureau de Don Struleone, Leela avait pris le chemin d'Il Ristorante. Quant elle entra dans les lieux, personne n'était visiblement encore arrivé. Elle inspecta le frigo de l'établissement et sorti un grand plat de tiramissu qu'elle commença a envelopper pour le transporter au moment ou PauliZ arriva.
Monsieur Jeoff va pas être content si il sait que vous volez le dessert du jour Madone...
PauliZ, 50% de cet établissement m'appartient : Je ne vole rien du tout.
PauliZ fronça les sourcils voyant que la bouzoukette continué d'emballer le plat de Tiramissu
Madone, Jeoff va pas être content s'il sait que vous donnez le dessert du jour aux pauvres...
Visiblement agacée, Leela le coupa rapidement
Je ne donne pas le dessert du jour aux pauvres.. Je le donnes aux MLBist.... OUI BON ... BREF !
Malgré le fait que je dois Struleone, La Coopérative La Z.L.O.T.E m'a relativement bien accueilli...
Je souhaite juste, avant mon départ, par courtoisie, partager avec gaya, gildass et blazord un dernier bon moment avant de reprendre le cours de ma vie de struleone.
J'ai d'ailleurs une autre vision de leurs modèles des coopératives maintenant que je l'ai vécu... C'était pas ... SI TERRIBLE
Elle prit la porte armée de son sac ou trônait le plat de Tiramissu pour se diriger vers l'entreprise.
MONSIEUR JEOFF, MONSIEUR JEOFF...
Je crois que Madone Leela à le même mal que DIEGO...
Ils l'ont retournés ces MLBistes.
Totozz qui avait changez de nom, pour différentes raisons professionnelles plus ou moins avouables rentra dans le restaurant et s'assit tranquillement.
Il attenda longuement et essaya de comprendre pourquoi la madonne courrait en criant avec un gâteau dans les mains...
Il se dit que c'était très certainement une forme de comment dire... D'éxotisme...
Finalement n'y tenant plus, il se demanda si il ne restait pas du dit gâteau et il se leva.
Totozz se dirigea donc d'un pas non chaland vers le frigouz, sa mine et sa trompe patibulaires en son devant.
*Tournesol ouvre les yeux. Elle regarde ses mains essuyant machinalement un verre qui brille à force d'être lustré.
Depuis combien de temps était-elle ainsi "endormie" ? Elle n'en avait aucune idée.
Posant le torchon et le verre, elle se retourne et scrute l'établissement déserté.
Il n'y a personne en cuisine, si on oublie Pauliz. La salle de réception est vide, tout comme le bar qui n'a aucun pilier. La porte du bureau du patron est recouverte d'une grande toile d'araignée, signe qu'il n'a pas été ouvert depuis longtemps.
Tournesol fronce les sourcils. Elle essaie de se rappeler... Le dernier souvenir qui lui revienne en mémoire, c'est d'avoir observé le Concentré d'Intelligence Bouzouk de génération R servir les clients à sa place. Après ça...une sensation de chaleur... Un rayon de soleil caressant son visage. Et puis...*
Hmmm...
*La Grande Illuminée sort de derrière le comptoir. Elle choisit une table et s'assied. Fixant la porte à laquelle elle fait face, elle attend.*
Nabuee rentre au Ristorante telle un grazouk dans un magasin de porcelaine, car elle a super méga faim. En effet, elle a décidé d’aller dérober en cuisine tous les plats à base de kahuètes.
Elle se dirige vers la cuisine, quand elle aperçoit une zoukette assise à une table.
Quelle étrange zoukette. Peut-être elle a des kahuètes à me filer ? Ou peut-être elle peut devenir ma nouvelle coupine ? Quoi que c’est risqué, je vais peut-être la bouffer elle aussi … mais si elle a une odeur de kahuète, c’est elle qui l’aura cherché ! Bon allez tanpis, je tente ma chance.
Nabuee s’approche alors de Tournesol : Bonjour TrompeCochonou.
et renifle la zoukette : Nop, pas d'odeur de kahuète .... dommage !
et décide de lui lancer une invitation : Tu attends ton plat ? Tu sais, ici le service laisse à désirer, tu ferai mieux d’aller te servir direct en cuisine comme moi, en plus c’est gratos !
«Bonjour TrompeCochonou.»
*Tournesol se retourne, se demandant à qui Nabuee s'adresse. Puis, comprenant lentement, elle reporte son attention sur elle avec méfiance, d'autant plus quand elle remarque que celle-ci la renifle.*
Je vois.
C'est mal, de se moquer.
Je n'attends pas mon plat, non. J'attends un signe.
*Impassible, la Grande Illuminée fixe Nabuee. Seul l'un de ses yeux louchant légèrement trahit le fait qu'elle regarde aussi la caméra de surveillance installée par Jeoff.*
Au fait. Je m'appelle Tournesol.
Dernière modification par Tournesol (2957-08-24 16:58:30)
BernardoW qui était parti à la recherche de Jeoff se dit que le meilleur endroit pour trouver un Struléone devait être Il Ristorante. (L'histoire raconte que c'est surtout ses scribouilleurs qui lui avaient indiqué que Jeoff se trouvait là-bas...bref).
Arrivé dans le restaurant, Le chef Censeur vit Jeoff en train de discuter autour d'une table. il prit alors une grande inspiration pour se donner du courage puis mis son plan à exécution en lançant son Ghetto CDBM Blaster.
Il savait que pour attendrir le parrain de la Fonk...il devait passer par là. Il commença par attirer l'attention du Zouk.
OUUUUhhh OUHHHHh OUUUUHHHH OUUUUUHHHHH
OUUUUhhh OUHHHHh OUUUUHHHH OUUUUUHHHHH
Quand celui-ci se retourna il s'approcha et enchaina.
♫ J'ai cherché un sens à mon existence, j'y ai laissé mon innocence, j'ai fini le cœur sans défense.
J'ai cherché l'amour et la reconnaissance, j'ai payé le prix du silence, je me blesse et je recommence
Elle m'a comme donné l'envie d'être moi, donné un sens à mes pourquoi
Je veux épouser Leela, et c'est pour ça que je suis là....
OUUUUUHHHHH OUUUHHH
Dis moi oui pour Leela,
Il me faut ton accord,
Elle vaut plus que de l'or
Alors dis moi qu't'es d'accord ! ♫
Puis le Chef Censeur se stoppa dans l'attente de réaction de Jeoff.
Dernière modification par Bernardow (2957-09-01 11:36:20)
== Bien que Jeoff n'adhérait pas du tout au style de Bernardow, il ne pu qu'être impressionné par le courage et le groove que venait de fournir le chef des censeurs. " T'as le flow mec ! " se disait- il dans sa tête. Mais Jeoff resta impassible, ne bougea d'un poil ou ni de kah trompe et laissa un long blanc en regardant le censeur droit dans les yeux. Il connaissait les sentiments de sa soeur, mais n'arrivait pas vraiment à faire confiance à Bernardow. Dans son esprit la seule réponse qui lui venait était : Heuuu ?! ... NAN! Mais en tant que Parrain de la fonk, il ne pouvait pas se limiter à ça. Une fois que le silence fut suffisamment long pour installer un léger malaise et une grosse tension, il se leva pour s'adresser à Bernardow. ==
Non d'un Zlote t'es qui toi ?
Qu'est ce que tu fous là? QUOI?!
T'as quel âge? Tu t'fous de ma trompe t'en fait blaz, montre moi tes papiers. T'en as pas? alors t'es un sans papier?!
== Jeoff commence une fouille au corps de Bernardow ==
Tu veux me ZLOTER? c'est ca tu veux emporter MA Leela? tu veux me zloter c'est ça?
Homer sort des cuisines une bouteille de Gnoulze à la main (je m'excuse d'avance de te faire parler Homer, mais personne ne va mieux que toi pour ce rôle!)
C'est qui qui veut nous faire Zloter là?
C'est Bernardow!
Zlote c'est qui Bernardow?
Il vient chercher la main de Leela !
Et tu veux quoi l'censeur? tu t'appelles comment?! T'as quel âge d'abord? Quoi on dirait que t'en as blaz !
Lui c'est kah des frères de Leela et il vient tout juste de sortir de l'asile !
MAIS POURQUOI TU LUI RACONTE CA ?
Homer sort un hachoir à trompe de sa poche arrière
Je suis allé à l'asile et j'y retournerai pas !!! Quoi t'as kah problème ? on dirait que t'as les jetons t'as jamais kah hachoir ?
Range ton hachoir Homer!
Quoi? Me dis pas ça!!
Il commence à gesticuler dans tous les sens !
HOMER DU CALME ! Bon écoute toi ( en s'adressant à Bernardow, pourquoi tu veux la mains de ma soeur et pourquoi je devrais te la donner?
Homer était en cuisine et entendit son frère Jeoff hurler.
Hum ç'est mauvais ça, c'est pas normal de l'entendre s'énerver ainsi.
Homer glissa un hachoir à trompe dans la poche arrière de son futal et sortit précipitamment des cuisines, une bouteille de gnoulze à la main.
C'est qui qui veut nous faire Zloter là?
C'est Bernardow!
Zlote c'est qui Bernardow?
Il vient chercher la main de Leela !
Et tu veux quoi l'censeur? tu t'appelles comment?! T'as quel âge d'abord? Quoi on dirait que t'en as blaz !
Lui c'est kah des frères de Leela et il vient tout juste de sortir de l'asile !
MAIS POURQUOI TU LUI RACONTE CA ?
Homer sortit le hachoir à trompe de sa poche arrière. Un large sourire se dessina sur son visage.
Je suis allé à l'asile et j'y retournerai pas !!! Quoi t'as kah problème ? on dirait que t'as les jetons t'as jamais kah hachoir ?
Range ton hachoir Homer!
Quoi? Me dis pas ça!!
Quelle trompe on coupe, QUELLE TROMPE ON COUPE? Ca fait longtemps que j'ai pas coupé de trompe.
Dernière modification par Homer (2957-09-01 13:43:50)
BernardoW eut un mouvement de recul devant Homer qui s'agitait avec son hachoir.....
Hé ho Héééé on se calme, tu vas finir par blesser quelqu'un avec ton machin pointu !
Le chef Censeur s'adressa ensuite à Jeoff.
Bon alors déjà c'est pas que sa main que je veux, non mais t'imagines je ferais quoi moi avec une main? puis ça va lui faire mal...alors déjà commence par dire à Homer de ranger son hachoir !!! On coupe les mains de personne OKKKKK!!!!!!
Puis se calmant, il enchaine :
Je veux épousailler ta soeur parce que elle a les yeux revolver, elle a le regard qui fait quêter, elle a tiré la première, elle m'a eu c'est foutu. Quand elle me prend dans ses bras, elle me parle tout bas, je vois la vie en rose. Je le sais, sa façon d'être a moi parfois vous déplait, mais elle est, ma préférence à moi. Je lui promet la clé des secrets de mon âme, je lui promet ma vie de mes rires à mes larmes. Je vais lui offrir un monde au mille et une splendeur. Je lui dirais les mots bleus, les mots qu'on dit avec les yeux, je l’appellerai sans la nommer je suis peut être démodé. Je dois juste m'asseoir, je ne dois pas parler, je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer de lui appartenir...
T'ai-je convaincu mon cher Jeoff?
Homer se calma quelques secondes pour laisser Bernardow s'exprimer puis entra dans une rage folle.
Je veux pas couper de main. JE VEUX COUPER DE LA TROMPE, DE LA TROMPE !!! APPORTEZ-MOI UNE TROMPE A COUPER OU JE VOUS LA COUPE A TOUS !!
Homer entra en transe, se mis à basculer d'avant en arrière tout en bavant, le regarde vide, le coupe trompe toujours à la main.
De la trompe, de la trompe, de la trompe, de la trompe, de la trompe .... ne cessa-t-il de marmonner.
Homer se mit soudain à sangloter.
Une toute petite trompe, je veux juste couper une petite trompe.
== Voyant Homer de plus en plus agité et de plus en plus dangereux avec son hachoir, Jeoff lui bouche la trompe pour qu'il ouvre la bouche et lui fait gober de force quelques petites boules roses, deux trois boules de Schwuiz et un bon plein de Gnoulze ! ==
Est ce que tu m'as convaincu ? NAN ! Mais t'as de l'audace et un bon groovy!! et ça c'est grave funky...
Alors je vais faire confiance à ma soeur et te dire OUI Bernardow, mais gare à ta trompe si tu la ramènes pas ici pas avant Zigsto heure ou que tu la blesses avant, pendant ou après votre union !
Capisce ?!
Dernière modification par Jeoff (2957-09-01 17:59:46)
BernardoW écouta Jeoff et plus le funky parrain avançait dans son argumentaire plus le Chef Censeur avait le sourire. Quand celui-ci eu terminé le zouk se mit au garde à vous.
A vos ordre ! Capi le Che oui !
Le chef Censeur sortit alors en courant d'Il ristorante pour se diriger vers la villa.
Homer, toujours aussi hystérique, sentit l'air lui manqué. Soudain un bon goût de gnoulze lui envahi la bouche. La torpeur le gagna.
Trompe, tromp, trom, trom ...
Homer s'étala près de son frère. Le coupe-trompe lui glissa des mains et atterrit sur un pied de Jeoff et lui sectionna un orteil.
Sans se presser, pour que Gaya puisse la suivre, Pincemi avance. Elle pense. Elle pense à Gaya qui n'éprouve pas la même attirance. Peu importe. Elle n'en est plus là.
Elle finit par s'arrêter. Les voilà devant Il Ristorante, le plus haut lieu public Struleone. Le haut lieu de sa vengeance. Elle regarde furtivement Gaya. Qu'elle est belle. Pourvu qu'il ne lui arrive rien.
Un imperceptible hochement de tête, puis elle entre.
Bonjour. Une table pour kah, s'il vous plait.
Gaya suit discrètement Pincemi, cachée sous les traits de Mara. Au grand air, son esprit se libère. Certaines brides de sa conversation avec la jolie blonde surgissent dans sa conscience.
Un bouzouk s'approche dangereusement. Gaya se réfugie derrière une poubelle. Elle patiente, glisse un oeil, puis se risque hors de sa cachette. Elle voit Mara disparaitre dans l'embrasure d'une porte. Un souffle.
Sois prudente, kamarade.
A mon tour...
Gaya pose son cabas à l'abri des regards. Elle écarte la bierro qui s'y cache, s'empare d'une bombe de peinture. A cet instant, son vieux tobozon se met à vibrer. Gaya n'a que faire d'un modèle qui lit des iVid ou joue de l'iMusic. Elle lit le message diffusé partout en ville par le MLB. Son sang ne fait qu'un tour. Sa main se crispe sur sa bombe de peinture. Gaya se précipite alors sur le premier mur venu. Ses yeux deviennent fous, sa main danse.
Très vite, les murs d'Il Ristorante Struleoni sont couverts de ses empreintes sauvages.
Pincemi n'est même pas encore installée que Gaya a recouvert la façade de son chef-d'oeuvre. La blonde a du mal à dissimuler sa satisfaction et son admiration pour le plus beau tag qu'elle ait jamais vu. Elle n'oublie pas son rôle et s'empresse de se montrer scandalisée par le vandalisme de ces bons à rien de MLBistes.
Quelle honte ! Saccager ainsi la devanture d'un si respectable établissement, c'est un scandale ! On m'a dit beaucoup de bien sur ce restaurant et sur le caviste et je suis sidérée que ces malandrins aient le culot de nuire à un endroit si convenable.
Elle prend les autres clients à témoin et chacun y va de son petit commentaire outré et bien-pensant. Pincemi se retient de gerber et de rire en se voyant dans un miroir en train de singer ces bourgeois au cul serré. Elle prie pour que, même au sommet de sa corruption et de sa fortune, elle n'ait jamais été aussi ridicule.
Mais que fait la bouzopolice ? Doux Schnibble, c'est toujours quand on a besoin d'eux qu'ils ne sont pas là ! Sans doute à confisquer des gnoulzes au marché noir. Ils feraient bien la paire avec ceux du MLB !
Elle affiche un air entendu et guindé et rit sous cape.
Arrivant enfin à Il Ristorante, après son petit détour par le parvis de la mairie, Leela ne vit qu'une seule et unique chose à son arrivée.
Mon Schnibble, mais ils sont pire qu'un schnibble corrompu ceux là.
Elle passa la porte, déposa son manteau sur le tabouret prés du bar et s'adressa à PauliZ
Fait nettoyer ça avant le retour de Jeoff.
les clodos n'ont jamais eu très bon gout en matière d'art...
Sauf Obey Madone...
Elle se radouci : Oui.. Sauf Obey.
Claquant dans sa main comme pour rythmer le passage à l'acte de PauliZ, elle s'engouffra dans la salle du Risto pour rejoindre l'arrière boutique. Elle avait en sa possession quelques documents qu'elle devait déposer sur le bureau du patron. Elle avança vers la porte, prit la poignée... marqua une pause puis recula.
Mara ? Il me semblait bien avoir reconnu une silhouette familière.
C'est marrant ça... Tu travail Chez Rousseau, et voilà que je te croise ici aussi.
Coïncidence ? La vie est bien faite n'est ce pas..
Pincemi a bien essayé de se faire discrète mais faut croire qu'elle est toujours remarquable. Obsédée par l'idée de se venger de Jeoff, elle en avait oublié que Leela co-gérait le Ristorante. Tout en se demandant pourquoi Leela crie en disant certains mots, Pincemi fait de son mieux pour tenir son rôle, s'appliquant à appliquer les mêmes codes de communication.
Leela ?! Alors là, c'est incroyable ! Je suis aussi surprise que toi ! J'avoue que je ne m'attendais pas à te croiser ici. J'ai gagné un prix à un jeu de la mairie. Un jeu amusant et tellement divertissant ! Euh... Parions des struls, ou un truc dans le genre. Pour fêter ça, j'ai voulu faire un bon repas et d'après les guides gastro du guide micheline, cet endroit est le meilleur.
Et toi ? Tu viens pour déjeuner ? Oh dis donc, tu as vu la façade vandalisée ? Je suis scandalisée ! On déjeune ensemble ? Oh tu ne déjeunes peut-être pas avec tes employés. Je devrais plutôt attendre qu'on m'attribue une table.
Leela avait l'air de soupçonner quelque chose. Il fallait la jouer fine.
Gaya observe son œuvre. Le vent frais lui bat le visage, fait flotter ses dreadlocks pâles, irrigue ses poumons. Elle se sent une âme de résistante.
Nous mettrons fin au dictat de la Famille ! souffle t'elle.
Gaya dirige son regard vers l'intérieur du bâtiment. Ça s'agite. C'est encore un peu mollasson. Gaya retrousse ses manches.
Le corrompu ventripotent ne devrait pas ignorer le pauvre qui grogne.
Ils sont tellement attachés à leur confort, tellement sûrs d'être à l'abri derrière leurs murs. Gaya cherche une perruque reconnaissable, la repère, esquisse un geste en direction de sa poche, porte la boite d'allumettes à ses lèvres. Elle l'effleure, sans perdre sa kamarade de vue. Son bien sera utilement employé.
Puisque personne ne l'inquiète, Gaya rassemble tranquillement des éclats de bois, subtilise les poubelles du restaurant, amasse tout ce qui est inflammable.
Être enfumé par ses propres déchets de bourgeois trop exigeant.
Gaya goûte l'ironie et s'apprête à déchainer un beau brasier. Un espoir l'envahit. Puisse le kamarade Zorba observer les résultats depuis l'asile immonde où il est injustement retenu.
Face à Mara, Leela senti son I-TobZ vibrer, ce qui la déconcentra quelques peu. Elle écouta néanmoins la bouzoukette à la tignasse Afro tout en pianotant sur celui-ci.
Oh dis donc, tu as vu la façade vandalisée ? Je suis scandalisée !
Aheum, Oui ? La façade ?
Ne t'en fais pas pour ça. C'est une broutille.
On déjeune ensemble ? Oh tu ne déjeunes peut-être pas avec tes employés. Je devrais plutôt attendre qu'on m'attribue une table.
Toujours un peu distraite, elle répondit à son interlocutrice.
C'est gentil, mais je passais juste en coup de vent.
Affaire de famille. Je dois déposer quelques dossiers au Patron.
En marmonnant : PauliZ, La clientèle voyons !
Leela prit le temps d'inviter Mara à s'installer à une table avant de se rediriger vers la porte du fond. Elle y entra quelques secondes, et en ressorti aussi vite, prenant bien soin de fermer la porte derrière elle. Elle salua la bouzoukette et ressorti du Ristorante.
**Pincemi, après le passage de la tornade Leela, se retrouve installée à une table, seule. Après avoir fait mine d'y réfléchir, elle commande n'importe quel coquetel contenant de la bierro, histoire de ne pas éveiller les soupçons. Tout en le sirotant, elle regarde fixement la porte du fond, sa langue jouant négligemment avec la paille de sa boisson.**
Je dois trouver un moyen de m'introduire...
**Absorbée par ses plans d'infiltration et son désir de vengeance, Pincemi, croyant Gaya enfuie et à l'abri au Skwat', ne remarque pas ce que sa Kamarade concocte.**
Rousta passa par là pour poser des tracts...
- Ça va faire plaisir à Jeoff !
== Jeoff passe devant le flyerZ posé par Roustache ==
Une soirée meu meu... meu meu meu
SoiréeS MEUSTACHE
Dernière modification par Jeoff (2957-09-29 16:35:09)
*Fraîchement reviendue d'une énième Quête du Schnibble, Pincemi, après un repos du guerrier bien mérité au Skwatt' dans les bras de Gaya, se rend au Ristorante. Elle entre et demande poliment.*
Bonjour, j'aimerais voir Jeoff, s'il vous plaît. C'est pour une affaire privée.
Pouvez-vous voir s'il peut me recevoir ?
== Jeoff était dans son bureau, déprimé après avoir perdu Karambo pour des raisons plus qu'étranges à ses yeux ! Il essayait de ne pas trop se morfondre et de rester fort parce qu'il souhaitait que la colline ait ce genre d'image concernant la famille. Pauliz toqua à la porte de son bureau pour lui dire que Pincemi, fraîchement revenue de quête, la peau lisse comme au premier jour et le cheveu blond comme la bave de pioupiouk, l'attendait à une table.
Elle veut me voir? Moi qui pensais qu'elle me détestait...
Dis-lui de me rejoindre dans mon bureau... et sers-moi kah bourbonZ.
Comment ça, tu ne sais pas ce que c'est? M'en fou sers m'en kah et plus vite que ça!
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