Dans cette folle vague d'événements (trop rapide pour la gomme à mastiquer qui lui sert de cerveau), Bouchbouch se perdit et se sentit profondément gêné. La bonté de Karambo fut si intense à ses n'yeux qu'il ne sut plus quoi faire, se laissant emporter par la tendre main de la zoukette.
Il ne pouvait pas totalement se résigner à partir, car il devait absolument manger et boire pour sa survie. Mais les paroles de la demoizoukette le firent bloquer cognitivement parlant. Il préféra la suivre et l'admirer.
"A quoi bon se forcer, elle est intrigante. Autant apprendre d'elle !"
Rousta s'avança dans la ruelle, discrètement... Il y accrocha une pancarte, et sortit de la ruelle sans plus attendre...
Ici le Club des Bonnes Moeurs !
Ajuntapall et Woodruff, deux mendiants, deux faux mendiants qui s'amusent à investir cette ruelle tous les jours en vous faisant croire qu'ils ne peuvent subsister sans vos dons. ILS VOUS MENTENT !!!
Ne leur donnez rien, ce sont des profiteurs du système. Restez du côté de la Justice, car elle est JUSTE.
BernardoW qui venait de faire plumer au plouk dans une ruelle malfamé, se retrouva littéralement a pwal au milieu de la ruelle des mendiant. Main sur les bluxtres, il se mit à courir en direction du CdBM pour allez se rhabiller.
Un transportozon de la Maison du Bonheur, toutes sirènes hurlantes, déboule dans la Ruelle des Mendiants.
Il s’arrête, la porte s'ouvre.
D'un grand coup de pied au derrière, un bouzouk vêtu de peaux de crocomouth est expulsé dans le caniveau.
Le transportozon repart en trombe.
Zorba ne sait toujours pas comment il a fait pour atterrir là....
Au milieu de la jungle. Au fin fond de nul-part.
Zorba vit retiré là. A l'écart de toute civilisation, seul, en communion avec la Révolution.
Il chasse, pèche, cueille, pour se nourrir. Récolte du raki sauvage.
Il méditait au soleil quand soudain, un silence pesant s'abattit sur la jungle.
Tous les volatiles s'envolèrent subitement comme si une météorite allait tombée.
Et c'est un ziklik qui apparu à une trompe de Zorba.
Zorba n'eut pas le temps de se remettre de l'émotion de l'apparition d'un tel engin si loin de Vlurxtrznbnaxl.
Qu'il était déjà bâillonné, encamisolé, jeté dans le ziklik et zikliké à la Maison du Bonheur !
"Zorba ! Tu es condamné pour séquestration de Dedel !
Attachez le en cellule et virez moi demain matin cette raclure révolutionnaire !"
Et c'est ignorant tout de la raison de son internement, et même de comment le CdBM avait fait pour le retrouver en quête, alors que d'autres avaient échoué;
Danaeis passait dans la ruelle des mendiants comme tous les jours, pour donner son peu de struls aux necéssiteux. Mais pas de mendiants aujourd'hui. C'était une bonne nouvelle, ça voulait dire qu'elle faisait bien son travail de maire. Elle vit alors une drôle de silouhette qui traînait là. Elle s'approcha avec méfiance. Il s'agissait d'un zouk étrange vêtu de cuir de crocomouth. Il ne semblait pas du coin.
Oh la Kamarade.... t'as l'air dans un état pas fameux... t'as besoin d'aide?
Elle scruta l'étrange vioc sauvage. Il lui semblait inexplicablement familier, et elle se demandait bien pourquoi. Même dans cette tenue ridicule, le barbu exaltait une impression étrangement respectable aux yeux de la jeune mlbiste. Elle était bien trop curieuse pour passer son chemin, et puis elle ne laissait jamais un miséreux sans lui apporter son aide.
Elle fouilla dans ses poches à la recherche de quelque chose d'utile. Un rakitozouk, une bierro et un Flopper. Elle se félicita d'avoir toujours sur elle un kit minimum de survie révolutionnaire. Elle s'approcha encore un peu plus du zouk qu'elle n'identifiait toujours pas comme Zorba, et lui tendit le flopper et la bierro, lui adressant la parole d'une voix très douce.
Je suis Danaeis. Je ne t'ai jamais vu dans la ville. Pourtant je connais presque tout le monde. Tu viens d'où?
Zorba était complétement hagard.
Son neurone cognait dans tous les recoins de son crâne. Sous l'effet des analgésik, anti-trompik, neurastelgik et autres p'tites boules rozes, c'était un univers totalement halluciné qui se présentait sous ses yeux.
Il se dirigea machinalement vers son spot de mendiant pour y prendre sa pancarte.
En ouvrant la poubelle il tombe trompe à trompe sur le Fonctionnaire.
"C'est ton jour de chance pardi ! T'es pauvre ! Et le Maire fait des dons aux pauvres.
Tiens voilà 1000 struls. Par contre ça veut dire que tu peux pas mendier. Donc je garde ta pancarte ! héhé "
Le fonctionnaire veut mettre la liasse de billet dans la poche de Zorba, mais voyant qu'il n'a pas de poches, la glisse sous la toque du bouzouk.
"Ha ! ... et fais gaffe à ton crâne, ils annoncent une pluie de météorites aujourd'hui ! "
Et Zorba se remit à errer dans la ruelle jusqu'au moment où une jeune bouzoukette aux cheveux multicolores s'approcha de lui.
Oh la Kamarade.... t'as l'air dans un état pas fameux... t'as besoin d'aide?
Zorba ne réagissait pas, hébété, il contemplait de son regard vide, la soudaine apparition de la bouzoukette.
Elle lui tendit un flopeur, et une bierro. Zorba prit cette dernière et se souvint que cela faisait six mois qu'il n'avait pas bu une bonne bierro. (Enfin si, mais la bierro artisanale de la jungle n'a rien à voir avec celle de Vlurxtrznbnaxl...)
Je suis Danaeis. Je ne t'ai jamais vu dans la ville. Pourtant je connais presque tout le monde. Tu viens d'où?
En disant son nom, la bouzoukette réveilla Zorba, qui se mit soudain à comprendre clairement ce qu'elle disait.
"Je ne te connais pas, mais pourtant je sais qui tu es. C'est la première fois que j’entends ton nom, mais la Révolution m'a déjà beaucoup parlé de toi.
J'étais là où partout est nulle part. Là où les bouzouks s'en vont et ne revienne parfois jamais.
J'ai été zikliké à la Maison du Bonheur, mais à part ça, je ne me souviens de rien.
Tu ne sais pas qui je suis, mais pourtant tu me connais déjà. Et nous avons déjà commencer à nous connaitre par le message de la Révolution."
Je suis Zorba.
Dernière modification par Zorba (2958-04-05 00:11:01)
Danaeis sourit quand le vieux zouk saisit la bierro. Un bon choix. Elle écouta les étranges paroles de celui ci avec une moue circonspecte. D'après ce qu'elle comprenait, c'est à dire pas grand chose, il revenait de quête. Elle haussa les épaules. Il avait parlé de Révolution, donc c'était un Kopain, forcément, et il n'en fallait pas plus à la jeune zoukette. Et puis la maison du bonheur ça abîmait le neurone parfois, tout le monde savait ça. Elle allait lui proposer de venir au skwatt' quand il prononça:
"Je suis Zorba"
Elle se figea, et lâcha le rakitozouk et le flopper qu'elle tenait dans ses mains. Pourtant c'était vraiment très grave de laisser tomber un flopper. S'il tombait trop fort, il pouvait se casser et devenir moins facile à manger. En plus dans la ruelle sale, un Flopper par terre pouvait devenir impropre à la consommation. Et ça c'était vraiment dramatique. Encore plus que de gâcher une bierro.
Sous le coup de l'émotion, son neurone s'éteignit. *TILT* . Elle resta donc ainsi quelques secondes, qui lui parurent des heures, les yeux écarquillés jusqu'à ce qu'enfin...
Elle revint un peu à elle en secouant la tête, et bégaya quelques mots.
Ca... pas possib'... Zorba Grand Leader... Zorba quête... Zorba pas là.... Raki. Besoin raki.
Elle ramassa le rakitozouk tombé et l'essuya soigneusement, avant de l'allumer pour fumer un coup. Le raki ayant de nombreuses vertus pour aider à la réflexion révolutionnaire, la zoukette rassembla son neurone dans la fumée.
*système réinitialisé après procédure d'urgence*
Aaaaaah mieux. Beaucoup mieux.
Elle fixa alors l'ancien, et comprit pourquoi elle avait l'impression de l'avoir déjà vu. Son visage était partout sur les murs du Skwatt'. Mais avec moins de barbe et de vrais vêtements. C'était bel et bien Zorba rentré de quête. Elle rougit légèrement d'avoir pu paraître si bête devant Lui.
Ahem. Toutes mes confuses pour ce moment de flottement Kamarade. La surprise sans doute. Mais c'est un honneur de te rencontrer.
Elle inclina la tête avec respect. "Bon et maintenant je dis quoi moi? Rencontrer Zorba... Il aurait fallut que je me prépare au moins 3 ans pour ça..." Ne sachant pas vraiment comment se donner une contenance, elle tendit maladroitement le rakitozouk à son idole.
Raki?
Après son licenciement aussi rapide que la descente de KAH pochtron, Buck était retourné ne rien faire dans les Jardins Publiques. Sauf que, maintenant qu'il était KAH bouzouk, le Percepteur le trouvait toujours pour lui annoncer les taxes sucrées du maire, et il ne pouvait se cacher éternellement dans les buissons ou les arbres comme il le faisait quand il était encore KAH phoenix.
Cette fois ci, le Percepteur contempla la fortune du bouzouk, et soupira.
« La prochaine taxe, t'auras pu rien. Tu devrais trouver KAH job, ou aller dans la ruelle. Enfin, je dis ça surtout pour avoir quelque chose à te taxer la prochaine fois que le maire a envie de sucreries, moi, ton bien-être, pour ce que j'en ai à faire... »
Et il était reparti en prenant BLAZGNEE pour KAHGNEEGNEE de la maigre fortune du bouzouk. Buck était dépité. Il avait déjà dû affronter des difficultés en étant phoenix, mais ses serres aiguisées lui avaient toujours permis de trouver de quoi se nourrir quand les struls étaient invisibles. Mais là, il avait beau essayer, il n'arrivait à rien, et les baies ne lui suffisaient plus. Il commençait à avoir la tête qui tournait le matin, et il était parfois très fatigué. Alors il décida de suivre les indications du Percepteur, et tenta d'aller trouver KAH nouveau travail. Cela ne serait pas facile, car sa fierté de phoenix l'empêchait de travailler. Lui, il aimait bien être payé à être admiré par les clients comme il l'était au Nefertiti's Club quand il avait encore des plumes, ou à surveiller que les employés traitaient bien les pioupiouks chez Evil Piouk... Ce qu'il avait totalement raté par ailleurs, quand il avait surpris ZIG employés faire des combats de pioupiouks et que le CDBM l'avait accusé de dénonciations de collègues.
Tout en pestant contre cette sombre affaire, Buck n'avait pas fait attention au chemin emprunté. Alors qu'il pensait se retrouver dans le Centre Administratif, il arriva à l'entrée de KAH ruelle malodorante où certains bouzouks gisaient, et d'autres s'amusaient. L'odeur lui fit retrousser la trompe et lui donna KAH mal de crâne. Il fit quelques pas en titubant, puis s'écroula pour reprendre ses esprits. Son ventre gargouilla violemment, ce qui fit rire son voisin, qui lui offrit KAH pancarte et KAH stylo qui fonctionnait KAH fois sur ZIG.
Après avoir réfléchi autant que lui permettait son mal de tête, Buck écrivit sur sa pancarte :
« C'est par où la sortie ? »
Cela fait de nombreux jours que Botox n'a plus revu christox, c'est même plus précisément depuis une certaine histoire de grande fatigue et profond sommeil, le zouk avait fait un retour triomphal, que l'on pouvait considérer comme Royal, surtout du point de vue de Botox.
Mais suite à ce retour... Rien... Le vide total, la ville ne semble plus être la même, jamais Botox n'a ressenti un tel manque depuis sa création par le Divin Schnibble. Son maître est introuvable, mais par la même occasion, il ne parvient plus à localiser Sa Grande Prêtresse Sangtriste. De ce qu'il a entendu, Eloh aurait pris sa place à la Secte du Schnibble, Botox aurait dû y aller afin de célébrer la nouvelle Grande Prêtresse mais son Instinct Schnibblique ainsi que sa dévotion au ZoukôChapooo lui indiquent qu'un grand malheur risque d'arriver si christox n'est pas "sauvé". Concernant Sangtriste, selon lui, son danger n'est pas tout aussi grand, elle saura réapparaître quand Schnibble aura besoin d'elle.
Qui penserait que Schnibble offrirait des visions dans les plats de spaggioulis et dans les barres de céréale flopeurs ?? Il y a des choses que nous n'apprenons pas à l'école des Saint-Larbins !
S'ensuit une course contre le temps pour retrouver son Maître à qui il doit tout, à ses yeux même Schnibble n'arrive pas à la cheville de Son tout puissant. Ce fut une course effrénée, il fallu d'abord enquêter afin de retrouver des indices que le Zouk aurait pu laisser derrière lui. Botox connaissant très très bien son Maître, il sait qu'il parvient toujours à perdre n'importe quel objet de valeur sur son chemin, c'est d'ailleurs lui qui, suivant christox, ramasse ses objets perdu pour lui rendre avec fierté. Seulement, cette fois-ci...
Rien...
Le seul indice date d'une vieille lecture du registre des entrées et sorties par la barrière qui enquête. Apparemment le Zoukôchapooo n'aurait plus toute sa tête, il alternerait entre le Chemin de la Quête et l'Asile, chose plutôt inhabituelle pour christox lui qui sait rester chez lui à ne rien faire.
Alors Botox s'est renseigné comme il pouvait sur ce comportement plus que suspect, c'est avec un Courage Schnibblique qu'il a rendu visite au Bar des Pochtrons, dans un lieu qu'il avait déjà visité : La Taverne...
...de Zangdar.
De très mauvais souvenirs ont ressurgis dans son petit neurone durant l'enquête.
Ce fut pourtant un mal pour un bien, car cette petite expédition, qui se révèle avoir été un vrai défi, lui a permis de découvrir certaines rumeurs à propos d'expériences menées par l'Asile sur les Zouks. Botox a entendu bien d'autres rumeurs toutes plus extraordinaires les unes que les autres mais seulement celle ci-dessus est parvenue à capter son attention.
J'arrive Maître ! Christox attends moi, je me charge de ta libération !
Durant ses voyages à travers la ville dont on taira le nom trop compliqué, Botox a rencontré beaucoup de zouks, et parmi ces zouks, l'un d'eux, à l'air dépité, se faisait sauvagement gronder par le percepteur : «La prochaine taxe, t'auras pu rien. Tu devrais trouver KAH job, ou aller dans la ruelle. Enfin, je dis ça surtout pour avoir quelque chose à te taxer la prochaine fois que le maire a envie de sucreries, moi, ton bien-être, pour ce que j'en ai à faire...»
Malheureusement le petit Saint Larbin était bien trop occupé pour tenter d'aider ce jeune zouk à la chevelure flamboyante... Jusqu'à ce que quelques temps plus tard, des heures ou bien des jours ? Le Larbin a perdu la notion du temps lors de la perte de christox.
Au milieu d'un élevage de pioupiouk ne cherchez pas à savoir comment Botox a pu terminer là dedans! une plume bien plus dorée que les autres attire son regard. Cela ne peut qu'être un signe. Le Jeune Zouk Flamboyant a besoin de son aide et il l'aidera en retour !
Mais oui ! Aide ton prochain et il t'aidera peut être pas en retour ! On nous l'a appris à la Sainte Ecole ça !
Maintenant que les ruelles sombres ça le connait, Botox enfile son blouson-conçu-spécialement-pour-ses-enquêtes-ultra-secrète-concernant-le-bien-être-de-christox jusqu'à atteindre la pancarte au jeune Zouk aux cheveux rayonnants comme le soleil.
Suite a une grande aspiration, le Saint Larbin prend un timbre de voix mystérieux afin de garder l'anonymat.
Concentration.
Bonjour jeune zouk Flamboyant. Je tiens tout d'abord à me présenter : Je ne suis qu'un simple Saint Larbin cherchant à libérer son Majestueux Maître des Grands méchants aux aiguilles transperçantes.
Je ne sais que très peu de choses de toi mais Schnibble m'a dit a travers les pioupiouks que tu es capable d'aider mon Maître.
C'est pourquoi je suis ici. Je tiens à réclamer ton aide. En échange, mon Maître te récompensera comme il se doit, tu peux me croire, il paye toujours ses dettes !
Cette missive contient toutes les informations dont tu as besoin.
Attention ceci est une missive ultra confidentielle, tu ne dois en aucun cas en dévoiler le contenu si tu en es le destinataire. Si t'es un voleur de missive et que tu l'as volé, bah c'est pas bien Schnibble te punira !!
Cher Zouk, ce job qui t'est confié consiste à libérer Le Zouk répondant au nom de Christox. Il est enfermé à l'asile où ils font surement des expériences peu recommandées pour le bien être d'un bouzouk! Je compte sur toi et ton honneur si tu en as... pour venir à mon aide. Lorsque je te ferai à nouveau signe, il sera temps pour toi d'agir.
Cela risque de prendre du temps, alors essaye de ne pas quêter jusque là ! Pendant ce temps j'apprécierai que tu infiltres l'Asile, et pourquoi pas y travailler quelques temps ?Si tu veux sortir de cette ruelle sombre, il te suffit de suivre la Lumière. C'est Schnibble qui l'a dit
Signé : Saint Larbin Anonyme.
La petite chose colorée de bleu et de rose s'éloigne d'un pas rapide comme si elle connaissait déjà le chemin... Ah non, Botox a juste peur, il prend la fuite, ne laissant qu'entrevoir une lueur multicolore derrière lui.
Buck était à l'horizon du sommeil quand quelqu'KAH lui fit de l'ombre. Il pensa que la personne allait lui donner des struls, comme la plupart des gens qui s'arrêtaient devant lui -si peu soient-ils-, mais non, c'était KAH tâche riquiqui et toute jaune et rose et bleue. Il plissa les n'oeils pour netteter l'image KAH peu floue, quand celle-ci se mit à lui parler. Elle ne donnerait donc pas de struls. Buck gardait difficilement les n'oeils ouverts, mais la voix mystérieuse et aiguë qui s'échappait de sous le chapooo rose le tenait KAH peu éveillé.
Il ne comprenait pas grand chose, comme toute chose qui touchait au Schnibble dont il avait entendu le nom, mais plusse la chose parlait, plusse Buck sentait son ventre grogner et de légers souvenirs gustatifs lui revinrent en mémoire. KAH petit truc jaune et rose et frétillant, il en avait connu KAH, mais la faim l'empêchait de réfléchir convenablement. Tout ce qu'il se souvenait, c'était qu'il était voué à être mangé, et qu'il ne l'était pas. Et qu'il avait du bleu. Alors Buck, à force de fixer le Saint Larbin Anonyme, le vit peu à peu se transformer en grazouk rose et bleue, et l'ancien phoenix le regarda avec énormément d'envie. Il tendit doucement la main vers le grazouk, mais celui-ci lui remit KAH enveloppe dans la main tendue. Grommelant, Buck ouvrit l'enveloppe. Même s'il voulait le manger, il fallait rester poli avec.
Après avoir lu quelques lignes : « Je crois pas être KAH voleur de missive... Il me l'a donné... Mais si c'est lui le voleur ? Arf, faut que j'arrête de réfléchir, ça donne mal à la tête. », il se gratta le front en se demandant toujours pourquoi la chose jaun-anonyme s'adressait à lui. Mais KAH mot attira son attention F-M-R. Buck voulu se redresser rapidement, mais il était tellement fatigué qu'il retomba aussi vite. « Ouaip', c'est bien à terre finalement. »
Il se secoua la tête et se frotta les n'oeils, pensant avoir mal lu, mais oui, il y avait bien le nom de christox dans la lettre « Il était pas en quête lui ? » L'idée de sauver son ancien ami ne le dérangeait pas, à défaut de pouvoir chercher l'autre ancienne Aamie. Et en plusse, la lettre indiquait comment sortir de la ruelle. Il releva la tête pour poser KAH question au Saint Larbin Anonyme, mais il avait déjà disparu. Alors Buck rangea la lettre dans la poche de son sweet, se roula en boule et s'endormit rapidement.
Sauver christox, peut-être !
Trouver KAH job, peut-être !
Mais dormir avant tout.
Pincemi viendait juste de reviendre. Elle avait déjà dépensé sa maigre bourse d'étude au lohtoh et au bonneteau, toute assoiffée de champo qu'elle était. Elle s'était également acquittée du montant de son impôt, qui avait amputé son maigre budget de 80%. Elle s'était retrouvée acculée (ce n'est pas un gros mot) à la mendicité et, toute snob qu'elle était, tendait la main pour kah piecette ou zig, tout en rédigeant son cévé de l'autre main. Schnibble avait répondu à la détresse de sa blonde préférée et avait pourvu à ses besoins par le biais de la Grande Prêtresse en personne, qui, contre pas toute attente, était à présent Eloh. Pincemi irait s'enquérir de ce qu'était devenue Sangtriste (et crole, Nabuee, dedel, Karambo, Christox et les autres) un autre jour. Pour l'heure et comme toujours, seule sa jolie trompe comptait.
Dedel, faisant sa visite quotidienne aux puants de la ruelle des mendiants, marche d'un pas léger en pensant à tout ce qu'il a de plus qu'eux et à quel point il est génial quand il aperçoit une nouvelle. Loin de reconnaître Pincemi, il s'arrête devant elle, secoue ses poches pleines de struls et lui en file quelques unes.
Salut la gueuse, tu es un laideron mais tu es bien bonne ! Voici pour ta pitance !
Pincemi ramasse les pièces, bol zig oblige. Elle regarde celui qu'elle prend pour Glady.
Alors minus ? T'en es encore à essayer de me ressembler ?
Mon ascension a déjà commencé et il ne me faudra pas longtemps pour te piétiner, résidu de fausse blonde.
Évidemment, de la ruelle et main tendue, c'est ptet pas crédible tout de suite, mais Pincemi ne recule pas pour si peu.
Dedel grimace, secoue sa main et s'en va.
Ces clodos, faudrait qu'ils arrêtent un peu la bierro !
== Cela fait bien longtemps qu'un Parrain n'a pas mis le pied à la ruelle des mendiants. C'est oublier ses origines ! c'est de là en tout cas que Jeoff vient! il décide donc d'entreprendre un petit tour pour y jeter des pièces. ==
"Pour avancer dans la vie, il faut savoir faire quelques sacrifices. Mais quand même, vivement qu'un maire compétent m'enstrule"
== Ces mots lui plaisent et sans trop regarder qui les prononce il balance dans cette direction des struls ==
Pincemi reçoit un strul dans l'oeil. Elle se plaque les zig mains sur le noeil meurtri tout en jurant ses grands Schnibbles.
Nom de Schnibble de Baz'Art d'excrément de crocomouth moisi, kicé le manchot de la trompe qui balance ses pièces sans regarder %&#@$ø£ !
Elle ramasse tout de même les pièces tombées au sol avant qu'un des autres mendiants, qui mendient depuis au moins kahgnee ans, ne se rue sur son maigre pécule. Quand elle retire sa main de son oeil pour voir qui est le manchot de la trompe qui balance ses pièces sans regarder %&#@$ø£, elle voit encore un peu flou. Elle regarde dans la direction d'où proviennent les misérables pièces et, bien qu'il ait beaucoup changé et que sa vision soit trouble, elle le reconnaîtrait entre kahgneegneegnee.
Dis donc, Jeoff ? Kahgnee struls dans laggle ? Avant, c'était par liasses de ziggneegneegnee que tu me les donnais. Et encore, dans une enveloppe parfumée, encore humide de la bave du baiser que tu y avais déposé et l'heure de notre dru à poo multi-quotidien !
Désireuse de faire sa B.A. quotidienne, Karambo dépêcha kah pioupiouk dans la Ruelle des mendiants pour déposer dru struls dans la kahière écuelle venue. Le pioupiouk dévolu à cette course revenait tout juste de chez le V-tô pour animutants. Encore sonné par la pikouz sévère qu'il avait reçu, il distinguait très mal les couleurs. La chevelure blonde de Pincemi fut la seule à attirer son attention. Il vint se poser sur la tête de la blonde et lui fourra les struls dans la bouche qu'elle avait grande ouverte. Il s'envola ensuite en piaillant avec le sentiment du devoir accompli.
Dernière modification par Karambo (2958-11-29 15:58:51)
== Le Parrain était assez lasse de ne pas trouver de mendiant convenant à la famille comme ceux qu'il avait trouvés lorsque son père lui avait confié il y a bien longtemps cette mission. Il jettait donc les pièce à droite à gauche, continuant sa route sans trop savoir où elle allait le mener... ==
" Dis donc, Jeoff ? Kahgnee struls dans laggle ? Avant, c'était par liasses de ziggneegneegnee que tu me les donnais. Et encore, dans une enveloppe parfumée, encore humide de la bave du baiser que tu y avais déposé et l'heure de notre dru à poo multi-quotidien !"
== ... ==
== ... ==
== MAIS ?! ==
MAIS ?!
_______________
== Copieur ! ==
Toi même
________________
== Le Parrain se retourne vers la voix. Se frotte les yeux et les plisse à plusieurs reprise pour être certain de ce qu'il voit. ==
Peh peh.... PINCEMI ??
== Il sort de sa poche des billets qu'il balance un à un en plein visage de Pincemi ! plus de billets ! Il tâte ses poches et jette sur elle le peu pièce qu'il lui reste ! ==
Pincemi!!! ... tu m'as vidé les bourses !
== Il tend sa main pour relever la belle blonde, lui offre son manteau pour la protéger du froid et l'invite à entrer dans sa LimZouzine ==
Pincemi danse sous la pluie de struls que Jeoff fait tomber sur elle. Elle tourne sur elle-même et offre son visage aux billets. Une pièce lui atterrit dans l'oeil, mais peu timporte, Pincemi est heureuse de ce brusque changement de météo.
C'est pas encore un bain de struls mais on commence à s'en rapprocher !
Pincemi enfile le manteau sur ses épaules et se dirige vers la LimZouzine.
Ben dis donc, si j'te connaissais pas bibliquement, je dirais qu'on cherche à compenser quelque chose. T'as vu la taille de ton engin ?!
Devant Jeoff, elle marque un arrêt.
Tu as toujours su comment me faire plaisir.
Elle sourit, mi provocatrice, mi nostalgique, mi molette.
Beaucoup de plaisir.
Elle laissant tomber le manteau du Parrain de ses épaules et s'engouffre dans la grosse voiture, d'où ne tarde pas à jaillir sa robe de pouilleuse.
Allez, Don Grand Fou, fais péter la robe de créateur, le champo et la partie de jambes en l'air !
== Pincemi toujours aussi charmeuse dénuda ses épaules, ce qui fit immédiatement rougir le Parrain. Elle s'engouffra dans la Limzouzine découvrant ainsi le haut de ses jambes et laissant entrapercevoir la belle forme de son tulavu. Jeoff ne pu s'empêcher de reluquer, mais tourna rapidement la tête et ferma les yeux le temps qu'elle s'installe. ==
Kah belle robe de créateur pour toi?
j'ai toujours ça dans le coffre !
== Il ouvrit le coffre et poussa un zouk ligoté à l'intérieur pour qu'il avait prévu un passage aux aveux musclé. Mais préoccupé par la belle blonde, il laissa ce dernier sur le trottoir et amena le vêtement à la Zoukette. Ce qu'il avait oublié, c'est que cette dernière n'avait pas notion de la pudeur...==
Allez! En route pour la Villa fissa et illico presto prompto !
Dernière modification par Jeoff (2958-12-04 13:31:05)
Pincemi se consortium contorsionne dans le véhicule pour tenter d'enfiler la robe.
Y a pas beaucoup de tissu, dis donc. Remarque, sur le nombre de robes qu'on m'a offertes, il en manquait toujours beaucoup à au moins un endroit.
En se tortillant.
Y a pas de champo dans ta LimZo grand luxe ou c'est de revoir mes boobz qui te fait perdre tes bonnes manières ? D'ailleurs, en parlant de bonnes manières, tu m'as toujours pas sauté dessus. On attend d'être à la villa ou... Rha, zlote d'excrément, je suis coincée !
Pincemi se débat, la tête dans la robe, les bras en l'air prisonniers du tissu, les boobz et le reste à l'air.
*Kir n'avait pas croisé la farandole des pleines balloches. Il se pose dans un coin de la ruelle, avec sa bierro Coule-Gennie et Brizkran*
Brizkran:
*Kir commence à écrire sur le carton mais Brizkran grogne de plus en plus fort*
Brizkran:
Kir: Quoi?
Brizkran:
Kir: Ah. Ok
*Kir attrape la gamelle et la balance façon frisbee.*
Kir: Tiens
Brizkran:
*Brizkran va la chercher, causant un tremblement de terre de force 2, renversant trois stands de mendiants et faisant 3 blessés parmi les forces de bouzopolice. Kir s'en fiche un peu, en plein dans son idée*
Kir: DU COOL GÉNIE! Je vais récolter des fonds pour faire tourner ma star-top et rendre ma bierro au raki buvable. On va appeler ça
*Kir se gratte la tête*
Kir: Du KRO-FUNDING. Le nom sonne bien, ça veut rien dire mais ça parle de bierro. Zéro risque.
*Kir se gratte la tête, encore*
Kir: on va faire des paliers. Quand on atteint un palier, c'est bien. Enfin, c'est mieux. On fera des trucs symboliques. Du genre bosser. Peut-être. Ou pas. Enfin, pas trop. On verra plus tard les détails.
*Kir finit sa pancarte pendant que Brizkran, tout content, couvert de boue, de poussière et de peu importe ce que ça peut être, revient avec la gamelle. Kir lui tapote la tête et récupère la gamelle qu'il jette devant lui*
Brizkran:
Kir: Y a plus qu'à!
KRO-FUNDING:
Financez les expérimentations de bierro au raki de l'entreprise star-top "Coule-Gennie"!
Palier 1: Me motiver à y regoûter |50 struls|
(c'est imbuvable mais j'en suis pas 100% sûr encore)
Bien emmitouflée pour ne pas attraper de maladie rare (AFMTelethon), Karambo se pointa dans la ruelle des mendiants. Seuls zig pelés trainaient par là, signe que la Mairie oeuvrait contre la pauvreté, en plus de tenter d'éradiquer la maladie. Qu'elle ne fut pas sa surpriZ lorsque ces n'oeils croisèrent la route de kah horrib' et médisante petite pancarte.
Le Maire est enfin arrivé à la Mairie. Mais que fait-il en plus de prendre son salaire?
Karambo manqua de tomber du haut de ses low bootZ à talons de kahgnee centimètres. Elle reconnut alors kotic, auquel elle s'échina donc à faire la leçon.
" Alors twa, tu as la chance de voir enfin le Maire et quel est ton kahier réflexe ? Tu cherches à lui faire peur à coup de pancarte incendiaire pour qu'il ne mette plus jamais les pieds en ville ? Pff, inconscient !! Tu devrais plutôt le féliciter de se donner les moyens d'exercer. "
Agacée par tant de mauvaise foi (sa mauvaise foi ?), Karambo balança quelques struls à kotic et alla répandre la bonne parole ailleurs en ville.
*Kir fait le compte de ses gains. Se débarasse d'une pièce discrètement et recompte en soupirant*
Kir: si j'avais su compter, j'imagine que le compte y serait quand même. Ca fait beaucoup de "pas mal de struls"
*Kir range ses struls, regarde sa bierro et la porte à ses lèvres. Il vire au rouge. Il vire au vert. Il vire Hajagôsh. Il vire Hajadroâtt. Pas top, pas top, au bilan*
Kir: ok. C'est confirmé, ça se boit pas. Du tout.
*Kir envoie la bouteille se briser contre le mur d'en face. Brizkran poursuit la bouteille et s'écrase contre le mur, s'assommant au passage*
Brizkran:
Kir: Mouais, elle te fait pas du bien non plus
*Kir saisit le carton et l'actualise avec son stylo mine F5 avant de se remettre à l'aise*
KRO-FUNDING:
Financez les expérimentations de bierro au raki de l'entreprise star-top "Coule-Gennie"!Palier 1: Me motiver à y regoûter |50 struls| [Atteint]
Palier 2: Tenter d'autres dosages |125 struls|
(il n'y a qu'en regoûtant quelque chose d'atroce qu'on peut avoir ce genre d'idée)
Déambulant dans la ruelle des mendiants à l'affût de pauvres bouzouks égarés à qui venir en aide, la charitable Ginette se fait, sans le savoir, arnaquer kahgnee struls par un bouzouk pas du tout dans le besoin. Elle est si naïve et si peu expérimentée, pour une vieille zoukette de son âge.
C'est alors qu'un vieux, un très vieux bouzouk croise sa route. Telle une apparition schnibblique, StaGaGa, un des doyens de la ville, avance vers elle entouré d'une aura verdoyante. Auréolé de la gloire de son âge canonique, le vieux grincheux balance une pièce à Ginette qui, prise au dépourvu, n'a pas le réflexe de l'attraper. Le temps pour elle et son lumbago de se baisser pour ramasser la généreuse obole, le glorieux StaGaGa, sa lumière schnibblique et sa canne branlante sont déjà kah mètre plus loin.
Foudroyée par l'amour, Ginette ne trouve pas les mots pour dire merci, alors qu'un seul suffirait.
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