...que Ball entra en scène avec un bonnet rouge avec un pompom blanc, une grosse barbe blanche, un ventre qui montrait que sa consommation de grazouk avait fortement augmenté...dans une veste rouge et blanche entouré d'une ceinture noire.
FETEEE FRRREEEGGIIIDDEEERRRRIIKKKK
Il leva ses bras en l'air qui tenaient chacun plusieurs feux d'artifices qui partirent dans tout les sens dans la villa et octroyant aussi une fumée de plus en plus épaisse dû aux détonations
Dernière modification par Ball (2958-12-16 14:00:53)
Les struleone étaient des créatures si bêtes, des animutants si naïfs. Le mépris du Chef du Club ne pouvait pas être plus à son comble, ayant réussi à tromper son monde comme personne auparavant.
Zarken III.
C'était une voix rauque qui venait d'une entrée de la salle de réception de l'immense Villa Struleone.
Zarken III, ne bougez plus.
Chacun avait pu voir la tension sur le visage du nouvel ennemi public numéro kah. Le visage perlant de sueur dans son costume trop cher pour lui, Zarken III ne pouvait pas être venu sans renforts ni même protection ni même un plan pour s'enfuir. Et pourtant... Chaque issue de la salle était bloquée par un cordon de CRZ surexcités et énervés. Au loin, dans les couloirs, on pouvait voir les gros bras struleone menottés et face aux murs, quand ils n'étaient tout simplement pas ligotés au sol.
C'est avec un grand calme et une grande précision que les hackeurs du Club avaient fabriqué de fausses invitations pour les CRZ à partir du registre des invités que tenait Leela, une z'amie du Censeur Suprême. Une des questions que poserait cette soirée serait l'étendue de sa participation à ce qui allait se passer ou si elle était seulement au courant.
Zarken III, vous êtes en état d'arrestation.
C'était le capitaine des CRZ, lui et ses bouzouks s'étaient invités à la fête, fondus dans la masse et avaient progressivement neutralisé kah à kah le service de sécurité. Pour ainsi dire, la Villa Struleone était sous le contrôle des autorités. Don Struleone écraserait son cigarillo de colère s'il voyait sa demeure ainsi profanée et sa famille impuissante. Certains invités devaient déjà penser à une conspiration impliquant une lutte interne pour le pouvoir dans la famille. Qui pouvait croire une seule seconde que les CRZ étaient là sans avoir reçu d'infos et d'aide de la part de traîtres internes à la Famille Struleone ?
Sur ordre du Club des Bonnes Moeurs, arrêtez ce criminel.
Oh mais tout le monde reconnut cette voix fluette, celle-là même de l'insupportable Censeur Suprême qui avait brièvement quitté ces mondanités pour disparaître on ne sait où. Oui, c'était bien Glady qui était derrière cette opération de grande ampleur pour mettre Zarken III aux arrêts.
Zarken III, misérable cloporte, roi-ridicule d'on-ne-sait-quoi-on-ne-sait-où. Les Censeurs te tiennent par les bourses. Celles-là même que tu as dépouillé à d'honnêtes bouzouks. Car, ne nous y trompons pas, tu es un horrible escroc. Le pire et le plus gras qu'on ait jamais eu, reconnaissable à son effroyable excès de sébum.
Glady fit un geste et deux CRZ se mirent en mouvement pour aller violemment plaquer Zarken III sur le sol, un CRZ bloquant la nuque et écrasant le visage de ce dernier pendant qu'un autre bloquait ses jambes et lui mettait les menottes. Et même si Zarken III ne s'agitait pas, un geste brutal vînt lui briser quelques côtes et c'est péniblement que les CRZ le relevèrent. Toute l'assistance pouvait être choquée par tant de violence et par le sourire satisfait de Glady qui semblait vouloir ricaner de joie.
J'oublie de te lire tes droits... *hum* Ah mais j'y pense, tu n'en as aucun. Sauf peut-être celui de te taire.
Glady suivit les CRZ qui trainaient Zarken III sur le sol, sous le regard des invités. L'un ou l'une d'entre eux réagiraient-ils ? En tout cas, tout semblait terminer pour Zarken III.
Dernière modification par Glady (2958-12-16 17:02:23)
BernardoW laissé seul par Karambo se sentait un peu bete au milieu de la piste de danse. Il hésita un moment à envoyer un Zmz à SOS zépadami mais finalement il aperçu Zarken esquiver un nouveau pas de danse.
Oh maï gote ! Il ne faut pas le laisser faire par terre comme ça sinon c'est lui qui va gagner le concours..
C'est là qu'il vit suivre Glady, il attrapa le chef du Club par le bras pour l'entrainer dans un ballet gracieux.
Ahhhh Glady tu tombes à pique, montrons à ce Zarken que le CdBM est meilleur que lui sur la danceflaure !
Au bras de Jeoff, Leela avait enfin eu le plaisir de voir pincemi leurs lâcher les baskes - une bénédiction lorsqu’on retenait les propos arrivistes qu’avait tenue un peu plus tôt la zoukette. Il était clair que Leela tenait à sa place auprès de son frère, et par son comportement, elle avait complètement choisi de le laisser transparaître. Néanmoins, la bouzoukette savait pertinemment que tôt ou tard, elle devrait accepter le retour de pincemi auprès de Jeoff, malgré sa réticence... Après tout, le plus important pour elle n’était pas le bonheur de son parrain de frère ? Et s’il devait passer par... pincemi... ne devrait elle pas passer outre ?
Près du buffet, Leela montra du doigt à son frère la soupière de punch à la gnoulze où baigné le poisson offert précédemment par Jeoff a Eloh avec un sourire amusée, elle finit ensuite par se saisir de deux coupes pour trinquer à cette réception, digne de toutes celles précédemment organisées dans leurs somptueuse villa. Don Struleone, absent, aurait sans doute était fier de ce que ses enfants accomplissaient au quotidien pour la famille.
Les derniers événements avaient fait perdre de vue la casi-constante surveillance de « la » porte, et c’est presque surprise qu’elle distingue enfin Zarken III entre elle et Jeoff. A peine quelques mots au parrain, que le bouzouk lui prends la main pour lui expliquer la situation.
Et toujours en ignorant presque la présence de son parrain, Il s’empresse de lui attraper la nuque et de l’embrasser , la , ici, devant tous les convives, sans peur des conséquences. Des lors que le bouzouk relâche son étreinte, Leela se retrouve désorientée, ne mesurant pas tout de suite ce qu’il vient de se passer. Elle récupère les objets que lui tends le bouzouk, sourit à ses dernières phrases, comprenant ce à quoi le bouzouk pense, et le laisse lui voler un dernier baiser. Lorsque leurs lèvres se séparent, elle profite de la proximité pour lui chuchoter quelques mots, une main contre le zouk...
Fait en sorte de revenir... et ne soit pas trop... comme tu es tu sais...
Pourtant, l’issue est bien différente de ce qu’elle imaginait. Au lieu d’attendre le chef censeur glady, le bouzouk succombe à ses mauvaises habitudes, et tente de s’enfuir. Surprise, Leela assiste impuissante à la scène maladroite que le bouzouk engrange sur son passage... Vole alors les plats, soupières et verre en direction de quelques convives encore trop près du buffet pour y échapper. Leela ne sait pas ou donner de la trompe, et le nuage de fumée provoqué par ball ne l'aide pas à y voir plus clair.
Soudain, la grande salle de réception se transforme en champ de guerre, certains mafieux s'enfuient, et d'autres, surement serein pour leurs affaires ne bouge pas d'un cil lorsqu'un groupe de CRZ se précipite dans les lieux pour le sécuriser. Glady, fringuant comme à son habitude, s'approche et pendant que deux CRZ s'occupe de Zarken III s'adresse à lui. Médusée, la bouzoukette voudrait intervenir, mais sait qu'elle n'en à pas la possibilité : Zarken III a été clair. Pourtant, une fois n'est pas coutume, et la bouzoukette choisi encore une fois la désobéissance. Elle se précipite à la suite de Glady, espérant une entrevue privée pour atténuer les complications. Presque à hauteur du censeur, elle fut néanmoins prise de cours par Bernardow, entrainant son chef sur la piste de dance.
Peu sure d'elle, elle profite de cet instant de diversion pour s'approcher de Zarken III une dernière fois, et lui glisse dans la manche de sa chemise, le long et fin pic a cheveux tranchant qui maintenait jusqu'ici ses longs cheveux bruns en chignon. Sans remarquer ce qu'il vient de se passer, mais bien décidé à l'éloigner du prévenu, l'un des CRZ la pousse violemment, si bien qu'elle chute au sol.
Dernière modification par Leela (2958-12-16 22:57:33)
Reniflant à grande trompe les émanations fumigènes des Pétards-Ball, la grande prêtresse se laissa porter par la transe de l'apaisement de ce délicat fumet.
*Snif Snif*
De la salpêtre ? Ou alors KAH légère dose de nytroglycéride allégée...
Peut être bien KAH zeste de Grogouïlli aussi.
Mais dès les premières dissipation du gaz dans l’atmosphère locale, quelque chose semblait bien visible. Dans le saladier de punch, il n'y avait plus le Bloubz. Il s'était échappé, l'aquarium était probablement trop petit et l'animutant avait du ressentir KAH sentiment de privation d'espace de type grandement liberticide. Eloh se rapprocha du saladier et le saisit.
Cet aquarium Zlote. Voilà ce qui arrive dès qu'on se focalise sur le prix des "bonnes affaires" pour grappiller le moindre Strul.
Il faut se débarrasser de cette chose inutile avant qu'elle n’incommode quelqu'KAH d'autre. Peut être pourrais-je lui trouver KAH usage plus... approprié.
Elle loucha sur le contenu qu'elle déversa sur le sol, retourna le saladier et y dépose une étiquette.
Recherche Bouzouk souhaitant ce faire KAH peu d'argent pour l’interprétation suivante :
Animutant faisant du polddenssing
Payer à la hauteur de la satisfaction du parrain de la poches de ses fils.
== Jeoff n 'est pas bien certain de ce qu'il vient de voir. La réception était pourtant parfaite! Les annonces, les invités, Pincemi ... Tout était bien, tout se déroulait parfaitement jusqu'à ce que Zarken, qui avait pourtant apporté de bonnes nouvelles décide de poser se lèvres sur celles de sa soeur. Désemparé, il ne voit même pas l'agitation autour de lui. Il prend une chaise s'assoie dessus et s'allume un cigare ==
Che n'comprends pas ! (expire de la fumée)
== il se gratte le menton et réfléchit, rien d'autre que cette dernière scène ne semble l'atteindre ==
Ch'est impossible, il vient toujours de déposer kah baiser sur ma joue.... et ensuite l'autre il dépose ses lèvres là...
== un sentiment de nausée l'envie, puis la colère monte. Il tourne la tête pour trouver Leela, mais ne la voit plus. Il s'inquiète et la voit par terre. Il se précipite alors pour la relever et fait fermer toute les portes. ==
QUI A BOUSCULE MA SOEUR?
Qu'il se dénonce avant que je prenne un grazouk mignon et innocent pour le déplumer et le découper en petit morceau...
== Puis attendant que le coupable se dénonce, il s'adresse à sa soeur==
Dis moi, tu vois Zarken à...
Oui le zouk au chapeau, avec sa grosse banque qu'il a mis en faillite....
Celui la même avec qui tu viens de parler à l 'instant... ZARKEN III
T ES PAS OBLIGEE DE LE METTRE SUR TES LEVRES !
Super_Bulle, après avoir pleuré un moment, s'essuya les yeux et repris courage. Pffff jalouse, certainement pas! Elle ne voulait pas que Toushrouk fasse du mal à Didou122 c'est tout. Bon l'ambiance n'est pas terrible ici, il était encore trop tôt pour affronter cet idiot. Concernant Pincemi, elle était bien trop occupée pour parler réconciliation donc autant aller ailleurs, il paraît qu'il y a une autre fête à proximité
Glady regarde Leela tombée au sol.
Tss.
Le Censeur Suprême fait ensuite un geste qui signifie "allons-y".
Les CRZ ne s'attardèrent pas et embarquèrent Zarken III. Devant la Villa, des fourgons nouarhs attendaient. Dans l'un d'eux, deux CRZ s'engouffrèrent avec l'ennemi public numéro kah. Assis devant et regardant par un petit grillage qui donnait sur l'arrière du fourgon, Glady parla à Zarken III peut-être encore sonné.
Il fallait bien que je rende notre entente crédible. D'ailleurs, si nous voulons que tout ça ait l'air vrai, il va falloir gagner en crédibilité. Ton calvaire, cher z'ami, n'est pas terminé.
Les fourgons roulaient et le silence planait sur l'effrayant convoi. Sans nul doute qu'après cette soirée, il apparaissait clairement que le Club des Bonnes Moeurs était une institution prête à tout pour défendre une certaine frange de la population.
Il .BBBBBBBIIIIIPPPPPP.... rende notre entente crédible. D'ailleurs,.....BBBBIIIIPPPP l'air vrai, il va falloir gagner en BIIIIPPP. Ton calvaire, cher z'ami, n'est BIIIIIPPPPP
Zarken dans les vappes ouvre a peine les yeux .
Ses oreilles sifflent violemment.
Mais il entend suffisamment pour comprendre que Glady était un joyeux sadique .
Zarken s'évanouit .
Puis reprend conscience, avec l'air d'être dérangé par quelque chose sans savoir quoi .
Cette... odeur .. d'où ...vient.. t-elle?
Zarken se met à chercher l'odeur de la trompe, la main sur sa cote cassée, jusqu'à stopper net sur la cape de glady .
Ah ! Mais ....Mais ....C’est, de..Gueu...L..
Le zouk ferma les yeux net et retourna voir Morphéezouk tout en bavant sur un CRZ.
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