Merci pour le cadeau je voulais juste participer offres les a LaurieJade jeune zoukette de la colline
« Le capitalisme est le racket légitime organisé par la classe dominante »
Déconnecté
Klooks, qui ne s’est absolument pas pris les pieds dans le tapis en rentrant, regarde ses pieds, puis bouzougay, puis ses pieds, puis bouzougay.
J’suis presque jaloux mon p’tit pote, ça fait longtemps qu’j’ai pas trouvé une came qui me fait avoir des halus comme les tiennes... J’arrive qu’à choper de la dope aussi naze que ton niveau au plouk !
Si tu fais si attention aux zouks de cette Colline, fais tourner ton plan que j’me régale !
Klooks s’approche alors plus près de bouzougay pour voir si des effets secondaires se voient sur sa face, puis claque les doigts autour de sa trompe pour tester ses réflexes...
[Nibiru entre brusquement, et brutalement, dans ce qui semble être un restaurant. Il ne sait aucunement comment il a trouvéle chemin depuis les jardins de la secte, mais le voilà à l'intérieur un bébé koushkulote dans les bras : il doit agir !]
IL A DIT BRIC !!
Je ne sais pas ce que ca veut dire... MAIS J AI FAIM!
Puis, il prend un instant, regarde TicottTicott...]
Tu... tu es un mâle ou une femelle ?
[Il sent un liquide chaud couler le long de ses vêtements et porte le bébé à bout de bras pour voir ce qu'il en est. ]
Est-ce que Nibiru avait couru pour arriver jusqu'au Ristorante? Schnibble seul le sait. N'empêche que TicottTicott a une mèchouille collée sur le front et souffle pour essayer de s'en débarrasser depuis plusieurs centaines de mètres, ne réussissant qu'à crachouiller.
Apffff! Apffff!
Sa trompe nasale se met alors à frétiller. Nourriture! Iel regarde en direction des odeurs enivrantes et aperçoit une armée de serveurs amener des plats aux clients attablés. TicottTicott s'agite.
Bik! Bik! Biiiiiiik!
Puis vient l'accident. La couche se détache légèrement à force de remuer. TicottTicott regarde Nibiru et lui lance un sourire angélique gêné.
Pipapo... ... ... ... Bik?
Les yeux dévorant les assiettes à distance, TicottTicott espère sans doute, comme son bienfaiteur, qu'une bonne âme va consentir à leur apporter à manger.
Déconnecté
Stressé, cela faisait plus de deux heures qu'il essayait de se préparer. Il voulait voulait faire forte impression devant la ravissante Leela, passer pour un zouk de gnee étage était inadmissible.
Il se devait d'être présentable, fort et respectueux. Il mettait un point d'honneur à conserver une ligne de conduite qui ferait de lui un zouk respectable et respecté.
oh lala, cette Cravate, ça ne va pas du tout. Bon on va changer mais c'est la dernière fois.. je vasi finir pas être en retard !
Sain schnibble ! ça serait kah catastrophe !
La trompe du zouk frémissa sur cette dernière phrase, comme un mauvais frissons...
Bon perzival, on arrète de zloter et on ce concentre ! ça va bien ce passer, ça va bien ce passer..
Après une demie heure de bataille avec sa cravate il était fin prèt.
Une tenue plus que correcte, une pschiit-pschiit naturel et pas trop présent, une cravate bien centré et assortie.
Eh ben, si mamanzouk n'était pas partie en quête elle aurait été la première à dire que je suis beau
Cet instant de nostalgie, lui rappella qu'il était bien seul sur cette colline et que par moment cela était difficile à gérer.
c'est pas tout ça mais il est l'heure !
Il se mit en route vers Il Ristorante. Il avait prévus kahgnee minutes d'avance. la ponctualité était maitre mot pour ce zouk.
Sur le chemin il ne croisa personne, les rues était calme, cela arrangeait bien notre zouk.
"Il est rare de voir les rues si déserte à cette heure-ci. Faut quand même pas que je traine trop. Ce soir est important"
Il arriva enfin devant le dit restaurant. il se mit devant l'entrée et se perdit dans la carte.
Il patienta un moment en espérant croiser sa convive et si tel n'était pas le cas il serait rentré à l'intérieur pour l'heure convenue
"Elle ne semble pas à l'intérieur et je ne la voit pas encore dehors, je vais patienter"
Quelques jours étaient passés depuis l’entrevue entre Perzival et la Zoukette Struleone, et, comme les deux bouzouks l’avaient convenus : il était temps pour eux de partager autres choses que des plates banalités. Quels meilleurs lieux pour ça que l’une des meilleures tables de vlurx.
« ZMZ : Perzival, que dirais tu de ce soir, pour cette découverte culinaire ? »
Elle avait envoyé le ZmZ quelques heures plus tot dans la journée, et s’était ensuite cloitrée chez elle pour travailler sur quelques dossiers un brin urgent. Depuis quelques années maintenant, la bouzoukette occupait par moment le petit appartement se situant à l’étage de l’établissement : certains bouzouks avait une garçonnière. Elle préférait parfois recevoir en dehors des murs de la villa. Son entourage n’étant pas toujours aux gouts de la famille.
Après s’être préparée, elle redescendit par l’escalier de service, et rejoignit le bar du Ristorante pour se servir un verre de Gnoulze en compagnie de son fidèle Sergiouk.
Tout est prêt pour moi ce soir ? L’interrogea t’elle alors qu’il opiné de la trompe.
La zoukette avait pris les devants, réservant sa table habituelle, tout au fond d’Il Ristorante, à l’abri des regards indiscrets. L’aquarium de BloubZ qui surplombé la banquette procurait une douce lumière, rendant difficile l’identification des bouzouks installés, sans leurs gâcher le spectacle qui s’offrait à eux dans l’assiette.
Un rapide coup d’oeil vers la devanture lui permis d’observer la silhouette familière de Perzival. Elle s’accouda au comptoir, et termina son verre rapidement en s’adressant de nouveau à Sergiouk.
Je crois que notre convive est là.. va le chercher tu veux.
Monsieur Madame vous attend, veuillez me suivre je vous prie !
Perzival susrsauta à l'annonce du sous-fifre. Stressé et s'imaginant comment ce passerais la soirée avait suscité une vive émotions en lui
lors de l'appel de Sergiouk
Pardon ?!
Il répeta:
Monsieur Madame vous attend, veuillez me suivre je vous prie !
Oui, toute mes confuses, je ne vous avait pas vu arriver !
il suivit alors Sergiouk à l'intérieur de l'établissement, il profita également pour réajusté ses manches de veston.
Il vit la délicate Leela au comptoir, celle-ci dégageait un charme naturel qu'il lui était impossible d'expliquer.
Il seccoua à la tête comm pour remettre de l'ordre à l'intérieur et surtout se reconcentrer sur l'instant.
Arrivé à la hauteur de la Zoukette, Serkiouk annonca Perzival puis prit congés
Bonjour Leela, c'est un réel plaisir d'être en ta compagnie ce soir !
Cette phrase il avait passé kah demie heure devant le miroir à la répété, mais une fois celle-ci prononcée devant la zoukette.
il se dit qu'elle était un peu trop directe ou déplacé, trop tard pour reculé. Il inspira pronfondément et ne détourna pas le regard
des yeux de la zoukette, affichant par la même occasion un sourire assuré
KAH.. ZIG.. STO ! Le grazouk était entré dans la bergerie… ou était ce le pioupiouk dans la tanière du grazouk ? Le Jeu pouvait allègrement commencer. Habituellement, la Struleone n’apportait que guère d’intérêt aux nouveaux venus en ville, sauf, si ceux ci pouvait lui permettre d’atteindre un quelconque but. Perzival avait la réputation de ne pas en être à son coup d’essai non plus. Les deux avaient donc surement un objectif en trompe : se jauger.
La bouzoukette débarrassa son verre sous le comptoir, laissant soin à Sergiouk de l’envoyer à la plonge puis s’approcha de Perzival en congédiant son fidèle acolyte.
C’est bon Sergiouk, je m’occupe de lui.
Le bouzouk obtempéra, non sans esquisser un sourire.
Bienvenue Perzival, te voici donc dans l’antre des meilleurs pasta de la colline.
A vrai dire, il n’était pas trop difficile pour Il Ristorante de conserver sa place de numéro Kah, puisqu’il était bien évidement, le seul établissement italien qu’on puisse trouver à des kilomètres à la ronde.
Le plaisir est partagé, mais viens donc t’installer.
Elle lui indiqua du plat de la main la table qui leurs était réservée avec un sourire angélique, bien trop joli pour être sincèrement honnête. Elle jeta un oeil à la fine montre qu’elle portait au poignet avant de continuer
Pile à l’heure à ce que je vois, C’est une qualité appréciable tu sais ?
Les cartes étaient déjà distribuée à table, mais la bouzoukette n’attendit pas le choix de Perzival comme pour s’imposer :
Deux Champozouk 1000 ans d’âge Sergiouk, Cuvée du Domaine Struleone.
Elle savait que Perzival était l’employé de Pincemi, et elle avait trouvé amusant de lui servir le plus vieux champo de la ville plutôt que la version new âge du BBB.
Alors dis moi, quoi de neuf depuis la dernière fois ?
Perzival entreprit de suivre Leela à la table
Pile à l’heure à ce que je vois, C’est une qualité appréciable tu sais ?
il m'est inconcevable d'être en retard
Rétorqua t-il.
Il continua donc et s'installa à la table désignée.
Deux Champozouk 1000 ans d’âge Sergiouk, Cuvée du Domaine Struleone.
Le détails de la cuvée n'échappa au zouk, cela lui mit la puce à l'oreille concernant les intentions de son hôte.
il savait que la prudence devait être de mise et mesurer chacun de ses dires
Choix très intéressant, un peu de noblesse ne devrait pas me faire de mal. Il me hâte de goutter cette cuvée.
il afficha un sourire et un regard soutenu à la zoukette.
Alors dis moi, quoi de neuf depuis la dernière fois ?
Il ne savait pas si elle l'affublait d'une question piège ou d'une simple curiosité personnelle.
Cependant il ne perdit pas la face et répondit avec un calme déconcertant
Cela fait quoi, une petite semaine depuis notre dernier entretien, alors voyons voir.
Pas mal de chose vrai dire, la manifestation fut un succès et tout c'est déroulé comme prévus.
notre bon maire à fait un petit séjour à l'asile, ce qui ne semble pas l'avoir aidé le pauvre...
Les élections ont l'air de bien ce passer, même si je trouve que celle-ci présente un réel conflit d'intérêt,
notamment sur la candidature de "Choupette". Celle-ci étant employé chez notre ancien maire,
je soupçonne un jeu de dupe, ce qui ne laisse présagé rien de bon...
J'entreprend également l'aventure de trouver un nouvel appartement plus proche de la ville, mon quartier actuel ne me... convient plus.
Cependant, avec tout le travail au BBB il m'est difficile de m'investir entièrement dans cette aventure.
un serveur interrompit perzival et serva les champo à la table
Merci !
Et toi, comment se porte tes affaires ?
dit-il en levant son verre en direction de Leela afin de trinquer à la soirée.
La ponctualité semblait tenir à coeur à Perzival : c’était là, un bon point de marqué pour lui. Si quelqu’un pouvait se permettre d’être en retard : c’était bel et bien elle.
Leela adressa un sourire chaleureux à son invité, lorsque celui ci évoqua la noblesse lié à la cuvée demandée. La bouzoukette n’avait pas pour habitude d’exposer de manière ostentatoire ses richesses… mais elle tenait toujours à rappeler sa lignée.
Avoir son nom sur kah bouteille, ce n’est pas courant. Mon père en était très fier. Le domaine a fermé ses portes quelques peu après son départ en quête. Lui seul avait l’étincelle pour le diriger. Continuer sans lui aurait été kah zlote sans nom.
Elle balaya d’un geste symbolique ses dernières paroles comme pour passer à autre chose, et se mit a écouter attentivement le bouzouk lorsqu’il lui raconta ses derniers jours en ville.
J’ai entendu parler de vos exploits lors de la manifestation oui, et aussi des quelques détracteurs qui semblaient trouver l’implication des syndicats peu conventionnelle.
A la suite des dires du bouzouk, la zoukette pouffa de rire.
Choupette ? vaste mascarade oui…
La mistinguette à bien dupé le MLB quoi qu’il en soit. Comment faire confiance à quelqu’kah qui retourne sa veste aussi vite…
Le plus risible reste son attachement à prouver que les autres manquent d’honnêteté.. C’est la maison du bonheur qui se moque de la charité. Les Struleone ont mille défauts, mais n’ont jamais masqués leurs intentions.
Il poursuivit sur son intention de déménager…
Le centre ville de vlurx est charmant, tu devrais trouver sans difficulté un nouveau nid douillet. Si tu veux, je peux demander si quelqu’kah est en mesure de te procurer ça.
Elle leva à son tour sa coupe, et la fit tinter dans celle de Perzival avant d’y plonger ses lèvres et de lui répondre :
Oh tu sais, ici tout se passe à merveille. Je ne suis plus réellement à la tête de cette famille, mais je reste tout de même impliquée dans ce qu’il s’y passe, et… dans les affaires de la ville.
Evasive comme toujours, elle retourna l'attention sur le serveur apportant rapidement un plateau d’hors d’oeuvre pour accompagner le champagne.
Perzival dégusta le champo de la famille.
il regarda à travers son verre encore remplis et vu Leela à travers celui-ci.
L'image de la Zoukette déformé par les bulles à travers le verre avait quelque chose d'enivrant
Je comprend pourquoi ton papazouk était fier, cette cuvée est exceptionnelle...
Ce champo est kah légèreté sans nom, un arôme parfaitement dosé et une robe magnifique. Ce champo est une ôde à la séduction, un réel plaisir d'avoir l'opportunité de gouté kah tel breuvage.
c'est kah triste nouvelle d'apprendre que le domaine à fermé, tant de savoir faire...
Perzival semblait bouleversé par le breuvage, lui qui c'était prix de passion pour le brassage du champo, il comprit qu'il avait encore beaucoup
d'effort à fournir pour atteindre tel perfection. Il se recentra sur la discussion afin de poursuivre.
Le plus risible reste son attachement à prouver que les autres manquent d’honnêteté.. C’est la maison du bonheur qui se moque de la charité. Les Struleone ont mille défauts, mais n’ont jamais masqués leurs intentions.
Pour être totalement transparent avec toi, étant nouveau sur la colline, je ne connais pas encore bien les Struléone et
je ne me permettrais jamais de juger sans connaitre.
Tout ce que je sais c'est que dans le contexte actuel, Je ne peux donner ma confiance à Choupette...
Perzival choisit minutieusement c'est mot car, certes il ne connaissait pas bien la famille Struléone
mais il sentait que Leela était kah personne influente et il se devait de montrer kah respect à
la hauteur e la classe de son hôte.
Le centre ville de vlurx est charmant, tu devrais trouver sans difficulté un nouveau nid douillet. Si tu veux, je peux demander si quelqu’kah est en mesure de te procurer ça.
C'est de ce coté que je recherche. ma fois, si tu as kah ou zig piste cela ne me dérangerait pas d'en profiter
Oh tu sais, ici tout se passe à merveille. Je ne suis plus réellement à la tête de cette famille, mais je reste tout de même impliquée dans ce qu’il s’y passe, et… dans les affaires de la ville.
Perzival écoutait Leela avec beaucoup d'attention, il ne voulait perdre gnee miette de son discours.
Je me pose une question et n'hésite pas à m'interrompre si celle-ci est trop personnelle surtout.
L'idée de reprendre le domaine de ton papazouk ne t'a telle jamais traversé l'idée.
Quand je t'écoute parlé de lui on y voit kah profond respect et kah lueur brillante dans tes yeux.
Voir cela, me prouve que tu es la digne héritière de ce domaine et que tu pourrais produire kah champo
sublime...
Perzival constata l'arrivée les hors d'oeuvre, lui rappelant la raison kahière de sa visite.
Déguster des mets en bonne compagnie.
Dis moi, ce n'est pas la kahiere fois que l'on se voit mais aujourd'hui particulièrement
tu semble sur la défensive. Aurais-je commis un impair dans mes manières ?
Pour la première fois le zouk sembla un peu perplexe face à Leela.
Il n'était pas la pour semer une quelconque discorde mais plutôt pour
passer un moment agréable
Distante, mais attentive à son invité, la bouzoukette faisait tourner le liquide doré dans son verre, si bien qu’elle aurait pu arroser la nappe blanche de quelques bulles.
Nous étions tous fier du Domaine. Maintenant, il ne reste plus que des vignes à la sortie de la ville, et un bâtiment rempli de tonneaux poussiereux. Mon père aurait été triste de voir
Nous avions également un brassage formidable de Biero, au temps de mes cousins, Diego, et Boubouch. La Binouze du Plouc étaient reconnue sur toute la colline.
Le bouzouk ne s’avançait pas tellement concernant ses sentiments, ou ressentiments, envers les siens. Signe d’une trop grande intelligence, ou d’une naïveté sans pareille, il savait manier les mots pour ne pas froisser la zoukette, la rendant suspicieuse.
Elle prit son i-TobZ en main et envoya un ZmZ groupé à la famille concernant le logement, avant de poursuivre.
Il est vrai que j’aurais pu, je le ferais peut etre.
A l’époque, j’étais moi même à la tête du Rousseau, et j’ai ensuite dépanner l’un des miens en refondant Il Ristorante pour le lui léguer… Je n’ai jamais réellement eu l’opportunité de dépoussiérer le Domaine.
Mais à vrai dire, maintenant, je n’ai plus rien qui me retient de le faire…
Elle songea quelques instant : l’idée pouvait être interessante, mais en avait t’elle seulement la force ?
D’un coup d’un seul, Perzival réussit à sortir Leela de sa torpeur lorsqu’il alla à son contact. Pour la première fois, sous couvert de mot élégamment trouvé, il la confronté. Il semblait beaucoup moins lisse qu’elle ne le pensait, et ce n’était pas pour lui déplaire. Les bouzouks trop neutre, étaient trop beau pour être honnête.
Effectivement,
J’ai l’habitude des nouveaux arrivant en ville, cherchant par tous les moyens à faire leurs places. Quoi de mieux que la numéro 2 d’un des plus vieux clans de la ville pour le faire ?
Pour être honnête avec toi, qu’importe mon interlocuteur, je garde toujours des réserves… L’idée d’être bernée comme certains en ville avec Choupette ne me plait guère, et j’essaie tant que possible de m’en préserver.
Perzival était intrigué de connaitre la pensée de la zoukette à son égard, il espérait sincèrement ne pas l'avoir froissée.
auquel cas il se serait excusé au plus vite.
Lorsque la Zoukette eu finit sa tirade, il fut comme soulagé.
Il finissa sa bouchée de hors d'oeuvre avant de lui répondre
Je pense que seul le temps pourra éclaricir ce point.
Je ne pense pas être éligible à un quelconque discours ventant mes louanges.
Je suis de retour sur cette colline après une très longue quête et le paysage à fort changé.
Je dois donc faire mes preuves et écouter les bons conseils que l'on peut me donner.
D'ailleurs Merci pour ta franchise et ton franc parlé, j'apprécie également le respect et l'éducation
avec laquelle tu me reçois. J'avais quelques réserves que tu me rappel et je te remercie de l'avoir fait.
Le zouk fit un sourire discret à Leela. Il commençait à comprendre ou il se trouvait.
par ses paroles, la zoukette su le mettre à l'aise et il pu ainsi être plus enclins à la discussion
Dis moi, que me suggère tu comme plat ?
tu me semble la mieux placée pour me recommandé quoi que ce soit dans ce restaurant.
T'es comma animé par une passion pour ce lieu ou ses occupants.
Il détourna son regard de Leela afin de contempler le lieu dans lequel il se trouvait.
Je pense que tu devrais le faire. A la vue de ce restaurant, ça ne pourrait être qu'un succès...
Et je pense que au delà de la de l'aspect professionnel, ce projet serait kah peu comme un bouzoukinet,
je me trompe ?
Son regard revint sur Leela, celui-ci était bienveillant.
Perzival repris une gorgée de ce champo
ça en vaut vraiment la peine...
Cette fois, c’est d’un vrai et sincère sourire que Leela se pare. Elle lève son verre en direction de Perzival, avant d’en boire une gorgée et de le reposer toujours avec le même sourire pendu aux lèvres.
Je t’en prie.
Je n’ai qu’une parole, et lorsque je dis que je vais faire quelques chose, je le fais.
Un haussement de sourcil plus tard, la bouzoukette n’eu pas besoin de se saisir à son tour de la carte pour orienter le bouzouk.
Ah.. Vaste choix. J’aime tous les plats que propose Bouzougay ici.
Elle rit, avant de poursuivre.
Tu sais, je crois que depuis des années, j’aurais pu être gavée de cette nourriture Zitalienne… mais… que veux tu ! On ne renie pas ses origines.
Elle chuchote : Mais je dois bien t’avouer que j’ai deux plats « chouchou » ici,
Les Spaggiouilli à la truffe zal dounté, c’est un choix sur mais…
J’ai aussi un faible pour quelques choses de plus… exotique.
Le rizoto de grazouk fumé au pothok , souffle t’elle.
Le bouzouk remis sur la table l’affaire du Domaine, la forçant à jeter un oeil sur la vieille bouteille qui porté l’étiquette de son père. Il avait raison, réouvrir le Domaine n’était pas des plus compliqués : les vignes appartenaient encore à sa famille. Il lui suffisant d’envoyer quelques gros bras pour dépoussiérer l’endroit, et de réenclencher la production.
Tu as raison Perzival, je vais m’occuper de faire briller l’endroit de fond en cuve pour produire les cuvées Struleone.
Merci pour tes encouragements, j’apprécie.
Elle lui lança cependant, un faux regard accusateur avant de rire :
Mais qu’as tu a y gagner ?
Perziva écouta attentivement les suggestions faites par la zoukette tout en jetant un oeil sur la carte.
lorque celle-ci eu finit son énoncé, il ferma la carte et jetta un regard confiant à Leela
Alors va pour une touche exotique, je prendrais le rizoto de grazouk.
Lorsque Leela évoqua son envie de reprendre le domaine, Perzival eu difficile à cacher une certaine joie.
Il était content d'avoir pu encourager quelqu'kah et ça lui suffisait.
Qu'ai-je à y gagner ?
J'ai une passion pour la fabrication du Champo. Ce que j'y gagne, à vrai dire rien du tout j'ai même plus à perdre si la nouvelle ce savait, après tout
je travail au BBB. Mais j'ai confiance en ce lieu et en toi, puis cela te laisse un tour d'avance contre moi.
Perzival arbora un sourire en coin et un regard malicieux envers la zoukette
Tu sais des fois on se rend compte de l'importance de la famille un peu trop tard...
c'est ce qui m'a couté cette longue quête. Mamazouk était une zoukette de classe qui m'a bien éduqué, malheureusement
elle s'en est allée trop tôt. Maintenant que je suis revenus je suis un peu seul, j'essaie dés lors d'appliquer
les principes de vies qu'elle m'a enseigné toute sa vie durant: Respect, loyauté, empathie et convivialité.
A l'évocation de son passé, Perzival eu la mine triste. La douleur qu'il avait en lui était palpable.
Je n'attend pas forcément un retour sur investissement. J'apprécie juste aider les gens qui en vaillent la peine.
Trêve de bavardage sur ma vie, nous avons quelque chose à fêter.
Perzival se leva pour prendre la bouteille de champo et resservir la zoukette ainsi que lui-même.
il leva ensuite son verre
Que ton retour aux source soit resplendissant et que ton travail soit salué,
Au domaine struléone.
il chuchota ensuite:
J'espère pouvoir goutter ta cuvée sous peu, hâte de voir ce que cela va donner
il sourit ensuite à la zoukette en signe de célébration
Henry a mit son plus beau costume, s'est parfumé délicatement. Il porte des gants blancs raffinés et son fidèle chapo. Il entre dans le Ristorante pour la première fois, il a réservé une table pour lui et TicottTicott dès qu'elle a répondu favorablement à son invitation. Au début il voulait réserver tout le ristorante mais on lui a fait comprendre que cela n'était pas possible.
A la réception, on lui demande son nom puis on le guide à travers le ristorante vers sa table.
Il est arrivé un peu en avance pour vérifier que tout était comme il le désirait. Une table trône au milieu, dessus il a fait mettre un beau bouquet de fleurs ainsi que quelques bougies. La lumière est tamisée et une douce musique flotte dans l'air. Henry est entièrement satisfait de tout cela.
Il n'a plus qu'a attendre sa douce Ticott pour partager un agréable moment en sa charmante compagnie. Cela fait longtemps qu'il n'a pas eu de rendez-vous galant et il appréhende un peu. Sera t-il à la hauteur ? Passera t-elle une bonne soirée ?
Le serveur le fait s'asseoir à table et demande à Henry s'il veux boire quelque chose en attendant.
Amenez maintenant deux coupes de votre meilleur champo. Heu... pardon ! Deux bouteilles !
Le serveur s’éclipse.
Henry regarde sa montre à gousset, ELLE ne devrait pas tarder normalement. Il fixe l'entrée pour surveiller son entrée et ainsi l'accueillir chaleureusement avec une jolie fleur qu'il a lui même sélectionnée parmi les plus belles de la ville. Il est prêt.
Dernière modification par Henrystocrate (2962-02-12 22:10:51)
Ticott a eu quelques difficultés à trouver l’entrée du Ristorante.
Dans quelques nouvelles faillites, déménagements et reconstructions, ce serait le lieu à la mode par excellence mais dans ce présent, la faible fréquentation montrait un laisser aller de la famille Struleone. La bonne nouvelle, c’est que nul ne devait connaitre son statut de Dona et qu’elle passerait incognito, du moins l’espérait-elle.
Elle soupire en regardant la façade décrépie puis secoue la tête. C’est la mission d’un autre jour, se dit-elle avant de pousser la porte.
Personne ne vient l’accueillir, la réception est déserte. Heureusement, comme elle connait les lieux par coeur -chaque Ristorante est construit à l’identique des précédentes versions et celle-ci est la sixième, si elle en juge par la couleur des murs- elle se dirige sans peine jusqu’à la salle principale.
Pas d’employé là non plus. Les restrictions budgétaires avaient sans doute frappé six fois ici aussi. Au moins, ils n’ont pas fait l’impasse sur la sono.
Ticott n’a pas besoin de parcourir la salle des yeux pour chercher Henrystocrate parmi les clients: il est tout au centre et de toute évidence très élégant. Sa simple tenue de visiteuse d’un autre temps n’est certainement pas adaptée à un tel dîner, mais elle ne s’en soucie guère.
Gardant sa main le long de son corps, elle remue doucement les doigts pour faire un signe au bouzouk en se dirigeant vers lui, tout sourire.
Bonsoir Monzouk Stocrate.
Déconnecté
Henry voit Ticott qui arrive et s'avance vers lui. Il a mit les petits plats dans les grands et quand il l'observe il se dit qu'il a peut-être abusé. Mais après tout c'est dans sa nature, il aime être séduisant et plaire au bouzoukettes. Et puis elle n'a besoin d'aucun artifices pour faire chavirer le cœur d'Henry.
Plus elle avance vers lui, plus son coeur accélère. La musique dans le ristorante change à ce moment là. Elle le salue alors.
Appelle moi Henry, pas de ça entre nous.
Quand elle est suffisamment près de lui, il lui attrape la main pour lui embrasser le dos de sa main de manière distinguée. Puis il relève la tête pour la regarder droit dans les yeux. Il se ressaisit pour ne pas baver de la trompe, et s'active pour l'inviter à s'asseoir face à lui. Il lui tire sa chaise et quand elle s’assoit, il pousse sa chaise pour l'installer confortablement. Il profite de cet instant pour lui voler un baiser sur la joue. Avant d'aller s'installer, par un geste habile dont lui seul à le secret, Henry accroche la fleur dans la chevelure de Ticott. Il est satisfait du résultat, il va à son tour s'asseoir.
C'est le moment que choisit le serveur pour revenir avec deux bouteilles de champo qu'il dépose sur la table. Henry se sert un verre et trempe le bout de la trompe dedans. Il est bon, il peut donc ainsi servir Ticott si elle le désire :
Champo ?
Puis il enchaîne avant même d'avoir sa réponse, la main tendue et la bouteille en suspens au dessus du verre de Ticott :
Je suis ravi que vous ayez acceptée mon invitation, j'espère que ce dîner me permettra d'en connaître plus sur vous ma chère. Même si ces derniers jours ont été fort en émotions, nous n'avons pas vraiment eu l'occasion de se poser pour discuter.
Ticott hoche la tête. Très bien, Henry. Elle lève un sourcil surpris au baiser sur sa main tour en lançant un regard amusé autour d’elle puis recentre son attention sur Henrystocrate qui l’invite à s’installer. Elle s’exécute tout en tirant sur l’arrière de sa robe pour s’asseoir. Un baiser volé sur la joue et une fleur dans les cheveux plus tard, le bouzouk est en face d’elle. Elle secoue la tête, puis pose un coude sur la table, offrant ainsi sa main en support à son propre visage, pour se permettre d’observer Henry.
Toujours aussi prompt à…
L’arrivée du serveur empêchant Ticott de poursuivre sa phrase, elle reste donc dans cette position inconvenante à dévisager le bouzouk.
Alors qu’elle répond d’un hochement de tête affirmatif pour la coupette de champo, son esprit s’égare et son regard s’assombrit. Il veut en connaître plus sur elle. C’est une des raisons de sa présence à cette invitation formelle ce soir, mais que doit-elle lui dévoiler, exactement?
La bouzoukette parcourt la salle du regard. C’est la Saint JF Sébastien aujourd’hui et pourtant, aucun couple parmi les convives. Pourtant, avec les derniers évènements, elle se serait attendue à croiser Karambo au bras d’Armitage ou Pincemi à celui de Sky.
Puis soudain, elle réalise. Mais oui! C’est la Saint JF Sébastien! Sa bouche s’ouvre mais aucun son n’en sort. Elle soulève le fond de la bouteille tenue par Henry pour l’aider à remplir son verre et s’en empare sitôt le breuvage servi. Elle en boit une grande rasade avant de se rendre compte qu’elle n’a pas pris le temps de trinquer.
Je suis désolée. J’oublie toutes mes bonnes manières.
Ticott s'empare de la bouteille, remplit le verre du bouzouk et réajuste le niveau du sien avant de le lever.
Hé bien. De quoi veux-tu que nous parlions? Je suppose que tu ne m’as pas invitée ici pour le champo qui n’a assurément pas kahgneegneegnee ans d’âge?
Déconnecté
Henry observe attentivement TicottTicott qui semble préoccupée en regardant un peu partout dans la salle.
Qu'est ce qu'elle peut bien chercher ? Un moyen de me fuir ? L'aide d'une bouzoukette répondre à mes questions ? Les toilettes pour aller se rafraîchir ? Elle est déjà parfaite comme ça.
Puis elle siffle presque sa coupe complète avant de se confondre en excuse. Henry rigole de la voir ainsi. Il la regarde et se détend, après tout si elle est là c'est qu'elle en a envie. Et pour la rassurer il pose sa main sur la table, près d'elle.
De son autre main il lève son verre en même temps qu'elle avant d'essayer de répondre à sa question. C'est sans compter sur son itoboz qui vibre dans sa poche. Un peu gêné, Henry fait mine de ne pas s'en apercevoir. Il espère juste que ce n'est pas une affaire importante du Cartel.
Puis il se replonge dans le regard de Ticott et tout ça n'est qu'une histoire ancienne.
Il reprend alors le cours de sa pensée : De quoi je veux qu'on parle ? De toi ! Mais elle risque de se braquer si je suis aussi direct.
Henry souffle un peu, son neurone carbure, et il finit par articuler :
Parlons de toi, de moi, de nous. Déjà comment tu as trouvé mon ... poème ? Celui que j'ai glissé dans ta poche lors de ce jeu !
En finissant sa phrase, Henry peut voir un serveur qui passe derrière Ticott, il a l'air d'apporter un beurkeur à la Fraise sur une des tables derrière eux. Décidément cela revient à la mode ces derniers temps à Vlurx, peut-être qu'il en commandera un pour son dessert !
Quand la main d’Henrystocrate s’approche sur la table, Ticott inspire profondément et pose délicatement la sienne sur celle du bouzouk. Puis elle lui sourit tendrement et incline son verre pour le faire tinter contre le sien.
Un long silence entrecoupé de vibrations tobozoniques s’ensuit. Elle fait comme si elle ne s’en était pas aperçue et porte le verre à sa bouche pour boire une gorgée, toute petite cette fois.
Le regard du bouzouk laisse entrevoir qu’il se pose beaucoup de questions lui aussi. Est-ce son itobozon qui le perturbe? Ou sa propre attitude qui laisse croire qu’elle se sent mal à l’aise?
La bouzoukette décide de se ressaisir. Après tout, elle n’est pas là pour lacer ses chaussures, si tant est qu’elle ait eu des lacets pour le faire.
Ce que j’ai pensé de ton poème? Ça m’a donné l’espoir d’un avenir moins sombre que celui que je connais. Et j’ai pensé que tu avais sans doute été aah élève chouchouté par Miss Augine. Tu as dû avoir aah note exceptionnelle aux controuilles, n’est-ce pas?
Nous concernant…
Ticott sourit tristement puis boit une gorgée de champo avant de poser son verre et de poursuivre.
Je ne sais pas si je serai en mesure de t’apporter ce que tu souhaites. Ni combien de temps. Mais l’avenir que je connais n’est pas figé, pour toi. Alors…
Elle hausse les épaules et, lui souriant du regard, récupère son verre.
Déconnecté
Henry apprécie le contact de la main de TicottTicott sur la sienne. Elle est chaude, douce et vraiment agréable. Il fait tout pour garder ce contact le plus longtemps possible. C'est comme si le temps s'arrête. Quand il est en sa présence rien n'a d'importance.
Son Itobozon commence à l’énerver sérieusement, de sa main libre il le sort et le coupe immédiatement pour être tranquille et profiter de la charmante zoukette qui est avec lui. Puis il l'écoute avec attention :
Un avenir moins sombre que ce qu'elle connait ? Un avenir non figé pour moi ?
Henry a alors tout un tas de questions qui lui saute à l'esprit, mais ce qu'il retient de tout ça c'est le positif, l'espoir qu'il insuffle à Ticott.
Elle a dû en baver pour me parler ainsi. J'aimerai tant la prendre dans mes bras et la garder près de moi tant qu'elle le voudra ... ou le pourra !
A l'idée de perdre Ticott, Henry se sent triste. Il pince ses lèvres pour ne pas le lui montrer. Mais au fond il sait que si elle venait à partir, il ne l'oublierai jamais.
Puis, pour se ressaisir, il porte son verre à ses lèvres, et étend ses jambes vers celle de Ticott sous la table avant de lui répondre :
Je ne saisi pas toutes ces histoire d'avenir ou de passé avec Miss Augine, et honnêtement, j'ai triché au controuilles...
Bref ! Ce que je saisi c'est le présent, c'est maintenant.
Je veux vivre l'instant présent avec toi, sans arrières pensées, sans prévisions. Juste profiter ! Le temps que ça durera ...
Ticott observe attentivement Henrystocrate, une fois encore. Elle a l’impression d’avoir un mur en face d’elle. Il semble réfléchir, éteint son itobozon qui ne cesse de se faire remarquer. Puis il grimace.
Elle regarde rapidement autour d’elle, embarrassée. Peut-être a-t-elle été trop loin dans ce qu'elle vient de dire.
Mais les errances des pensées de la bouzoukette cessent vite lorsque les jambes d’Henry glissent vers les siennes. Elle le dévisage puis rougit légèrement.
-…Juste profiter ! Le temps que ça durera ...
Ticott répond à Henry à la fois d’un signe de tête et d’un sourire tout en libérant l’un de ses pieds de sa chaussure pour le faire glisser contre la jambe d’Henry.
Elle laisse le silence s’installer pour profiter des réactions du bouzouk puis se redresse sur sa chaise pour s’éloigner.
Je n’ai pas très faim. On s’en va?
Dernière modification par Dona Ticott (2962-02-18 12:42:28)
Déconnecté
Henry est pris à son propre jeu quand il sent le pied de TicottTicott contre ses jambes. Elle ne cesse de le faire monter tout le long de sa jambe, le neurone d'Henry ne fait qu'un tour. Et son visage ne peut pas laisser échapper à Ticott qu'il apprécie ce qu'elle fait.
Il s'imagine déjà se lever, prendre la main de Ticott et l'emmener dans une danse endiablée où leurs corps se mêleraient sans fin aux lueurs des chandelles de la table. Guidés par la musique, les invitant à se rapprocher toujours plus l'un de l'autre, sentant chacun le souffle saccadé de l'autre. Il s'imagine la guider, la faire tourner sur elle même, puis la ramener contre lui, la serrer dans ses bras, lui voler un baiser. Il s'imagine sentir leurs coeurs battre la chamade à l'unisson dans leurs poitrines. Il s'imagine ne faire plus qu'un avec elle, partager sa chaleur, son odeur, sa douceur et sa délicatesse. La sentir frémir à chaque fois qu'elle se retrouve contre lui, que leurs visages se rapprochent, que leurs lèvres se collent pour s'embrasser fougueusement sur le rythme de la musique. Il s'imagine finir épuisé, coller son front contre le sien, la regarder droit dans les yeux, tenir ses mains, lui sourire. Il s'imagine la faire trembler, vibrer et l'emmener loin de tous ses tracas simplement un instant.
Les pensées d'Henry sont brûlantes et sauvages. Elle l'a complètement envoutée, subjuguée. Il ne pourrait rien lui refuser à cet instant.
Il aimerait qu'elle puisse lire dans ces pensées à ce moment là. Peut-être que tout ça est visible dans le regard d'Henry après tout.
Puis elle le ramène à la réalité :
On s'en va ?
Sans réfléchir plus que ça Henry se lève, se rapproche d'elle et lui murmure à l'oreille :
Oui .. et le plus vite possible !
Sa respiration est saccadé. Il attend que Ticott rassemble ses affaires et se lève.
Ils n'ont même pas eu le temps de commander quoi que ce soit, de toute manière Le Ristorante n'a que zig Schnibble sur dru sur TripAdvizouK. Mais tout cela n'a pas d'importance puisqu'il y a quelques temps, Henry lui a promit qu'il la suivrait partout, n'importe quand et pour n'importe quoi. Il finit par ajouter :
Je te suis ...
Dernière modification par Henrystocrate (2962-02-18 21:58:23)
Le regard d’Henrystocrate passe par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel et cela déstabilise légèrement Ticott qui l’observe attentivement la tête penchée.
Puis il se rapproche et acquiesce à sa demande.
La bouzoukette sourit, elle remet sa chaussure sans avoir à refaire aucun lacet puis lève un doigt en l’air pour demander à Henry de patienter un moment.
Elle s’échappe vers le bar pour souffler quelques mots à l’employé qui devient blême. Il part quelques instants en cuisine et revient avec un kornomouth-sac qu’il tend à Ticott. Elle le remercie d’un signe de tête et retourne près d’Henry.
J’ai demandé un beurkeur à la Fraise à emporter, j’ai cru comprendre que tu avais envie d’un dessert.
La bouzoukette hausse les sourcils tout en se mordant la lèvre et lui tend le paquet puis elle se dirige vers la sortie en se souriant à elle-même.
Dernière modification par Dona Ticott (2962-02-20 20:07:29)
Déconnecté
[ Générées en 0.036 secondes, 11 requêtes exécutées - Utilisation de la mémoire : 740.17 Kio (pic d'utilisation : 807.36 Kio) ]