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Post de come-back :
Un jeune Bouzouk ressort de la mairie, un grand sourire sur les lèvres. Il tient fièrement le titre de propriété de sa nouvelle cabane miteuse. ElDonad descend doucement les marches de la mairie (en montant il avait trébuché). Voici plusieurs mois qu'il était parti en quête du schnibble...
"Mais puisque le schnibble n'a pas voulu de moi, me revoilà, prêt à recommencer !"
Sa joie est néanmoins un peu forcée. Avant de rejoindre la mairie, il avait fait un petit saut au bar, où il avait pu "faire une étude de marché", et ce qu'il avait entendu n'était pas forcément pour le réjouire... D'abord la ville avait beaucoup changée depuis son départ : le Consulat avait été démantelé, et des tas de Bouzouks dont les noms lui sont inconnus occupaient maintenant des postes d'importance. Mais surtout, le nerf de sa guerre à lui, le levier qui lu avait permis d'acquérir une certaine notoriété à l'époque, à savoir la révolte des robots, semblait compromise : il avait pu se rendre compte au bar qu'ils étaient doux comme des agneaux. Difficile de soulever des foules dans ces conditions... Même si ça lui déplaisait, il faudrait qu'il grimpe les échelons de façon plus traditionnelle. Ou alors qu'il trouve une meilleure idée !
Sur ces dernières pensées optimistes, ElDonad s'enfonce à nouveau dans la ville, son chapeau noir un peu sale vissé sur sa trompe crânienne, sifflotant doucement , glissant un peu sur le pavé humide.
Une salle obscure au fond d'une cave sans nom. Au fond de la pièce, une grande caisse en verre translucide remplie d'un liquide bleu, éclairée par la lueur diaphane du panneau de "monitoring" qui l'accompagne. Dans la cuve, on peut voir le corps d'un bouzouk surnager, connecté par l'arrière de la nuque à la paroi de la cuve par des câbles souples.
Soudain, sans prévenir, le pupitre de surveillance s'affole. Un gros voyant rouge se met à clignoter et une alarme retentit... pwiin... Pwiin... Pwiin... Pwiin...
Dans un fracas de pompes et de tuyauterie, la cuve se vide de son liquide. Une fois vide, les tubes de détachent du bouzouk et la porte de la cuve s'ouvre. Chancelant et nu comme un pioukpiouk, le bouzouk s'en extirpe. Où donc avait-il atterri ? Par réflexe il jeta un œil sur le panneau de commande. Quelques mots défilent en boucle sur l'écran. TROISIEME ITERATION PRETE. CUVE DISPONIBLE.
Un instant ces mots n'évoquèrent rien pour le bouzouk. Puis il se souvint...
La Ligue des Seigneurs Déchus. BIen avant Vlurx. Au temps des premiers bouzouks, alors qu'une autre race dégénérée cohabitait avec elle. Alors que toute technologie avancée n'avait pas encore été perdue. La Révolution grondant dans la ville, la famine aussi. Et la mission qu'on lui a confié, à lui, ElDonad, aux dernières heures d'ordre et de paix dans la capitale, par les membres du gouvernement en fuite. La cuve, à l'écart de la ville, le sommeil de plomb qui s'abbat sur lui alors qu'au loin on entend comme des grondements de tonnerre et que la nuit s'embrase.
Apparemment, il était le troisième. Deux autres avaient échoué avant lui.
S'exhortant à l'action, il s'enfonça dans une autre partie de la cave, à la recherche d'un terminal qu'il alluma. Sur le bural on pouvait voir deux réceptacles mémoire. Ces précédesseurs avaient au moins pu lui faire parvenir leur histoire et ce qu'ils avaient appris.
S'installant confortablement dans le fauteil rembourré, il inséra l'un des réceptacles dans une fente prévue à cet effet. Il chaussa ensuite un genre de masque. On pouvait lire dessus HTC, pour High Technology Visuals. Une langue qu'il avait oublié, sois dit en passant. Bah, ça n'avait pas d'importance. Il aurait bientot tout oublié de toute façons...
La première empreinte mémorielle ne lui avait rien enseigné de particulier. La première itération avait été chargée par le Gestionnaire d'interpréter le rôle d'une sorte de paranoïaque croyant à la suprématie secrète des "bots". Bien évidemment personne ne l'avait cru, et il avait fini dans l'oubli et la misère.
En revanche, la deuxième était bien plus intéressante... Incarnant un genre de buzinesszouk vaguement détraqué, il était parvenu à se hisser à un des plus haut échelons d'un parti politique et à fonder une sorte d'organisation trans-partis qui s'était malheureusement soldée par un échec à cause d'une épidémie de vampirisme qui avait causé la mort de pas mal de têtes de la ville de l'époque. Il avait terminé sa vie loin de la ville dans des fouilles archéologiques. Probablement des réminiscences de son passé -son passé à lui, ElDonad !
Il en profita aussi pour grappiller les réponses au controuïlle de la vieille folle. Ce serait toujours ça de pris. ("Comment les bouzouks se reproduisent-ils ?" Il n'avait jamais eu la réponse à cette question. Peut-être parce que dans toutes ses précédentes réincarnations les zoukettes n'avaient pas été sa priorité. Peut-être aussi qu'ils ne se reproduisent tout simplement pas...
Cela dit pour les autres bouzouks il ne savait pas, mais dans son cas au moins c'était simple. Peut-être devrait-il demander à la prof' de rajouter la réponse "Synthétisé à partir d'une cellule souche dans un caisson de germination HIGH TECH" ?
En tout cas, le Gestionnaire semblait améliorer ses algorithmes au fur et à mesure. Plein d'espoir (mais toujours la trompe à l'air) le bouzouk se lança dans l'étude de la situation actuelle de la ville.
Pas brillante visiblement... Mis à part des anciennes personnalités dont il avait déjà entendu parler de son vivant, le paysage politique semblait plutôt paisible. De plus la démographie semblait en chute libre. ElDonad devrait en tenir compte.
Après quelque temps passé à lire la gazette et à prendre des forces (ça creuse 10 mois à se nourrir par intraveineuses), il récupéra ses ordres de mission.
Au moins il n'aurait pas à s'engraisser comme l'itération précédente pour paraître plus crédible. Le corps bien équilibré et relativement athlétique que lui avait fourni la cuve lui convenait tout à fait. En fait il ne s'était jamais senti si en forme...
Il aurait bien voulu que ces seigneurs tout puissant (et partits en quête depuis longtemps) qu'il servait puissent lui partager une part de leur immense fortune pour l'aider un peu dans sa quête, mais ça n'aurait pas paru crédible à leurs yeux. D'ailleurs, il n'était même pas sûr que le strul existe déjà à cette période si reculée. Il devrait se débrouiller seul, comme les fois précédentes.
Finalement il piocha dans la réserve de vêtements et accessoires pour se constituer une garde robe conforme au nouveau rôle qu'il devait jouer, se vêtit et, après avoir installé une nouvelle cellule-oeuf dans la cuve "juste au cas où" il ouvrit la porte camouflée de la cave et sortit à l'extérieur.
Dans sa main se trouvait la pilule qui effacerait ses souvenirs et le plongerait réellement dans sa nouvelle identité. Après un instant d'hésitation, il l'avala finalement. Puis, marchant un peu au hasard vaguement vers la ville pour qu'aucun observateur ne puisse déterminer d'où il venait, il sentit un instant un poids sur ses épaules, comme si il pouvait sentir la pesanteur de ces deux -non trois vies précédentes. Il eut un pincement en cœur pour tous ces souvenirs qu'il allait oublier.
Mais ce malaise ne dura qu'un temps, et à mesure que le comprimé faisait effet, il se dirigea vers Vlurxt, bien décidé à accomplir la mission que ce vieux bouzouk riche lui avait demandé d'accomplir. Après tout il y avait bien 500 struls à gagner !
ElDonad se tenait devant la porte de la cave, fixant la porte camouflée qui se refermait lentement. Dans quelques minutes, comme prévu, l'emplacement de cet endroit s'effacerait de sa mémoire, et cette entrée serait parfaitement invisible dans le décor marécageux de la banlieue de Vlurxtrznbnaxl.
À l'intérieur, un écran fatigué à côté d'une cuve se remplissant lentement indiquait GNEE. Une BLAHième itération se préparait déjà, mais avec un peu de chance elle n'aurait jamais l'occasion d'arriver à terme. Cette fois, l'échec était inenvisageable. C'était la bonne non de Schnibble ! Et avec tous les efforts que ça lui avait demandé cette fois, ElDonad espérait bien voir de son vivant la chute de Vlurx.
Rester immergé aussi longtemps finissait généralement par lui donner le rhube, et sa trompe se mit à frémir. ElDonad éternua, et au même moment un bruit strident lui fit faire un bond de surprise. Affolés, ses yeux parcoururent les environs à la recherche d'un témoin potentiel, mais ils ne virent rien. Évidemment. Avec un soupir, ElDonad se détendit.
Il va vraiment falloir que je m'y fasse...
Et avec un nouveau soupir, elle jeta un œil au miroir de poche qu'elle tenait, lui révélant sa nouvelle apparence...
Le miroir reflétait un visage un peu anguleux, des grands yeux silex, une trompe droite et de fines lèvres étirées en un sourire encore peu assuré, mais qui annonçait les grands sourires radieux qu'ElDonad aimait arborer en public. Les cheveux, assez courts, étaient attachés à l'arrière : ElDonad ne savait pas encore trop comment les gérer, elle aviserait sur place.
On pouvait probablement lui donner 20 ans, pas beaucou plus : elle espérait que ses inévitables maladresses avec un corps si différent de ceux auxquels elle était habituée pourrait être excusée par son jeune âge.
La porte était totalement close maintenant, et ElDonad sentait les premiers effets de la drogue qu'elle avait absorbé en sortant rogner sa mémoire. Elle se retourna avec un air de défi : Cette fois-ci, c'était sûr, elle réussirait !
Puis, silhouette fluette dans le décor vaporeux, elle s'éloigna en direction de la ville, sa longue écharpe traînant dans le vent...
ElDonad arriva en vue de la ville au bout de quelques heures de marche. Elle savait exactement ce qu'elle allait commencer par faire, et se dirigea droit vers le bar des Pochtrons.
Durant le voyage, elle n'avait cessé de s'entraîner dans son miroir, essayant de retrouver la plasticité faciale qui lui avait tant servi par le passé, et c'est avec un de ses sourires les plus réussis qu'elle pénétra (pas très discrètement) dans le bar des Pochtrons.
Plusieurs paires d'yeux plus ou moins embrumées par la bierro se tournèrent vers elle, mais elle n'y prêta aucune attention. À la place, elle se saisit d'un des parapluies en titane laissés à l'entrée pour protéger les consommateurs des pluies de météorites, et se dirigea droit vers le comptoir, sa longue écharpe virevoltant derrière elle.
Cachant plus ou moins le parapluie dans son dos, elle apostropha un des pochtrons accoudés au bar. Celui-ci, semblant particulièrement affecté par l'alkouïlle, leva ses yeux torves dans la direction approximative de la zoukette. Du haut de son tabouret surélevé, il dominait ElDonad qui n'était pas très haute de taille. D'une voix peu assurée et un peu rauque, il babilla :
"Voui, qu'essst-c'qu'vous m'voulez ? Une jeune zoukettt' comme vous devrait pas traîner... mais kessk' vous... Hé !
Ne prêtant aucune attention aux paroles du poivrot, ElDonad sortit le parapluie de derrière son dos, l'accrocha au pied du siège du bouzouk, et tira de toutes ses forces d'un coup sec. Si la manœuvre ne suffit pas à faire basculer le siège, il le déstabilisa tout de même, et, l'équilibre quelque peu déficient de son occupant n'aidant pas, les deux se fracassèrent à terre au bout de quelques secondes.
Avant qu'il ne fut revenu de sa surprise, elle pointa le parapluie vers la tête du bouzouk à terre, et répondit à voix basse :
" Premièrement, on dit mazoukette, et deuxièmement bien le bonjour numéro KAH, j'ai l'impression que les vacances sont finies...
ElDonad traîna plutôt qu'elle n'entraîna numéro KAH hors du bar, déposant quelques struls sur le comptoir et adressant au barman : "Je vous l'emprunte un moment. ". Puis elle remit le bouzouk (plus ou moins) sur ses pieds et commença à marcher, le parapluie toujours dans le dos. On pouvait lire sur le visage de son accolyte, en plus de l'hébetement dû à l'alccouïlle, une confusion totale :
"Mais enfin, Monz... Mazoukette, ce n'est pas possible ! Vous avez disparu il y a plus d'un an ! Et puis c'est impossible de perdre une trompe comme ça ! Sauf votre respect...
- Comment peux-tu dire ça ? Tu as déjà essayé d'abord ?
- Non, mais enfin c'est invraisemblable ! Et d'abord pourquoi auriez-vous fait cela ? "
Tout en marchant, le duo passa devant un building de petite taille, qui semblait abandonné depuis un certain temps déjà. Sur une enseigne branlante on pouvait lire en lettres fanées : TV+. D'un geste, ElDonad propulsa le parapluie dans un des carreaux qui n'était pas encore cassé : «Looser !». Elle reprit ensuite :
"Disons que j'ai réalisé que si un zouk pouvait obtenir ce qu'il voulait avec suffisamment de talent, une zoukette le pouvait aussi en en ayant seulement un peu plus, et de plus nous avons d'autres moyens plus subtils pour obtenir ce que nous voulons... Enfin tu verras.
Bref, comme je l'ai dit, c'est l'heure pour toi de te remettre au travail. Va réunir le plus d'épaves dans ton genre que tu le peux, et pour l'instant faites ce que vous faites le mieux : picouïllez, et surtout ouvrez grand vos esgourdes. Je veux connaître le moindre fait et geste de chaque bouzouk d'un peu d'importance dans cette ville. Quant à moi, je vais aller m'intégrer un peu à la ville..."
Sur ce, la zoukette rejeta les pans de son écharpe derrière son dos et s'éloigna d'un pas sautillant, silhouette fluette dans le soir brumeux...
Le courant d'air, ère, l'air de rien dans la ville, il se faufile, va ici et là...semant des fraises sur son passage, traçant une route vers l'endroit. Il zigzag, devant la mairie, devant la taverne, devant le CdBM...laissant derrière lui cette odeur bizarre et fruitée...cette odeur inconnu...et puis ses fraises...mystérieuses...de partout sur son passage....Le courant d'air remonte, remonte jusqu'au point le plus haut de la colline...puis se dissipe...
Allongé sur le sol, un zouk mal en point, les cheveux ayant poussés poussés...la barbe aussi hirsute longue...il se trouve la tors'pwal allongé au milieu de bouteilles vides...de nombreuses bouteilles vides sur lesquels l'on retrouve d'étranges inscriptions.
R.U.M
Le zouk remue, gémit, grogne...ses mains tâtonnent autour de lui...cherchant désespérément quelque chose...bousculant les bouteilles vides...jusqu'à qu'une d'entre elles sonne un peu moins creux...il l'attrape et la porte à ses lèvres pour la vider d'une traite..il ouvre les yeux mais les referme aussitôt éblouit par la lumière.
Il se retourne toujours allongé cherchant quelque choses...c'est là qu'il les trouvât une vielle paire de binocles pour le protéger de la lumière...il les enfile et se relève tant bien que mal.
Une fois debout, l'on peut apercevoir sur son dos, juste en dessous de ces omoplates, deux mystérieuses cicatrices encore rougeoyante. D'une main, il cherche à les toucher mais son visage se tord de douleur, il arrête. Il regarde autour de lui au sol, cherchant désespérément de quoi se vêtir. Il trouve alors un vieux T-shirt, et un peignoîr tout bouloché. Il les enfile pour masquer ces cicatrices et se réchauffer.
Il cherche à nouveau une bouteille qui ne serait pas vide, il l'a saisit puis enfin il lève la tête...regarde autour de lui...son visage se ferme...
Et bouze... je suis de retour
Crole avait suivi les fraises en ayant très peur de trouver la pire zlote que la colline ait connue depuis longtemps. C’est sur. C’est sur ! Il veut m’envoyer à l’Asile ! Il doit être de plume avec l’Oracle, même. C’est o-bli-gé ! Mais la dite piste la conduit au Pânes au Rama de Vlurx et s’arrête sur un tas de bouteilles konsépaskecé.
Elle s’apprête à repartir bredouille quand des bruits se font entendre. Et pas des bruits que des bouteilles auraient pu faire. C’était TodZesque.
Ou pire.
C'était des coccinelles.
La rouquine se cache derrière un panneau de signalisation et observe la provenance des bruits. Elle voit une main qui sort du trou du culte de nulle part et se colle contre le panneau pour se rapprocher de blaz centimètres et mieux n’observer. Ça va. Ça a pas l’air d’avoir des n’ailes. Donc ni Oracle, ni coccinelle. Donc ça peut pas êt’ si pire.
Puis la chose commence à prendre forme, grâce à des accessoires dignes d’un film d’horreur du cinoch’ma.
Et bouze... je suis de retour
…
D’un bond de sa jambe super muxclée, Crole se retrouve devant le bouzouk revenu d’entre les quêteurs.
J’le savais pas du tout ! S’pèce de face de beurkeur moisi !
Déconnecté
BernardoW, euh à peine le temps de réaliser ce qu'il se passait qu'il sursauta quand une bouzoukette qu'il lui disait vaguement quelque chose lui apparu d'un bond digne....digne...d'un bond.
Il la dévisagea du regard, les cheveux orange...non....les yeux....non...la trompe....non....cela ne lui revenait pas ...il poursuivit son examen...la bouche....toujours pas...le coll....LES BOOBZ !!!
Je connais ces faux BOOBZ ! C'est Crole....ouah...elle a ramassé depuis le temps !
Le zouk réfléchissait, il avait des choses à dire, il savait des choses, les choses avaient changé et devait changer...Depuis son passage sur l'Atol de POMPOM'Gali et ce qui avait suivi derrière, il n'était plus le même et Crole pourrait l'aider dans ses projets.
Hell-o daire dit-il d'une voix à la fois mielleuse et sarcastique
Crole, tu tombes bien...j'ai des choses à te dire l'heure est grave...la d'où je viens...tout doit changer....j'ai vu la vrai face des bouzouks....qu'elle heure est-il?... les bonnes mœurs c'est du flan... il faut changer la colline...tu avais raison....savez vous planter des choux?....j'ai besoin de toi....les mauvaises mœurs .... il me faut un couvreur
Les paroles du Zouk était complétement décousues, sa voix haletante...il fixait Crole dans ces Znoeils à travers ces lunettes...continuant
Tu vas m'aider?....et Karambo...j'ai perdu mon vélo....elle est toujours ici.?...Nous devons révéler la vrai face des zouks...a quoi bon lutter...je dois la retrouver....
Puis, il lâcha la zoukette du regard, et chercha paniqué autour de lui...tournant la tête à droite et à gauche...
Mais y a encore plus grave....j'ai plus rien à boire
Hell-o daire
Crole se pince la trompe quand Bernardow lui parle. Non mais et la brossadan ? Il est devenu mlbiste en plus ? Elle commence par hocher… Oui, l’heure est grave, j’arrête pas de l’dire ! …et secouer la tête… Bah non, je suis pas Taftaf moi, c’est lui qui fait pousser des légumes. …pour répondre au bouzouk sans avoir besoin de respirer, jusqu’à ce qu’il n’évoque…
Karambo ? Euh…
…
Elle s’est remariée… Je sais pas cékika osé faire ça, d’ailleurs, c’est…
…
Ah ton vélo ?
La rouquine cherche autour d’elle puis secoue la tête.
Non mais on peut se ziclicker, non ? Mais keske j’raconte moi, j’vais pas l’accompagner en plusse !
Déconnecté
Elle s’est remariée… Je sais pas cékika osé faire ça, d’ailleurs, c’est…
Remariée...remariée...rameriée...marimée...riramée..remasteurisé...
Les mots résonnent, sonnent...sonnent...sonnent dans la tête de BernardoW des points rouges semblent apparaitre derrière ces lunettes. Il doit partir, retourner au cœur de la colline...il doit trouver un solution...Il essaye mais non ELLE ne sont plus là...il s'en ai séparée...
Il a besoin de Crole...mais il doit aussi se rendre là ou elle l'attend...il s'agite
Non mais on peut se ziclicker, non ?
A ces mots, le regard de BernardoW se fixe sur le Ziclick que la zoukette commence à sortir, il y voit un opportunité qu'il ne contrôle, en un éclair il pique le ziclick des mains de Crole et s'apprête à l'utiliser
Désolé Crole, mais je dois y aller...ce fut un plaisir...je t'appelle...j'ai des plan pour n...
Avant même que le zouk est fini sa phrase...il s'évapore
Abadaccor.
Crole lève les noeils au ciel. Il aurait pu me déposer, quand même.
La rouquine repart en clopinant.
"Ce fut un plaizir." Gnagnagna. Épikoi encore ?
Déconnecté
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