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Lorsqu'il ouvrit les yeux, Hakito s'était demandé où il était. Si la faune et la flore lui étaient plutôt familières, sans qu'il puisse identifier tout ce qu'il voyait - le paysage ne lui disait rien du tout. Il devait être arrivé sur le continent, ce qui expliquerait qu'en quelques minutes, il avait croisé plus de grande structure semblant avoir été battit par des zouks, qu'il n'avait vécu d'années.
Cloitré pendant toute son enfance avec son clan au cœur d'une forêt, il avait eu l'occasion de développer tout son potentiel de ninja et parvint à devenir le ninja le plus fort de son clan et réussie à obtenir des pouvoirs oculaires spectaculaire unique lui permettant des prouesses que nul autre n'ai pu accomplir avant lui. Il était le dernier, après lui, la lignée du clan n'avait plus engendré que des enfants incapables de survivre plus de quelques semaines à un monde auquel il appartenait. Lui-même n'avait eu la vie sauve que grâce à un entrainement rigoureux et intense.
Mi-bouzouk, mi-ninja, voila ce qu'il était. Et puisque la partie ninja avait trouvé, du moins le croyait-il, un terme avec la mort du dernier de ses compatriotes, il ne lui restait plus qu'à tenter la partie zouk, en espérant que celle-ci se révèle plus fructueuse.
Il devait faire fi de ses peurs, dissimuler sa nature et tenter une aventure qui, si elle ne serait pas contée par les bardes lors des soirées hivernales, n'en serait pas moins épique.
Dernière modification par Hakito (2962-05-10 21:21:25)
Lorsqu'il reprit connaissance Hakito fit quelques pas, lorsque d'un coup une douleur foudroyante lui traversa l'ensemble du corps. La douleur était telle qu'elle ne tarda pas à le mettre à genoux devant ce qui lui semblait être des grandes structures grise. La douleur commençait à être de plus en plus intense, des pulsations partant de la tête et descendant parcourant la moindre partie de son corps tel une déflagration ...
Dans un ultime effort de sa part il tenta d'arracher quelques mots
A .... A l'aii ..... A l'aide ....
Le zouk tomba au sol maintenant complétement inconscient terrassé par ses douleurs
Dernière modification par Hakito (2962-07-25 11:43:20)
Alors qu'elle revient de la ruelle, où elle a fourgué sa dernière récolte de Raki, Pincemi, perdue dans des pensées pas très schnibblik concernant Sky, voit un bouzouk tomber à ses ièpes.
- Un fétichiste des zorteils... ça faisait longtemps !
Un petit détail, toutefois, semble vouloir contredire sa théorie.
A .... A l'aii ..... A l'aide ....
- En quoi je peux vous aider à baiser mes pieds, mon bon monzouk ?
Blonde, Belle et Bonne
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Hakito repris brièvement conscience, il aperçu une bouzoukette presque pas mal avec des cheveux aussi jaune que le soleil lui même
So.. if ... J'ai si soif ... de l'eau par pitié ...
Malgré un corps sur-entrainé, les zouks sont tous égaux devant leurs besoins fondamentaux en nourriture et en eau
Pincemi s'agenouille près du pauvre bouzouk pour ne pas trop l'ébouir.
- De l'eau ? Sur cette colline ? Vous n'y pensez pas ? Autant boire votre pipi... ou manger votre caca .
Elle fouarfouille dans son sakamain.
- Par contre, vous avez de la chance, j'ai toujours de quoi boire sur moi.
Triomphante, Pincemi sort une bierro de son sakamain.
- Tiède juste comme il faut !
Elle la décapsule entre ses boobz et la tend au pauvre mendiant couché par terre.
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Hakito saisit la boisson qui lui était tendu par sa bienfaisante au cheveu de soleil, et en bu l'ensemble de la boisson d'une traite. Quelques seconde passèrent pour remette le zouk sur pied.
Pardonner mon manque de manière devant vous ...
Hakito s'agenouilla éxécutant son plus beau zarei
Je vous suis éternellement redevable ...
Il n'osait toujours pas redressé la tête par signe de respect et de gratitude la tête comme fixé sur le sol bredouilla
Puis-je demander le nom de ma bienfaitrice aux cheveux de soleil ... ?
Dernière modification par Hakito (2962-07-30 22:09:44)
Pincemi, admirative, regarde le zouk en détresse siffler la bierro cuseck.
- Et ben ! C'est ma foi vrai qu'il avait soif ! Soit ça, soit c't'un pochtron, mais qui le blâmerait pour ça.
Cet enthousiasme lui donne une idée.
- Tiens, ça me donne une idée.
Elle sort une zigième bierro de son sakamain tardis et la boit cuseck, comme une grosse copiteuZ sans personnalité. À moins que ce ne soit plus subtil...
- Vos manières sont les mêmes que les miennes, et je suis très tolérante avec moi-même. Il n'y a donc rien à pardonner. Ni à devoir. Si vraiment tu te sens redevable, tu m'offriras une binouze à la nouvelle taverne de Perzival.
Mais le bouzouk reste face contre terre, comme s'il se trouvait devant une Déesse que le monde aspire à vénérer. Ce qui est un peu le cas, il faut bien le dire.
- Allons, allons, relève-toi. Moi, c'est Pincemi. Et toi ? On peut se dire "toi" ?
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