Cette fois, c'est au milieu d'un champ que l'esprit de Ticott se retrouve.
Nul doute qu'une lourde bataille s'est déroulée en ces lieux, à en juger par les amas de toutes sortes répandus au sol.
Elle tourne plusieurs fois sur elle-même pour essayer de trouver âme qui ne quête pas tout en se parlant à elle même.
Elle est forcément quelque part!
Ticooooooooott?
TICOOOOOOTT!!!
L'air manque à la bouzoukette. Elle ne sait toujours pas de combien de temps elle dispose, ni combien de temps elle a avant qu'Henry ne sombre complètement dans la folie. Mais la bouzounette n'est nulle part à l'horizon. Comment-est-ce possible, habituellement, ses séances de pisse-rythmisme la mènent toujours vers l'être désiré.
OÙ TODZ ES-TU, MONTRE-TOI!!!
Le tonnerre se met à gronder tandis que Ticott se fige l'espace d'une seconde avant d'avancer vers la voix. Et plus elle se rapproche de son origine, plus le tonnerre se fait entendre.
Quel sale temps, se dit-elle à haute voix, sans penser un instant que l'Univers est en train de se rebeller.
Ticott? J'ai besoin de toi. ... Henry... Henry a besoin de toi! Il faut que tu me dises où est le plan.
Cette fois, c'est un énorme éclair qui fend le ciel alors que bébé Ticott se jette contre la robe de l'adulte.
Déconnecté
Dans les déchets du champ Bouletou, aucune plume ne volait. En tout cas, pas avant qu'IL soit là. IL tente d'en faire apparaître pour signifier SON arrivée, où IL a presque l'air enjoué, ce qui ne lui ressemble pas et qui change immédiatement lorsqu'IL constate son échec.
Fulminant, IL se calme un peu lorsqu'un éclair frappe le sol, ce qu'IL revendiquerait à quiconque oserait lui demander quand bien même ce n'était pas entièrement de SON fait.
IL regarde autour de lui, persuadé qu'on allait l'accueillir comme il se doit, et, constatant la criante absente de toute reconnaissance, IL se renfrogne.
Ah non, Pas maintenant, pas après tant d'années... Impossible. J'ai parfaitement tout planifié, comment se peut-il que...
IL regarde autour de lui, s’énervant un peu plus à chaque pile de déchets qui tombe sous SON regard.
C'est à ce moment qu'IL remarque les zoukettes vers lesquelles il s'approche rageusement.
Vous, là, vous avez tout cassé en étant au même endroit, au même moment.
J'exige réparation. Et que ça saute.
Prêtresse Ticott, pas toi, mais toi, si dans KAHDRU jours tout n'est pas comme ça aurait dû l'être... Tu vas le regretter.
En attendant, bonne chance pour gérer tous ces bou... zouks.
Quant à toi, Prêtresse Ticott, viens par ici, tu n'as rien à faire là.
Un autre éclair foudroie et derrière lui se tient désormais tout un tas de bouzouks et bouzoukettes visiblement désorienté.es.
Bienvenue dans cette réalité. Votre mission est simple: tout ce que vous avez à faire, c'est qu'on en arrive pas ici dans KAHDRU jours.
Tout ce que vous étiez avant, c'est pas important, d'ailleurs, quand JE l'aurais décidé, vous devriez ne plus vous en souvenir.
JE reviendrai, exactement ICI et MAINTENANT, et si c'est encore dans cet état... JE serais intransigeant.
Sans laisser le temps de répondre aux nouveaux venus, IL dépose sur le sol un sablier, qu'IL retourne puis regarde les grains s'écouler comme si c'était la chose la plus passionnante qui puisse exister.
Une fois le dernier grain de sable posé sur les autres, le champ Bouletou est vidé de toute trace de la bataille, il n'y reste plus que les 16 bouzoukettes et bouzouks ainsi que l'Oracle.. Le soleil radioactif brille même timidement. L'endroit était identique, mais iels étaient tous.tes 15 jours plus tôt.
Comme à SON habitude, très satisfait de lui-même, IL refait signe à la plus jeune des Ticott et attend qu'elle le rejoigne pour faire apparaître un éclair, incongru sous ce temps désormais plus clément, et l'amener dans une autre réalité, plus sûre pour elle. Non sans adresser un dernier message aux nouveaux habitants.
Ne ME décevez pas!
"L'Oracle est l'oiseau noir qui surplombe le présent et pénètre le futur de son regard perçant."[Bible-Verset XVII]
sangtriste avait dû se lever du mauvais pied dans 15 jours, ou aujourd'hui, vu qu'elle ne se souvenait plus d'avant le tour du sablier.
Elle se retourne vers les bouzouks qu'elle dirige d'une main ferme en tant que Dona Struleone, légèrement irritée mais choisit d'adopter une voix bien trop douce pour s’adresser aux Struleone autour d'elle.
Qui va avoir la chance de m'expliquer ce que vous faites ici loin de la Villa?
Elle marque une pause stratégie avant de reprendre avec une phrase faussement innocente.
Les Schnibbrards ne vont pas s'accumuler tous seuls!
Elle regarde les Sectaires en souriant même si elle n'était pas vraiment d'humeur à être polie.
C'est le problème d'avoir tenu à avoir le plus grand lit de la colline, en sortir était une corvée, vous ne pouvez pas imaginer!
Non, vous ne pouvez vraiment pas, car elle n'a clairement pas les même valeurs que vous.
Grande Prêtresse de Secours
Déconnecté
Un mal de crâne, la bouche pâteuse et en manque de sommeil, Elidark a la tête en vrac. Il regarde d'abord ses chaussures en kramouth albinos vernies. Pleine de boue, c'est la loose.
Qu'est-ce que je fous dans un champ ?
Son kahier reflexe en relevant la tête est de chercher du regard sa Limouzclick Continental 2928 édition unique reconnue dans toute la ville et conduite par son chauffeur personnel Schumicci. Introuvable ! Ce dernier est censé le suivre partout pour se rendre dispo au kahier claquement de doigts. Inacceptable !
Eli crache au sol, excédé. Un arrière gout de gnoulze StoKah ans d'âge imprégnée d'arômes de cigare lui réveille le palais au moment où sort le crachat.
Ca y est, il s'en souvient. Il a dû s'endormir dans les bras de Martascha, comme souvent ces derniers temps. Comment a-t-il pu finir dans ce champ, il n'a pourtant jamais eu le sommeil bien lourd, c'est dur à avaler. Mais surtout, la vraie question, c'est : Qui a bien pu oser le déplacer dans ce champ ? Lui, Elidark !
Les idées encore pas bien alignées, il commence déjà à chercher par quelles tortures il va châtier le fou qui a cru pouvoir s'en prendre à lui. Un exemple, il fera un exemple pour couper l'envie à ses ennemis d'imaginer un jour rééchafauder un plan pareil. Les enfermer tous dans la maison du bonheur, les noyer sous les sanctions jusqu'à ce qu'ils ne savent plus d'où ils viennent. Qu'à leur sortie d'internement, leur déchéance montre à tous ce qu'il en coûte de s'en prendre à sa personne ou à son buziness.
Ca y est, il fulmine, cela semble le réveiller pour de bon, il se redresse, relève la trompe et redeviens lui-même :
Elidark Struleone, le flambeur et colérique maire de la ville depuis que la triche municipale est autorisée, connu pour ses liens assumés avec tous les trafics de la ville, notoire despote et corrompu jusqu'à l'os.
Qui va avoir la chance de m'expliquer ce que vous faites ici loin de la Villa?
De kah coup, il se retourne, il reconnaitrait entre kahgneegneegnee cette voix autoritaire, et sans appel. Non loin, elle est là, la Madone, rayonnante et charismatique comme toujours, malgré l'heure matinale. Kah main de fer dans kah gant de velours, elle qui fait tourner la Famillia envers et contre tout, la seule âme de cette colline qu'il respecte et pour qui il ferait tout. Alors que certains sont encore allongés dans la boue, elle est là droite comme kah statue, ornée d'une parure de dentelle si fine, si éclatante. Il voudrait l'effleurer, la parcourir cette dentelle mais il y a des limites à ne pas dépasser. Eli en oublierai presque le retard de Schumicci et des barbouzes qui ont faillit dans leur mission. En kah regard autour de lui pour noter aussi l'absence des gardes de la Madone, il se rend compte que parmi les zouks présents, sont tout de même rassemblés les membres importants de la Famillia. Kah vague sentiment de sécurité mêlé à la méfiance se réempare de lui. Il se remet à réfléchir à la question de la Dona. Aucune idée de réponse. Il laissera donc les larbins répondre. En attendant, toutes ces émotions lui ont donné une envie, impérieuse et qui le torture souvent quand il est en présence le la Madone.
Que quelqu'un nous apporte du Kahfé !
Ma Dona, ce champ ne vous mérite pas. Je vous ferai avancer ma voiture personnelle pour rentrer en des lieux plus respectables.
Il n'a toujours pas son kahfé. A son habitude, la tasse arrive avant qu'il ait fini sa phrase. Le voila qu'il se refâche.
Elidark Struleone, flambeur et colérique maire de la ville depuis que la triche municipale est autorisée, connu pour ses liens assumés avec tout type de trafics, despote notoire et corrompu jusqu'à l'os.
Déconnecté
== pas loin de la Dona Struleon, se tient une silhouette allongée. On devine un corps de femme, voluptueux avec des forme généreuses, une chevelure dont la rousseur est apparente bien que la zoukette soit encore dans le noir... la zoukette avance et se sont ses lèvres pulpeuses qui apparaissent en premier...suivit de sa machoire.... fichtrement carrée... et sa trompe crânienne... bien trop virile==
wuuuuh...
Mais qui vois je donc dans les parrages ?
La mama Struleone ?
Mauuuuuvaiiiiiiise !
Allez zou ! Les larbins ! Ouste au travail comme elle a dit !
J'ai des affaires a régler avec votre enfin Ma dona...
== il fait un geste de la main comme pour chasser les mouches==
Dis donc votre altesse de la pizza !
Vos margoulins n'ont toujours pas payé mes filles et pourtant ils profitent pleinement de ce que peut leur offrir le quartier des plaisirs...
Et pas la peine de m'envoyer vos grazouks pour me parler dans un coin sombre... je suis allergique au noir.
Je veux mes schnibblards... ou je leur ferme mes nibbards et les mini-bar
Dernière modification par Dona Ticott (2962-08-21 11:10:02)
Alors qu'Eli Struleone attend impatiemment son kahfé, il entend une voix bien connue venir déranger la Dona.
Fichtre, la mère maquerelle ! Quelle foutue briseuse de blurxtres celle là ! Avec tout les Schnibbrard que je lui file.
En plus elle doit surement parler de ma note d'hier soir !
Eli retourne vers la resplendissante Dona et l'intempestive inopportune.
Ma Dona, c'est une question de Schnibbrard, je gère.
Mazoukette, discutons affaires en privé s'il vous plait
Il embarque cette dernière par le bras. Et une fois à distance, il lui chuchote d'un ton pressé.
Qu'est-ce que c'est cette scène ? J'ai toujours payé item99 sur l'ongle ! Enfin c'est Schumi qui porte le chéquier de la mairie, tu sais bien, mais là il à disparu le zloteur.
Enfin Bref.
Avec tous les Schnibbrards que je te file, on s'était mis d'accord pour rester discrets. Si tu reparles de not buziness avec la Dona, c'en est fini de notre accord, de ton immunité, la bouzo passera dans ton bordel, la clef sous la porte et je me récupère Martascha rien que pour moi.
Elidark paie toujours ses dettes !
Avant que la maquerelle n'ai le temps de se demander si cette dernière phrase évoque les Schnibbrards ou les menaces proférées juste avant, Eli sort son portestrul perso et file un gros paquet de biftons à sa créancière.
Pour une fois que la mairie n'a rien à payer pour mes lubies persos, c'est à marquer d'une pierre blanche. se dit-il pour lui même en pestant contre Schumicci
Puis, car il apprécie tout de même le confort de la maison close et qu'il veut éviter que sa "relation" avec Martascha ne soit trop publique, il tient à arrondir les angles avec la tenancière.
Bon, on oublie ce retard mal avisé et à ma prochaine visite, je vous apporte des caisses de champo confisquées du marché noir.
Elidark Struleone, flambeur et colérique maire de la ville depuis que la triche municipale est autorisée, connu pour ses liens assumés avec tout type de trafics, despote notoire et corrompu jusqu'à l'os.
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Immobile au milieu du champ, Ticott reste sous le choc du passage de l'Oracle. Elle cligne des yeux plusieurs fois, pensant que ça l'aiderait à retrouver son époque et la Villa, mais ses pieds restent ancrés dans la boue du champ.
Prenant conscience de la complexité de la situation, elle réprime un haut-le-coeur. La dernière fois qu'elle a eu une telle nausée, c'était le jour de son passage de permis de ziclick. Et Schnibble sait qu'elle en a fait des voyages, depuis, de toute sorte.
La bouzoukette secoue la tête pour rassembler ses idées. Il faut qu'elle trouve de l'aide. De combien de temps disposent-ils, déjà? Et que se passera-t-il s'ils n'arrivent pas à rétablir les choses... Comment devraient-elles être, d'ailleurs?
C'est toute à ces réflexions qu'elle s'approche du groupe de bouzouks et tapote la première épaule à sa portée, sans savoir à qui elle appartient.
Bonjour? Pouvez-vous me dire où nous sommes?
Déconnecté
En tenue de Tweedy, avec juste KAH drap autour de la taille, Buck se retrouve les pieds dans la boue alors que, juste quelques ZIGondes avant, il était au lit avec KAH sulfureuse zoukette. D'abord hébété de se retrouver là, avec tant d'autres zouks, il resserre le drap et espère que son petit soldat se calmera rapidement. Il ne faudrait pas que cette partie mystérieuse de son corps se retrouve dans la Gazette à Scandales.
Son regard tombe sur la magnifique Dona, celle pour qui il a rejoint les Struleone. Au début, il ne voulait que l'ajouter à son tableau de chasse, mais le sérieux dans les affaires dont elle faisait preuve avait émoustillé son âme, et il ne voulait plus que l'aider à grandir encore.
Alors qu'il réfléchit à sa question, quelqu'KAH tapote sur son épaule, et il se retourne, avisant KAH merveilleuse zoukette aux cheveux irisés. Dona Ticott
Oh... Bonjour dam'oazelle.
Il passe sa main libre dans ses veuch bicolores, tant pour les coiffer que pour reprendre contenance, et lui fait son sourire charmeur dont il a le secret et qui a fait ravir bon nombre de coeurs.
Je ne sais pas où nous sommes, mais cela importe peu quand on est aux côtés de KAH si jolie créature Je peux peut-être vous raccompagner chez vous ?
Dernière modification par Buck (2962-08-21 15:10:18)
Quand Buck se retourne, Ticott fait un pas en arrière et observe le bouzouk de pied en serviette cap.
Doux Schnibble, vous êtes n...
Ayant toutes les peines de la colline à détourner le regard, elle se pince l'extérieur de la cuisse pour se ressaisir et tend sa main pour se présenter. Mais la main de Buck ne vient pas saluer la sienne et c'est bouche ouverte que Ticott le regarde la glisser dans sa chevelure or et ébène.
Woutchi! Euh... Ticott. Et vous êtes... n... hum...glousse-t-elle involontairement.
C'est sans plus de volonté qu'elle hoche la tête pour répondre à la question du bouzouk tout en agitant la main en guise d'éventail. Surprise par sa propre audace, elle s'apprête à s'excuser tout en se rendant compte qu'elle n'a pas la moindre idée de pourquoi elle envisageait de le faire.
Qu'est-ce que je fais ici, moi?
Ticott jette un oeil autour d'elle, à la fois perdue et intriguée avant de s'intéresser à nouveau Buck, évitant soigneusement de laisser dériver son regard, cette fois.
Mais attendez... Vous êtes...
La bouzoukette se met à sautiller sur place tout en lâchant un cri de joie.
Vous êtes...
Elle se précipite pour se pendre au cou de Buck puis s'écarte brusquement en lui lançant un regard noir.
Je ne vous permets pas, enfin! Puis après un léger temps de latence, elle ajoute: Mais si vous insistez, je veux bien un rapide ziclick. À la Secte. Non, à la Villa! Non, à la Secte. Non, à la Vill...
Ticott stoppe net et hausse les épaules tout esquissant une grimace confuse accompagnée d'un timide sourire.
Les coupines ne vont pas le croire!
Dernière modification par Dona Ticott (2962-08-21 17:45:44)
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Buck observe la zoukette balbutier avec un sourire éclatant. Elle réagit exactement comme les autres quand elles le voient. Et cette réaction était terriblement mignonne, craquante à souhait. Il la laisse volontiers le reluquer, regrettant de ne pas être seul avec elle. Quand elle se pend à son cou, il est aussi étonné que ravi. Il en aurait presque lâché le tissu recouvrant son intimité.
Quand elle accepte à demi-mot un rapide ziclick, le sourire de Buck se fait encore plus intense. Il réprime une grimace quand elle mentionne la Secte, mais fort heureusement, elle mentionne aussi la Villa. Et heureusement pour lui, il avait honoré sa précédente conquête ailleurs que chez lui pour KAH fois.
Il attrape alors la main de la zoukette, lui offre un doux baise-main, puis se retourne vers les autres personnes. Il envoie un signe de tête respectueux vers Sangtriste, puis sort son ziclick d'où vous ne voulez pas savoir.
Très bien ma belle Ticott. Alors direction la Villa...
Il lui fait un clin d'oeil, puis se ziclick avec elle.
Les pieds dans la boue, Karambo avait un mal de crâne effroyable. Pire que d'habitude en tous cas. Instinctivement, elle regarda le sol, tout autour d'elle. Aucune trace de raki. Pourtant, lorsqu'elle releva la tête, et avisa les bouzouks présents autour d'elle, elle se demanda si elle n'était pas encore en plein trip. Alors elle observa ses bras …
* Non, toujours des bras. *
Son inquiétude passée, Karambo s’intéressa davantage aux bruits que faisaient les zouks autour d'elle. Eli était déjà en train de marchander. Elle leva les n'oeils au ciel, mais un éclat l'éblouit. Évidemment, Il était là. Et bien sûr, il était déjà en train de séduire une zoukette inconnue. Si elle avait pu disparaître sous sa frange d'ébène, Karambo l'aurait fait. Mais en avait-elle vraiment besoin ? Elle n'était pas de ces zoukettes qu'on remarque. Mais qu'importe, ce n'était pas son bizz' à elle de se faire remarquer.
Rien à voir avec l’exubérante et libidineuse maquerelle qui s'était permit d'adresser la parole à la Madone sur ce ton irrévérencieux. Là où cette rousse de petite vertu monnayait la chair, Karambo, elle, si pure et chaste, avait fait de l'Amour avec un grand A son Domaine avec un grand D. Elle s'était d'ailleurs imposée comme patronne du Domaine Struleone qui, sous sa houlette, ne se limitait plus à produire du Champagne KahGneeGneeGnee ans d'âge, mais était également le centre névralgique d'un raizow extrêmement florissant et lucratif : La Flèche de Cupid'on. La Flèche s'adressait au plus grand nombre. Car même les plus durs à kuir, les plus avides et les plus implacables des bouzouks ne rêvaient au fond que d'une chose : Trouver la personne idéale pour partager ce trop plein d'amour propre et les soutenir même pour kah schnibbrard symbolique. Sur la base d'un algorithme impossible à craquer, La Flèche se proposait d'organiser une rencontre avec un zouk, une zoukette ou même un animutant KahGneeGnee pour KahGneeGnee compatible avec le « prétendant ». Karambo n'aimait pas parler de « client », aussi avait-elle opté pour un terme rappelant davantage la parade amoureuZ. Car rien n'était laissé au hasard dans le bizzness de la brune. Chaque concept était travaillé, re travaillé et re re travaillé avec un professionnalisme qui confinait à l'obsession. Ainsi, depuis que le raizow existait, il enregistrait un taux de « concrétisation » de GlapGlap,GlapGlap pour KahGneeGnee. et un taux de « rupture » dans les zig jours d'à peine Gnee,GneeGneeGneeStoSto pour KahGneeGnee. Qui était chargé de produire les chiffres et de vérifier leur authenticité ? Un cabinet parfaitement indépendant, possédé par un Hall ding (dong), lui même possédé à GozGnee pour KahGneeGnee par TV Struleone, à StoSto pour KahGneeGnee par Elidark, investisseur éclairé, et à Poo pour KahGneeGnee par le pioupiouk de Karambo, enregistré à l'état civil comme PioukZouk, capable de mimer avec une grande acuité les réactions primaires d'un bouzouk et dressé, quoiqu'il en soit, pour exécuter les moindres directives de sa maîtresse. Autant dire que les chiffres qui circulaient sur les résultats de la Flèche étaient extrêmement fiables.
Ce fut donc avec une grande foi en la supériorité de SON bizz' sur le bizz de la rousse que la brune la dépassa tout en la toisant ostensiblement. Elle s'approcha ainsi de la Madone avec déférence et respect.
« Sur le papier, Dona Sangtriste, nous n'avons rien à faire ici. Le temps c'est du schnibbrard, et il n'y en a manifestement pas dans ce champ. Néanmoins ... »
Karambo marqua une pause très étudiée, regarda le champ à droite, puis le champ à gauche.
« Ce champ a kah pouvoir que je ne peux m'expliquer. »
Elle contourna la Madone et la prit respectueusement par le bras, comme une amie chère mais néanmoins respectée. De sa main libre, elle désigna le champ devant elles pour que les n'oeils de la Cheffe incontestable et incontestée des Struleone embrassent le paysage.
« Imaginons … Kah rencontre au coucher de soleil, les grazouks en toile de fond. Ou encore kah petit déjeuner matinal, les zig soupirants installés sur kah nappe négligemment disposée sur l'herbe, cadow de La Flèche évidemment … Madone … Ce champ est à la Famille n'est-ce pas ? Il me le faut pour la prochaine campagne promotionnelle de La Flèche de Cupid'on !! Madone, pliiiz !! »
Comme une enfant gâtée, Karambo tourna ses n'oeils les plus larmoyants vers Sangtriste et l'implora du regard. Pour s'assurer de vraiment mettre toutes les chances de son côté, elle enfonça le clou :
« On ne peut pas laisser ces secteux gâcher le potentiel de ce lieu, comme tout ce qu'ils pervertissent de leurs sales pattes ! »
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Être Madone, ce n'est vraiment pas de tout repos, mais ça tombe bien, sangtriste n'en n'avait présentement nullement besoin, ses pensés étaient claires et c'est sans se départir de son sourire qu'elle regarde un membre de sa Famille s'occuper de la bouzoukette rousse si peu cérémonieuse.
Bien entendu, elle se doutait de la raison de ce retard de paiement. Après tout, qui affiche ses tarifs en Schnibblard -monnaie inexistante aux yeux avisés des Struleone- ne devrait s'attendre à recevoir paiement, mais elle sait que ces problèmes de bas étage n'ont pas à la concerner.
Tout comme la nouvelle conquête de Buck. La Dona a pour habitude de fermer les yeux sur cette partie de la personnalité du bouzouk, tout comme elle sait l'entretenir quand ça l'arrange, donc, pas en ce moment.
Elle le regarde la saluer et hoche légèrement la tête puis se concentre enfin sur la zoukette de sa famille qui se sent proche d'elle. La Madone apprécie la confiance qu'elle inspire, peut-être moins la familiarité dont Karambo fait preuve, mais elle ne le montrera jamais ouvertement, encore moins en public.
Ma chère! Toi, si proche à mon cœur, comme tous.tes les autres Struleone!
Qu'il est bon de te voir, même dans ces circonstances.
Par fierté et tenue, elle ne se dégagera pas de l'étreinte de la zoukette et lui offre même le luxe [Très Rare] de son entière attention.
L'abondante émotion de la Struleone lui fait adopter un court instant un air circonspect, qu'elle chasse bien rapidement pour reprendre son air serein.
Ce champ? Tu es sûre?
Il ne doit pas valoir plus de KAH Schnibbrard.
Elle rapproche sa bouche d'une des oreilles de Karambo pour lui adresser des paroles qu'elle doit être la seule à pouvoir entendre.
Ne jamais dévoiler ton intérêt pour quelque chose, ma chère.
Tu sais qu'iels nous jalousent tant, ne doute pas KAH seul instant qu'iels déroberaient ton nouveau jouet devant tes yeux sans état d'âme.
Et personne ne voudrait voir ça, n'est-ce pas?
Elle s'éloigne à nouveau, pour reprendre la conversation à voix plus haute mais toujours calmement, comme si elle n'avait fait qu'une courte pause pour réfléchir, et libère enfin son bras ganté, se préparant enfin à quitter ce champ.
Je suis sûre que la mairie sera ravie de se débarrasser de ce terrain complètement sans valeur.
Le Schnibbrard symbolique est peut-être bien généreux...
Mais la Famille est juste, elle. Tu as donc mon accord.
Les modalités ça te regarde, mais tu le sais déjà, ce n'est pas ta KAHière œuvre "caritative", après tout.
Dernière modification par Sangtriste (2962-08-23 01:30:19)
Grande Prêtresse de Secours
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Encore un moment, s'il vous plaîîîîteuh.....
ElDonad se réveille difficilement d'un sommeil agité. Elle a les reins en compote, il lui semble avoir passé la nuit à chevaucher un grazouk... Elle serait bien restée au lit un peu plus longtemps, mais les beurkeurs ne se font pas tout seuls, et pour les patrons, le temps c'est du schni. Elle se relève avec précaution, et inspecte son entourage...
Allons bon, voilà que ça recommence ! On lui avait déjà fait le manoir struleone, le quartier des plaisirs, la cantine infecte de la secte, mais un champ plein de détritus, jamais ! Qui restait-il donc sur la Colline pour l'enrôler de force, elle la cuisinière la plus populaire (bon, la seule aussi, mais n'empêche) de Vlurxtrznbnaxl ?
Elle interrompt ses jérémiades intérieures quand elle distingue des voix derrière elle. Elle se retourne, et de surprise elle en tombe à la renverse !
Monsieur le maire ! La patronne ! Et un bouzouk en petite tenue qui s'empresse de repartir avec une zoukette qu'il ne lui semble pas avoir déjà vu... Mais qu'est-ce qu'ils font tous ici ??
Un peu revenue de sa stupeur, elle se relève en maudissant intérieurement son mal de dos, c'pas normal d'être coincé comme ça à son âge, ça non, et s'approche du petit rassemblement qu'elle aborde d'une voix pâteuse et mal assurée :
"Xcusez-moi braves zouks, vous z'auriez une idée où on est ? Et sauf vot' respect bien sûr, mais vous aussi vous z'avez été kidnappé ?"
Puis, se tournant vers Sangtriste avec une pointe d'appréhension dans le regard :
"Faudrais pas qu'je sois en retard au manoir, à midi c'est croque-zouk de kornomouth sauce putride, et ça prend un certain temps à écailler..."
Dernière modification par Dona Ticott (2962-08-22 19:00:14)
Henry sent la fraîcheur qui commence à imprégner son tulavu. Il relève la tête avec un regard inquisiteur en se grattant le seul poil qu'il a sur le menton. Il n'est plus dans son laboratoire, mais dans un champ boueux avec des bouzouks limités intellectuellement. Il fait une petite moue de dégout en se relevant. Il est dégouté par la boue qui souille son postérieur mais encore plus par l'ignorance qui règne ici. Il ne cherche même pas à comprendre ce qui s'est passé. Il met juste sa main dans sa poche pour savoir si tous ses schnibbrards sont encore là, et visiblement oui.
Il ne s'attarde pas ici et décide de retourner à la Villa Struleone, dans son laboratoire, pour continuer les recherches commandités par la Madone Sangtriste. Heureusement qu'elle est là pour relever le niveau elle.
En route Henry compte dans sa tête et la douce mélodie des chiffres le guide tranquillement. Il s'écrie :
- Eurêzouk !!
Dernière modification par Henrystocrate (2962-08-22 14:48:41)
C’est au milieu de nulle part dans un trou boueux que Volezouk émerge de son sommeil perturber par la brise s’engouffrant dans son aube. Il cherche autour de lui mais elle n’est plus à ses côtés.
Qu’est ce que vous avez encore zlotter bande de traîtres ?
Que la justice schnibblique shabbat sur vos trompes cupides!
Volzouk lève son sceptre et un zéclair vert fait irruption sur le champ et foudroie les Stru.
Bien qu’il ne leur arrive rien à première vue un premier se met à baver et faire des gestes dans tous les sens.
Tant que vous ne respecterez pas votre parole sur les thermes que nous avions conclu la foutre schnibblique shabbatra sur vos tronches d’impies herétiques !
il remarque alors une touffe rousse hirsute qu’il connaît bien...
Jeoff que fais tu ici avec ces sacs à schnibblards ? Que s’est-il passé ? Où sont les disciples et les garde de la justice schnibblique ?
Schumicci est bien embêté, embêté au point de craindre pour son poste, voir de risquer la quête. Lui qui d'habitude est si méthodique, ponctuel et sérieux. Il a fait kah bourde et ce n'est pas kah petite.
Comme à son habitude, la veille au soir, il a déposé son Patron dans le respectable établissement de Jeoffe, puis à garé la Limouzclick rutilante dans le parking privé attenant afin de la dissimuler au regard des curieux et des journaleux. Comme à son habitude, il attend la nuit entière jusqu'à ce qu'Elidark redescende et embarque pour la mairie.
Mais ce matin là, pas de boss ! Après avoir attendu Kah heure son Patron, ce qui est tout a fait extrême pour kah bouzouk si pressé, Schumi se motive à investiguer dans le batiment. Après un rapide tour des employées, il se rend compte que le Boss a disparu ! Et la tenancière aussi ! C'est bien la kahière fois.
Aïe Aïe Aïe les ennuis commencent.
Peu de temps après, il reçoit une myriade de ZmZ de la part de kah secrétaire municipale.
"Le Patron est dans un champ, kestu fait ???" "Y a la Dona aussi et pas de Gardzouk ! On a envoyé un escadron de Bouzopolice pour les protéger en urgence" "Répond ! Tu vas avoir des gros soucis !"
Ni Kah ni Zig, Schumicci embarque les zig Barbouz perso du maire et fonce en Limouz récupérer son Patron.
Arrivé dans le champ, il ne trouve pas le Elidark.
Ca y est, je suis fini...
Un dernier ZmZ : "Le Patron vient d'arriver à la mairie, il veut que tu reconduise la Dona au Manoir Struleone. T'as du bol !"
Après une rapide enquête, Schumi apprend qu'Elidark a pris un Zickclick de la bouzopolice pour rentrer. Schumi a eu du bol que la consigne ne soit pas sa propre quête. Il avance en direction de Dona Sangtriste pour lui proposer de prendre place dans la luxueuse berline municipale, quand tout à coup un zouk encapuchonné sort de kah trou boueux et commence à crier.
Schumi fait un geste en direction des Zig Barbouz pour aller s'occuper de cet importun quand il se rend compte qu'il s'agit du Grand Prêtre en personne. Fichtre, c'est leur allié ! Il rappelle les Barbouz alors que le sectaire lève son sceptre et que l'orage gronde.
Encore zig pas et il sent kah tache mouillée sur sa chemise impeccable de chauffeur. Zut, pourtant ils ne parlaient pas de pluie. Mais... Après avoir fait kah éventail avec son bras, le voila qui sautille. Ce n'est pas de la pluie, mais de la bave... Il ne se contrôle plus et saute partout en crachant autour de lui.
Cette sensation inconfortable ne semble pas vouloir s'arrêter. Ce pauvre Schumi est pris d'une folie qui n'arrangera pas ses affaires à son prochain entretien individuel avec le DRH de la mairie.
En plein délire, après StoGnee minutes de déambulation aléatoire, kah Schumi baveux trébuche sur le bord de kah trou et tombe sur...
Le Grand Pretre Volezouk qui se retrouve imbibé de bave maudite par Schnibble.
Dernière modification par Dona Ticott (2962-08-22 20:01:51)
Elidark Struleone, flambeur et colérique maire de la ville depuis que la triche municipale est autorisée, connu pour ses liens assumés avec tout type de trafics, despote notoire et corrompu jusqu'à l'os.
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La bave de l’impie n’atteind pas sa verte magnificence.
Il lève son sceptre et le zouk baveux se voit électroculter une seconde fois en guise de prévention.
Dernière modification par Dona Ticott (2962-08-26 11:04:26)
Allongé au milieu de nul part, Kpone se réveilla difficilement... La bouche pâteuse il s'alluma euhhh non il ouvrit une bierro ???.... Il pris une grande gorgée suivit d'un gros rototo... Il nettoya sa soutane et remis sa capuche... Il sortit son PorteSchnibblard... Toujours vide...
Qu'est ce que je fait ici ?... Surement une volonté du Schnibble...
Des morceaux de souvenir apparu dans son esprit... " La Grand-Pretresse... Evasion.. Smurtz.. Rolalala il faut que j'arrete la Bierro" Kpone regarda sa bierro et se mis a crier...
Vive La Secte et vive le Schnibblard !!! A la votre
Il reprit une gorgée et direction la ville...
« Le capitalisme est le racket légitime organisé par la classe dominante »
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Sangtriste même pas eu le temps de chercher l'un des moyens de transport qui apparaissent exactement quand elle en a besoin sans qu'elle ait, elle, à faire le moindre effort, car on requiert encore son attention en ces lieux.
L'imprévu, la Madone adore ça, car cela lui permet de montrer sa réactivité à toute épreuve. Et c'est toujours une possible opportunité pour la Famille, c'est pourquoi elle ne se départit pas de son sourire amical.
Elle voit la cuisinière de la Villa s'approcher d'elle et s'inquiète de la trouver désopilée. Non, foi de Dona Struleone, qui sert la Famille reçoit son soutien, quand bien même le service en question, qu'importe.
Oh, bien le bonjour, appréciée alliée.
Ah, ces célèbres croque-zouks dont tout le monde parle avec tant d'émotions!
Certes, l'écrasante majorité de ces émotions sont très négatives, mais ça, elle ne le révèlera jamais à la bouzoukette, hors de question de se mettre à dos une alliée, et peut-être aussi car la Madone ne souhaite pas la vexer tant qu'elle ne peut en tirer profil.
Un évènement au alentour attire l'attention de Sangtriste. Pas l'éclair vert sorti de la grande baguette du Grand Prêtre, s'il l'a touché, elle n'a rien senti; ses mains ont beau ne pas être propres figurativement, elle a la conscience parfaitement tranquille.
Elle regarde les membres de sa Famille avec attention, pour s'assurer qu'iels se portent tous.tes bien. Leurs larbins, par contre, elle s'en préoccupe peu, ça, ça peut se remplacer avec quelques Schnibbrards. Une fois rassurée, elle se retourne à nouveau vers ElDonad qu'elle regarde droit dans les yeux avant de reprendre la conversation.
Excuse-moi, il était impératif que je m'assure du bien-être de ma Famille.
Pour la peine, tiens, prends ces Schnibbrards, je ne voudrais pas que tu aies à emprunter les zicliks en communs pour aller jusqu'à la Villa.
Et fais toi plaisir avec le reste, tu le mérites bien! Et prends ton temps pour les écailles, ne t'en fais pas, nous savons être patient.es pour les bonnes choses.
Ce qui n'est pas complètement un mensonge, ça fait tout de même des années qu'iels attendent un bon repas, et ça ne les empêche pas de verser un généreux salaire à la zoukette.
D'ailleurs, la Madone tend à la cuisinière le sac contenant les Schnibbrards promis tandis qu'un pochtron digne des sombres heures du MLB titube en dehors du champ.
Heureuse de ne pas avoir à interagir avec lui, elle tente de savourer l'air trop frais des environs, tenant à ce que tous.tes ses protégé.es soient en sécurité sans considérer la sienne un seul instant.
Dernière modification par Sangtriste (2962-08-23 02:15:45)
Grande Prêtresse de Secours
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La première vision qu'eu un Vito Franlink c'est ses chaussures en cuirs de grazouk, bien ciré et bien nettoyé, les lacets lacaient zig par zig mais à ce vision de beauté extrême et d'élégance, il y avait la boue et ça ce n'est pas ce qu'il manquait autour de lui.
Il retira son chapeau l'espace d'un instant qui lui avait été offert par Dona Struleonne pour le nowel dernier. Il mit comme il faut sa belle cheumiz, car un ses yeux un zouk bien habillait est signe de respect, puis il représente la famille. Une fois le chapeau de nouveau bien ajusté sur sa tête, une allumette au coin de la bouche car Vito Franlink tentait d'arrêter de fumer, il regarde autour de lui, il voyait divers secteux mais fort heureusement des zouks de sa famille et à sa grande surprise la Dona Sangtriste.
Tout de suite, il sortit son 3.14159 Magnum en argent de sous sa veste, une arme qui fait des dégâts et non des moindres mais il fallait bien ça contre les ennemis de la Famille.
Vito Franlink se mit à courrir tout en criant :
"Dona ! Dona ! "
Il bouscule zig ou sto kamoulox sur sa route et arrive tout en glissant grâce à ses chaussures et à la boue aussi lisse et glissante qu'un Kiramisu au cacolat préparé par la cuisinière de la Famille.
" Dona restez derrière moi ! Mais qu'est ce qu'on fous ici ? Et c'est quoi ce Festival de touriste autour de nous ! Une embuscade ? un coup monté ? "
Il s'assure que rien ni personne n'approche de trop près la Dona, se retourne pour la regarder des pieds à la trompe, histoire de s'assurer que tout va bien et qu'elle n'est pas blessée. Mais à priori rien, elle est toujours splendide, doté de son grand charme qui fait peur à tout le monde et qui est représentatif de la famille.
Toujours le pétard à la main, Vito Franlink reste sur ses gardes ses noeils regardant de droite à gauche tel un pendule qui chercherait de l'eau sauf que là le zouk cherchait de l'ennemi à abattre et cela sans sourciller.
Dernière modification par Franlink (2962-08-23 10:43:39)
Après énormément d'incantations de druides et de magie, Molmol se réveille dans un coin de ce qui semble être un champ. D'abord, en ouvrant les z'noeils, elle ne vit que le ciel. Donc elle se redressa pour s'asseoir et regarder autour d'elle. En se redressant, elle remarqua dans un premier temps ses vêtements, au nombre de 2, légèrement déchirés mais pas trop. Heureusement, car un bikini déchiré entièrement ne serait plus tellement un bikini. Sa mémoire lui jouant des tours, sans doute dûs au chnoubzok qu'elle boit tous les matins, elle a du mal à remettre les événements dans le bon ordre... En mettant la main dans... mieux vaut ne pas savoir où, elle sortit quelques schnibblards, dont un fût légèrement plus rouillé que les autres, allez savoir pourquoi... Mais ce n'est pas tout ce qu'elle pu trouver à l'intérieur ! Une clé. Molmol trouva une clé bien cachée. En l'observant, le numéro 69 était inscrit dessus...
Ça y est, la mémoire commençait à revenir. Cette clé ouvrait sa chambre dans la ruelle du P... Mais rien n'explique la présence des schnibblards dans son corps tellement... Pur ! D'ailleurs, celui ci est d'une telle pureté, qu'en continuant de fouiller à l'intérieur, Molmol trouva une bague, sur laquelle un grand S était inscrit.. Que signifiait il ? Cette bague était elle à elle, ou alors à un "ami" de la ruelle ? Impossible de savoir sans continuer ses fouilles...
En plongeant une énième fois sa main, c'est un carnet de notes qui est découvert. Curieuse, Molmol l'ouvre, et le referme presque aussitôt avec un air étonné. Ça y est. Elle sait. Elle sait tout. Dans ce carnet, seulement des chiffres et des noms. Mais elle comprit tout très rapidement, les souvenirs reviennent !
Elle se leva, et observa désormais tout autour d'elle. Sans prendre le temps de comprendre pourquoi et comment elle était arrivée ici, elle prit la décision de partir, seule, avec un objectif en tête. Cacher les schnibblards dans son intérieur, et donner le seul rouillé à sa cheffe bien aimée...
J'ai la plus belle moustache et je suis gentil
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Des schnis et des compliments de la Madonne ! ElDonad n'en espérait pas tant ! Empressée, elle réplique :
Bien généreux d'votre part, Donna mia. Je file tout de suite !
Elle s'empara des schnis en évitant soigneusement de s'approcher ou de croiser le regard de Monzouk le maire qui bavait curieusement, et de son autre patron le GpS qui avait l'air courroucé. Mieux valait ne pas s'attirer plus d'ennuis que nécessaire. Puis elle héla promptement une ziclick.
J'ai STOGNEE minutes pour finir ma journée au Manoir, ensuite si tout va bien je n'aurai que BLAZ minutes de retard à la Secte, et KAHGNEE minutes de battement avant le dîner au quartier des Plaisirs. Et avec tous les schnis qui me restent...
Elle bondit d'excitation intérieurement : Avec les quelques schnis en trop de la Madonne, elle pourrait bien se payer un karaoké à la Taverne ! Elle ne connaissait pas de meilleur défouloir que de chanter à tue-tête dans une bierro en buvant des micros jusqu'à la pointe de l'aube. Durant ces nuits fastes, elle n'était plus une simple cuisinière que pour une raison qu'elle n'avait pas encore pu déterminer personne ne songeait à remplacer, elle était une star adulée, sur scène, dans un costume à paillettes, des guitares flamboyantes derrière elle, et un public qui l'ovationne à ses pieds ! Vraiment, la meilleure façon de passer une nuit, et de très loin selon elle !
Seul problème, chanter tout seul c'était bien, mais ça avait encore quelque chose de factice... Les applaudissements enregistrés l'adulaient même quand elle ratait une note, les guitares se déchaînaient même quand elle oubliait les paroles, et les cris de joie résonnaient encore quand elle s'endormait sur la banquette, épuisée, parmi les bierros vides... Non, le vrai bonheur du karaoké, c'était avec un autre ! Un zouk célèbre de préférence, beau, charismatique, une voix d'or, qu'elle pourrait admirer quand il prendrait le micro, applaudir à s'en faire rougir les mains quand il reprendrait le refrain à l'octave dans un déchaînement de guitare, mais qui lui dirait à son tour qu'elle aussi pouvait le faire, que le charisme, le talent, la beauté, tout zouk en avait au fond de lui, et que même elle, simple cuisinière à la solde des plus grands, elle pouvait le faire !
Tout à sa rêverie, elle manqua presque de sortir du ziclick à temps et manqua de se ramasser sur les marches du perron du manoir Struleone. Ce n'était pas tout ça, mais elle avait des rognons de grazouk à moudre ! Chaque chose en son temps, elle le savait, l'occasion se présenterait un jour !
Dernière modification par Dona Ticott (2962-08-26 11:04:41)
Sangtriste avait à peine le temps de noter le départ de la cuisinière officielle de la Villa, que voilà un autre bouzouk qui se présente à elle.
Pas une seconde à elle ni à d'autres pensées, soit, elle accepte sans problème les inconvénients de sa fonctionne et s'avance vers Franlink, en s'arrêtant à une distance respectable, comme la zoukette qu'elle est.
En le voyant s'avancer dans son champ de vision, elle le reconnait rapidement, ce qui, étant donné son rôle et son importance dans la Famille n'est pas vraiment une grande prouesse.
Oh, toi ici, quel soulagement, mon cher Franlink.
Tu vas bien, dis-moi? J'étais si inquiète de ne pas te voir. Oh, je le sais, tu me le dis si souvent.
"Tu veillais aux bien-être de ta Famille et que tu sais très bien te défendre"! Nous avons tant de points communs!
Il faut dire que la Madone était particulièrement douée pour se dérober de la vue de sa garde rapprochée dès qu'elle en éprouvait l'envie, alors celles et ceux qui n'exerçait pas directement cette prestigieuse fonction, c'était encore plus simple. Et Sangtriste comptait bien à ce que ça reste ainsi.
Aussi, en voyant le Struleone inspecter les lieux, elle fait les mêmes gestes, mais dans le sens inverse, s'assurant que ce qu'il ne regardait pas ne lui réserve aucune mauvaise surprise. C'est ainsi qu'elle voit une zoukette peu vêtue qu'elle ne parvient pas à identifier quitter le champ avec empressement. Intriguant, mais pas assez pour détourner son attention.
Elle sent un regard posé sur elle avec insistance, pas dans la direction qu'elle aurait pu supposer. A son tour, elle se détourne un instant de sa mission improvisée de surveillance afin de vérifier sa tenue. Tout était parfaitement en place, ce qui la rendait, de fait, étrangement pas à sa place du tout en plein milieu d'un champ, si ce n'est le fait qu'elle se comportait comme s'il n'y avait rien d'incongrus dans cette situation tandis qu'elle répond au Struleone.
Non, rien de tout cela. Nous sommes ici. Et bien, car nous le pouvons, tout simplement.
Mais les Schnibbrards n'attendent pas, pas du tout comme tes prison, enfin, tu vois, ceux qui t'attendent.
Tu peux les retrouver à la Villa, et préparer le récapitulé détaillé pour notre prochaine mise au point. Fais bien attention jusque là, tu me le promets?
Grande Prêtresse de Secours
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Après une vérification du périmètre de sécurité par la circonférence du carré et de l'hypoténuse sur l'étendue de boue, Vito Franlink pouvait baisser son gros pétard pour le ranger soigneusement dans son étui à l'intérieur de sa veste .
Il prit le temps de se retourner vers la Madone , certainement kah seule personnalité qui mérite d'être respecté, adoubé et bien d'autres mots en "é". Il se dirige vers elle, lui prend la main et il lui fit la bise sur la main de la Madone, en signe de respect sur cette dernière et ce qu'elle représente, la Famille .
" Je vais bien Madone, je me suis retrouvé ici , je ne sais pas comment, je ne sais pas pourquoi, mais vous allez bien et je vais bien alors tout va bien.. "
Les louanges de la Madone à son égard était fort apprécié pour l'ego du mafieux, il était sûr de faire toujours du bon travail et de ne jamais rater sa cible. Chaque matin avant de commencer sa journée, il allait au stand de tir de la villa pour taper le carton. Mais qu'est-ce qu'un mafieuso . C'est quelqu'un qui a un flingue et si il voit un ennemi il tire mais un bon mafiso , c'est un zouk qui a un flingue et si il voit un ennemi , il tire. Vous voyez il y a le mafiso de base et le bon mafiso, le kahier c'est un viandard et le zigième c'est un assassin.
Il répondit aux louanges de la Madone.
C'est vrai , Madone je sais bien me défendre, j'ai appris toutes les techniques de combats avec Morpheusouk, il m'a fait prendre une pilule rouge et à partir de là toute ma vie n'a été que combat et protection pour vous et la Famille.
Mais vous n'êtes pas sans reste Madone, la Madone a les yeux revolver, elle a le regard qui tue, et elle tire bien souvent la première .. Surtout quand elle parle à ses ennemis, son avocat incapable et tous les misérables qui s'opposent à la Famille."
Il remarqua par la suite que la Madone n'était pas seule et déjà en conversation avec d'autres petites gens.
"Madone, faut il vous escorter en lieu sûr ? A la Villa don Diego de la Vega de la Famille ? "
Un cauchemar, c est un cauchemar ! Qu'on me tire par le manche .. euh la manche ! J'aiii touuut vu. Notre fin LA fin j'ai faim !!
Ainsi le TodZ de cette nouvelle réalité prenait conscience de sa nouvelle existence.
Vêtue d'une combinaison des plus moulante en cuir de grazouk le Sectaire se dirige vers son bureau.
Ohhh malheur, j'ai besoin que quelqu'un Sexeeeesprime au sujet de mes rêves. Il faut que j'aille voir mes supérieurs de la secte. Avec un peu de chance, quelqu'un pénétreraaaa, ohh ouiii, mon esprit pour m'aider à me vider ,oooh ça vient..., la tête.
Enfilant sa soutane par dessus son attirail clouté, le religieux prit sa sacoche et s'en alla voir son Responsable.
Dernière modification par Dona Ticott (2962-08-26 11:04:54)
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