Nagato arrive très peiné dans ce bureau. En seulement quelques jours, la crise de mairïk avait laissé des traces considérables. Martine traumatisée, plus d'encre dans le chek-hier, plus d'argent dans les caisses.... La pauvre Karambo avait du vivre des moments terribles dans sa folie.
Nagato s'assoit dans le siège du maire afin d'y prendre ses nouvelles fonctions. C'est à ce moment qu'il en profite pour attraper le fameux micro :
BONCHOUR A TOUS,
JE VAIS ASSUMER LE POSTE DE LA MAIRIE EN L'APSENCE DE NOTRE PIEN AIMÉE KARAMBO QUI A DU S'APSENTER DE LA MAIRIE POUR RAISON MÉDICALE .
Pour toutes question ou remarques adressez fous directement au trou du culte... afec un peu de chance il vous répondra
Pien évidemment si il y a des zouks ou des zoukettes qui sont choquées ou triste du départ prématuré de notre mairesse, cheu peux également faire une consultation kratuite a mon capinet
Passez une bonne chournée et n'oupliez pas de chouer à ParionsSchnipplards !
Nagato attendait ensuite patiemment elodred alias Elidark qui devrait le suivre dans quelques instants.
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La ruelle des plaisirs, et plus précisément la suite de Molmol la précieuse, ne recevait plus de visite de la personnalité préférée des zouks, monzouk le maire. Celui ci, Molmol ne sait même pas si c'est toujours le même... Déçue, sans schnibblards, elle ne peut poursuivre son train de vie luxueux. C'est donc en prenant son courage à zig mains que Molmol la courageuse se rend devant la mairie pour revoir son maire préféré !
Elle entrouve doucement la porte pour y jeter un coup de z'noeil, et se rend compte que ce n'est plus le beau petit maire assis dans le fauteuil... Quelle déception pour Molmol la déçue... Elle referme la porte tout aussi doucement, pour ne pas faire de bruit. Elle se met alors dans une pièce ouverte, à côté du buro du nouveau maire, en se disant :
- Mmmmh le nouveau maire... Comment savoir s'il aime les mêmes choses que l'ancien maire ? Il faut que je ramène des schnibblards à ma boss... Et aussi le schnibblard symbolique à ma Madone... Et cette fois j'empoisonnerai ce schnibblard ! Mais je m'égare... Allez je vais me reposer, et ce soir je mets mon doigt préféré dans le tulavu du nouveau maire, je vais pas passer par blaz chemins! J'espère qu'il va aimer et me payer...
Sur ces mots, Molmol aux doigts de féhéehée s'allonge au sol, en ayant pris soin de placer un coussin pour ne pas se faire mal au cou.
Dernière modification par molmol (2962-09-05 10:56:07)
J'ai la plus belle moustache et je suis gentil
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Soudain kah bruit de verre brisé rompt l'ambiance pesante du burow du maire. En lieu et place d'Elidark c'est un pavé qui traverse la pièce et échoue non loin de Nagato.
La lourde pierre est emballée dans du papier sur lequel on peut lire une évidente référence au célèbre conte "Les Sto petits grazouks et le grand méchant Kramouth".
Petit Grazouk !
Petit Grazouk, laisses moi entrer...
Elidark Struleone, flambeur et colérique maire de la ville depuis que la triche municipale est autorisée, connu pour ses liens assumés avec tout type de trafics, despote notoire et corrompu jusqu'à l'os.
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Loin du tohu-bohu de la mairie, Henry prépare ses caisses de champo spéciales "Karambo". Il désire lui envoyer kah caisse
pour son élection. Évidemment.. c'est une caisse spéciale qu'il prépare. Il compte soigneusement les bouteilles et dans chacune d'entre elles il verse quelques gouttes d'un puissant laxatif de sa propre confection. Cela n'altère aucunement la qualité du champo ni le nombre de bulles présentes dans chaque coupe. Henry les a comptées personnellement. Henry s'adresse à son assistant :
- Fais livrer ça a notre maire adorée...
En se frottant les mains et en pouffant de rire il ajoute à voix basse :
- J'ai hâte de la voir ramper pour sortir de son bureau !! On pourra la suivre à la trace !! C'est pour tous les coups de batte de pioukball qu'elle m'a collé.. ou quand elle m'a laissé enfermer dans mon bureau au Domaine ...
Henry frémit a l'idée de son pantalon qu'il a souillé Sto fois avant que quelqu'un lui ouvre enfin la porte...
Dernière modification par Dona Ticott (2962-09-05 22:50:48)
Au beau milieu de la nuit, Karambo avait été dérangée au keur même du fief de la Famille Struleone. Si au dessus des lourdes portes de chêne de la Mairie on pouvait lire « Gloire Famille Spaggiouili » ce n’était certainement pas pour vanter les préceptes de la Secte du Schnibble. La Mairie était Struleone ou n’était pas. D’ailleurs, voilà KAHDRU mandats que personne n’y trouvait rien à redire. Et l’élection de Karambo Struleone n’était qu’une nouvelle preuve de la suprématie de la plus grande, riche et belle Famille de Vlurx.
Tout au long du chemin qui séparait la Mairie de la Maison du Bonheur, la brune avait bien essayé d’expliquer cela aux zouks en blancs …
« JE S’APPELLE KARAMBO STRULEONE ! LACHEZ MOI ! »
Personne ne la tenait, mais Karambo regardait trop de comédies dramatiques, ce qui générait chez elle une petite tendance à l’exagération.
« Quand la Madone saura … Elle vous fera écarteler sur la place publique. En face du Ristorante Struleoni. Pour pouvoir assister au pestacle tout en dégustant la suggestion du Chef ! »
Le chemin était long, et les spécialistes du Bonheur n’étaient pas très bavards. Mais Karambo n’était pas prête à y voir une corrélation entre le silence et le bonheur. Elle poursuivit donc sa prestation tout au long de la procession. Car Karambo, elle, aimait le PANACHE !
« Et mon frère Elidark, vous savez ce qu’il va vous faire ? Non, n’essayez pas d’imaginer, il a des méthodes tellement violentes que kah neurone ne suffit pas à les craindre. Ca va être sanglant, et brutal, et traumatisant et … Oh kah papillonZ ! »
En chemin, Karambo avait pris son temps, regardé les papillonZ, cueillit des fleurs. Les zouks en blancs n’étaient pas vraiment des ennemis de la Famille. Comme tout le monde à Vlurx finalement. Ils savaient très bien où étaient leurs intérêts. Un pseudo professeur dont personne n’avait jamais vu les diplômes leur avait filé un paquet de Schnibblards sans exiger aucune garantie. Ils n’allaient quand même pas refuser. En parallèle, ils installèrent Karambo dans la Suite Struleoni. Elle ne manqua de rien durant tout le temps que dura son internement. On lui servit le thé, exactement comme elle l’aimait, avec un soupçon de lait de kramouth. Et on lui fournit lecture, Tv à rayon gamma et evidemment son iToboz afin de n’être pas coupée du monde extérieur. Karambo avait sans doute quelques démons à exorciser, mais une crise de mairik aigûe ? Si celle-ci ne rapportait ni Schnibbrards, ni Grand Amour, elle n’avait vraiment aucune raison de s’amuser à la développer. C’était une zoukette pressée. Elle n’avait pas de temps à perdre avec ces enfantillages.
Après KAH nuit et KAH jour passés à se ressourcer et à binne jeu-w’ouah’tcher tous les épisodes de Pénuries et Trahison (en se rongeant les ongles à force d’attendre que l’héroïne, Karam Bolage, réalise enfin, après DRU faux diagnostics, que son médecin traitant était un charlatan et se venge de manière définitive), Karambo quitta la Maison du Bonheur en promettant à ses z’amis les zouks en blanc de revenir les visiter dans de meilleures circonstances. Promesse qu’elle n’avait évidemment pas l'intention d’honorer.
Elle avait alors pointé le bout de sa trompe à la Mairie, où ses frères et sœurs étaient déjà rassemblés en nombre. Un sourire aux lèvres, elle exhiba fièrement son nouvel outil : un martifouet. Mais pas n’importe quel martifouet. Un martifouet à clous, car Karambo avait pris goût à accessoiriser tout ses outils à l’aide de clous. C’était redoutablement efficace. Elle donna un coup de fouet vibrant sur sa paume ouverte et retint les larmes de douleur qui menaçaient de perler sur ses joues, tout en serrant les dents pour rester impassible.
« Il paraît que KAH professeur a été vraiment vraiment vilain et a besoin de KAH petite correction ! »
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Elidark, après avoir écrit son petit mot, se fait informer du séjour de Karambo à la maison du bonheur.
Tiens donc, kah visite des installations municipales en tout début de mandat, elle y surveille surement les nouveaux investissements dans le confort et la sécurité. Cette idée farfelue que les opposants politiks ont droit à kah traitement bouzoukien...
Mais que fait cet énergumène dans le burow de la mairesse alors ?
Mais Patron... C'est lui-même qui a envoyé Karambo à l'asile...
Elidark ne comprend pas. Il ne comprend d'ailleurs pas grand chose à ce qui ce passe. Il ne répond donc pas au messager. Il pense plutôt qu'il lui faut corriger le crieur public qui use le cuir de kramouth albinos du fauteuil municipal. Sans réelle justification ni raisonnement poussé, il a juste kah besoin viscéral de lui envoyer un bon coup de batte dans la trogne. Il a raté son coup tout à l'heure à cause d'un regrettable contre-temps mais la prochaine fois il ne le ratera pas.
En parlant de kramouth, il a une idée brillante (pour son niveau).
Les gars, faites-moi le siège de la mairie, je reviens.
Quelques temps plus tard, Elidark est devant un troupeau de kramouths d'attaque, nourris à la viande de grazouks et à la poudre de schnibble, dressés pour les combats clandestins qui font la joie des parieurs et qui rapportent en général un bon paquet à Elidark en % des mises.
Il n'a pas choisis cet enclos par hasard : Le bookmaker propriétaire du troupeau a déjà zig jours de retard dans son paiement hebdomadaire. Peut-être a-t-il cru qu'Eli n'étant plus maire, il pourrait renégocier les détails du financement. Mais en ce moment, il ne croit plus rien, ficelé comme il est à sa canalisation de toilettes, sa maison dévastée et les noeils sur Elidark qui opère sa punition.
Ce dernier est entrain de découper méthodiquement les fils barbelés de l'enclos et de les enrouler autour de sa batte de pioukball. Le bookmaker sait qu'il en aura pour kah semaine à récupérer tous ses kramouths, mais il comprend maintenant qu'il l'a bien mérité. Il comprend aussi qu'il a de la chance d'être encore en kah morceau. Heureusement pour lui, Elidark a kah autre cible ce soir...
Il finit son œuvre, satisfait des petits ajouts fait à son outil de quête et de sanction. Souriant à sa batte améliorée, il ne prête même pas attention à l'ensemble du troupeau de kramouths enragés qui sort en furie de l'enclos, là où les barbelés ont été "réquisitionnés". A peine gêné par le flot incessant de bêtes de combats qui le frôlent au galop, Elidark repart en direction de la mairie.
Alors que les animutants saccagent tout kah quartier de la ville, Elidark revient sur le parvis de la mairie. Il voit à la fenêtre que Nagato n'a pas encore quitté le burow... est-il donc dérangé à ce point ? Eli sourit quand même quand il voit que la mairesse s'est joint à eux pour la petite fiesta qui s'annonce.
Ah Karambo, ma chère sœur, quel plaisir de te revoir en forme ! J'ai suivi ton exemple et rénové un peu ma batte... dit il en lui montrant les barbelés entortillés qui dégoulinent déjà du sang de kah secteux innocent qu'il a croisé par hasard sur son chemin du retour.
Alors, allons-nous donc entrer, pour châtier cet inconscient ?
Joignant le geste à la parole, Elidark s'avance vers la porte. Fracasser les lourds panneaux de bois d'un grand coup d'épaules aurait été du plus bel effet, surtout avec la retransmission en direct par TV Struleone. Mais comme il s'agit du matériel municipal donc quasiment la propriété de la Familia, il sort son badge magnétique et déverrouille la porte sans soucis.
Alors que la troupe entre doucement dans le bâtiment, les hauts parleurs diffusent encore une musique d'ambiance à volume max.
Elidark Struleone, flambeur et colérique maire de la ville depuis que la triche municipale est autorisée, connu pour ses liens assumés avec tout type de trafics, despote notoire et corrompu jusqu'à l'os.
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Nagato était dans son bureau de maire quand il entendit tout un tapage en bas du bâtiment. Il avait passé une journée épouvantable: quelqu'un avait lancé un pavé dans la fenêtre du bureau, probablement quelques indigènes récalcitrant au progrès du Schnibble s'était-il dit. Maos c'était avant de recevoir une caisse de champo destinée à l'ex-mairesse que Nagato s'était empressé d'ouvrir afin de fêter ses nouvelles fonctions...
Le champo avait quelque chose de spécial bien sûr, mais Nagato ne le savait pas et c'est tout naturellement qu'il but une bouteille entière avant d'être pris de nausée et d'une envie pressante d'aller au petit coin..
Il y avait un tel raffut dehors qu'il était désormais impossible se travailler correctement ni d'entretenir les rapports sur les derniers patients de la Maison du Bonheur.
C'est encore ce Elidark qui fait des siennes... il est décidemment très spectaculaire.. cheu parie sur un bon fieux complexe d'infériorité il utilise sa force pour compenser sa petite trompe propaplement....
Nagato pris ensuite note de ses propres observations.
Bon Martine cheu crois que che ne reviens pas demain je fous remercie pour tout et che fous dit : à pientôt
Dernière modification par Nagata Cris-Tie (2962-09-06 03:09:14)
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