Tout se passa rapidement, il n'eut pas le temps de constater sa maladresse qu'il était entouré de plusieurs zoukette à la capillaire exotique.
- Bleu, blanc, rouge. Allons zoukettes de la colline... reprenez-vous voyons, ce n'est que moi !
Ce n'est pas votre journée.
Il posa ensuite un regard accusateur sur Sabribri, visiblement les astres n'étaient pas dans le bon alignement pour elle. Il se retourna ensuite afin de mettre une trompe sur la voix qu'il avait entendu dans son dos. Et qu'elle ne fut pas sa surprise de découvrir Seylinn, puis il fit un effort surzoukiens pour se remémorer les moments qu'il avait pu avoir avec elle. Quelques bribes lui revenaient en mémoire et celle-ci avait toute un dénominateur commun, une porte. Ni une ni deux il pénétra alors dans l'établissement et ferma la porte au nez de la zoukette.
Visiblement, ça devait être une coutume entre toi et moi...
Il prit ensuite le temps de relever Sabribri et de l'épousseter un temps soit peu afin que celle-ci, soit présentable.
Ce n'est pas tout ça ma chère, mais nous avons un service à assurer on dirait. Tu mettras une bierro à la belle aux cheveux bleue et tu l'ajouteras à ma note !- dit-il en posant son regard sur Gaya.
Il emboita le pas à Sabribri pour rejoindre son fidèle bar derrière lequel il se sentait chez lui.
Alors qu'elle allait répondre au hochement de tête de l'inconnue, un courant d'air vint frapper la trompe de Seylinn avant qu'un bruit fracassant ne finisse par se faire entendre. BAAAAAAM. A quelques petits centimetres de sa trompe venait de se fermer la lourde porter de bois de la taverne. Par chance, elle ne l'avait même pas effleuré. Pour autant, la Zoukette se retrouva figée, n'osant plus bouger durant de longue zigonde qui paraissèrent kah éternité. Elle inspira profondement, puis expira tant bien que mal. SELF CONTROLE. Tentant de contenir son calme à l'interieur de sa jolie caboche, la bouzoukette enclancha la poignée de porte pour y mettre toutes ses forces et la pousser.
PERZIVAAAL - soupira t'elle en rentrant.
L'air avait gonflé ses joues, et le bruit qu'elle fit en l'evacuant laissait transparaitre son agacement. Elle secoua rapidement sa crinière blanche pour se redonner prestance, puis s'avanca vers le bar. Tapotant sur le comptoir pour attirer l'oeil du tavernier :
Puisque tu es de retour, fais honneur à ta réputation et mets moi ce qui tu as de plus fort !
Elle mesura ses parôles et poursuivis :
Dans un verre Perzival, dans un verre.
Puis elle se retourna pour marcher vers la Zoukette aux cheveux bleus qu'elle n'avait jusqu'ici jamais vu en ville. D'un geste vif, elle lui tendit la main pour se presenter.
Je ne crois pas t'avoir déjà vu à Vlurx. Enchantée, je suis Seylinn,
ça me fait plaisir , parce que jusqu'ici : c'était moi la nouvelle !
Déconnecté
Les bouzouks sont bien étranges.
Postée à l'entrée de la Taverne, Gaya assiste à une représentation dont elle ne connait pas les codes. Durant l'entracte, elle boit une gorgée de bierro. La zoukette dont elle ignore le nom revient vers elle. Elle s'attarde sur ses mèches immaculées. Elle remarque sa main tendue, y glisse la sienne.
Heureuse de faire ta connaissance Seylinn. Je suis Gaya. Mais je ne suis pas nouvelle.
Gaya récupère sa main, boit un peu de bierro, fixe Seylinn sans ciller.
Et si je le suis, quelle importance ? Nous sommes tous de passage ici. Un jour, dans de nombreux jours, on aura oublié ton nom, le mien, et même celui de Perzival. Peut-être que ce lieu insolite existera toujours. Avec ou sans le nom de Perzival. Les générations futures ignoreront sans doute que "Perzival" était réel. Mais son idée sera toujours vivace. Un lieu pour les âmes égarées. Pour les marginaux. Un lieu où ça n'a pas d'importance. Un lieu pour se retrouver, passer un bon moment tout simplement. Ce refuge subsistera, tant que de nouveaux bouzouks seront présents pour lui donner corps et âme.
Cette tirade lui donne soif. Gaya reprend une lampée.
Quand tu partiras en quête, Seylinn, quel sera ton héritage ?
L'étrangère aux cheveux bleus accepta la poignée de main que la zoukette lui tendait ! c'était là, l'kah des attentions les plus gentilles qui lui avaient été donné de recevoir en ce jour très précis, dans cette taverne très précise, tenue par un PERZIVAL très précis ! Au contact de la peau de Gaya, Seylinn ne pu que constater qu'elle était douce. Kah douceur qu'elle n'avait jusqu'ici pas encore cotoyé : mais très vite, la bouzoukette fut tirée de ses rêveries par le discours un peu revêche de la nouvelle venue visiblement pas si nouvelle.
Elle l'écouta attentivement, semblant de feindre d'avoir tout compris, même lorsque ce n'était pas le cas. Elle retint pourtant l'essence même du message : ils n'étaient RIEN sur cette colline , et pretendre le contraire était une zlote invétéré. Gaya était lucide, et à sa dernière question, la bouzoukette s'empressa de répondre :
Mais lorsque Seylinn ouvra la bouche, aucun son n'en sorti. Son héritage ? En avait elle seulement un ? Elle mis ses mains dans les poches de son pantalon, et les retourna : un petit mouton de poussière en tomba, mais aucun bien.
Tu sais, je n'ai jamais vraiment cherché à laisser ma trace, ici ou ailleurs.
Je cherche juste à être heureuse.
Tu ne crois pas que c'est le but d'kah vie ?
Elle l'interogea du regard, avant d'attraper une biero que Sabrina venait de lui apporter.
Déconnecté
Gaya attrape Seylinn par le bras, ne se soucie pas des convenances. Elle guide la zoukette vers une table, l'invite d'un geste à s'installer, tandis qu'elle prend place à son tour.
Je crois que tu peux être heureuse de bien des manières, mais que ce n'est pas un but en soi. Le bonheur doit t'accompagner tout au long du chemin, quelque soit ta destination.
Elle sourit, darde un regard plein de conviction sur Seylinn.
Ne cherche pas à être heureuse. Sois le.
Elle tape du poing sur la table.
Trouve un but, et l'accomplir, jour après jour, te comblera de bonheur.
Elle vide le contenu de sa bierro et la repose d'un geste sûr. Une courbe délicate soulève le coin de ses lèvres. Tout l'intérêt de Gaya est fixé sur Seylinn. Pourtant, rien de ce qui se passe alentour ne peut lui échapper. Elle reste attentive, en alerte. Sabrina manque de renverser son plateau à nouveau. Perzival fait croire qu'il travaille. Les clients affluent, le bruit environnant couvre en partie la conversation des deux zoukettes.
Tu n'as pas à prendre de décision capitale aujourd'hui. Fais simplement ce dont tu as envie. Embrasse la vie. Maintenant, tout de suite, la kahière chose qui te passes par la tête !
Se laissant entraîner à la suite de Gaya, Seylinn virevolte entre les tables jusqu'a s'installer à l'une d'entre elle, se trouvant, un peu plus à l'écart encore. Voulait elle la séduire ? La zoukette change, pour devenir maintenant pleine d'interrogation, mais ses yeux reprennent un air écarquillé lorsque Gaya lui offre un regard déterminé.
Emporté par la douce voix de la zoukette aux cheveux bleu, Seylinn boit ses paroles. Elles sont sages, pleine de bons sens, bien qu'un brin endoctrinante.
Être heureuse c'est plus facile à dire qu'a faire.
J'ai cru l'être quand je suis arrivée ici, rencontrant de nouvelles personnes, et me laissant aller...
mais quand une personne m'a fait souffrir, j'ai bien compris que ce n'était finalement pas si simple que ça.
Sa mine devient blême , elle n'avait jamais vraiment évoqué ça aussi ouvertement, et là voilà dévoilant ses ressentiments profond auprès d'une inconnue. Seylinn se resaisit et reprends un peu plus vindicative.
J'aurais du le confronter et lui dire qu'il n'avait pas été gentlezouk ! avant de se radoucir,
Mais j'imagine que tu ne parles pas vraiment d'amour lorsque tu me parles de but.
Qui serait assez idiot pour croire qu'une autre personne pourrait nous rendre heureux d'ailleurs
Elle, l'avait visiblement été ! Elle réfléchit alors profondément aux dernières paroles de Gaya.
Je crois que je devrais effectivement profiter de la vie telle qu'elle se présente, pas d'engagement, pas de réflexion, retrouver ma spontanéité perdue à mon arrivée en ville. Elle pose alors sa main sur celle de la zoukette,
Et toi Gaya, de quoi as tu envie là, maintenant, tout de suite ?
Déconnecté
En grande pompe, entourée de Sto Censeurs et d'un nombre de scribouilleurs incalculable pour Karambo – c'est à dire à peu près KahDru, la brunette arriva à l'angle de la Ruelle des Mendiants et de l'Avenue des Pochtrons. Là, elle glissa ses directives à chacun et releva sa capuche sur sa tête afin de se dissimuler sous une cape qui rendrait Henrystocrate vert de jalousie.
Et c'est avec la plus grande discrétion qu'elle entra dans la Taverne de Perzival, profitant de l’entrebâillement de la porte pour se glisser à l'intérieur. Elle se rendit droit vers le comptoir, le contourna et prit une clé que Perzival gardait là, dans le plus grand secret. Secret qu'il avait partagé avec elle. Secret qu'elle avait partagé à son tour avec quelques kahgneeaines de zouks.
La pauvre serveuse était bien occupée et la remarqua à peine. Karambo ne la remarqua guère plus et prit un couloir qui menait sur un autre couloir, une porte, puis des escaliers qui descendaient vers le sous-sol, elle emprunta alors un autre couloir, passa une kahière salle, puis une zigonde qui servait de débarras. La stoième était la bonne, Karambo fit cliqueter sa clé dans la serrure et entra dans une pièce sans cachet particulier. Sa principale fonction était d'ouvrir sur un couloir exigu qui serpentait sous la Taverne. La Cheffe du Club remonta une série de marches, et ENFIN, déboucha sur une salle très authentique, comprenant une cheminée et des fauteuils en velours. L'un des fauteuils était rouge, l'autre bleu, un stoième était violet et le dernier était pourpre. Les fauteuils étaient tournés les uns vers les autres, décrivant un cercle, afin que tous les protagonistes puissent se voir. Mais il manquait encore ledits protagonistes. Karambo se pressa donc d'aller déverrouiller la porte qui donnait, comme par magie, sur l'arrière de la Taverne. Cela permettrait à ceux qu'elle attendait d'accéder plus aisément à ce salon privé.
Pendant ce temps, les scribouilleurs et censeurs avaient pris position dans la Taverne et ses environs. Prêts à bondir à la moindre entourloupe. Kah d'entre eux était posté devant la porte. Prêt, pour sa part, à laisser rentrer les Sto plus éminents zouks et zoukette de la Colline pour une réunion au sommet. Et pas kah de plus.
Déconnecté
Blazord avait reçu une invitation étrange d'un censeur qui l'invité à ce rendre à la fameuse taverne de Perzival.
Intrigué, il rejoins la taverne dans la plus grande discrétion.
Une fois sur place, il remarque deux choses : un censeur devant la porte de derrière qui lui fait signe de la main et une odeur de bierro qui court-circuite son neurone.
L'un lui dicter de rentrer par la porte de devant et de repartir dans quelque heures à quatre pattes et l'autre d'aller à cette fameuse réunion secrète.
La tentation était forte mais un scribouilleur arrive de nul part et tire Blazord en direction de la porte de derrière.
Arrivé devant la porte secrète, un censeur lui ouvre et lui fait signe de rentrer.
Blazord s’exécute et une fois à l'intérieur remarque un visage familier et 4 siège qui ont l'air plutôt confortable.
Il salue de la trompe Karambo et s'assoie sur la chaise rouge.
Il ne sait pas bien se qu'il fait ici mais il comprend qu'il doit encore attendre les 2 propriétaire des sièges vide.
Dernière modification par Blazord (2963-04-14 16:03:51)
sangtriste se retrouve devant une taverne où elle n'avait jamais mis le moindre orteil, comme toutes les autres endroits de débauche qu'elle n'avait aucune envie de fréquenter. Et dire que pour ça elle a dû raccourcir une de ses prières quotidiennes préférées... Peut-être que si elle partait maintenant elle pourrait les reprendre?
Alors qu'elle hésitait et semblait sur le point de faire demi-tour un des scribouilleur lui indique un autre chemin qu'elle suit à regret, jusqu'à se retrouver devant une entrée plus discrète. La GPS regarde autour d'elle pour s'assurer que personne d'autre n'est présent puis elle se rapproche de l'entrée.
Pas La_Porte principale?
Hum...
Ce n'est pas déconseillé dans les Saints Écrits, Schnibble soit loué.
Elle se contente d'hocher légèrement la tête pour saluer les gardes, persuadée que tout.e bouzouk.ette respectable se devait de savoir qui elle est et que les autres ne méritent pas son attention. Elle lance un dernier regard vers l'extérieur et se retient de soupirer tandis qu'elle se dirige vers le salon privé.
Quand sangtriste se retrouve à destination, elle en inspecte rapidement le contenu et les occupant.es. Même si le fauteuil rouge est en partie masquée par le chef du MLB assis dessus, elle le voit quand même et se note de faire remarquer les goûts douteux en matière de décoration au propriétaire des lieux quand elle en aura fini avec la raison de sa venue. C'est debout et après un vague signe de la main que la GPS prend la parole.
Ah, ces retardataires...
Que c'est fatiguant d'être toujours à l'heure.
Mais pardon, vous ne pouvez pas comprendre, vous!
Grande Prêtresse de Secours
Déconnecté
Fraichement et nouvellement neuronée contre son gré, Ticott bûche toujours sur un plan pour prendre le pouvoir de la famille Struleone.
Quand une missive arrive par erreur dans sa boite à missive, une convocation pour une réunion super ultra secrète, qui plus est, elle saisit cette opportunité de se faire connaitre aux grand.es chef.fes de clan de la colline.
Au détour d'une ruelle malfamée, un scribe du CDBM attend devant une_porte.
D'abord hésitante, Ticott avance vers lui en lui tendant un papier d'état civil, sur lequel il peut lire: "Dona Ticott". Qui d'autre qu'une cheffe de la Famille Struleone oserait employer un tel pseudonyme, si ce n'est qu'une véritable Dona? En tout cas, cela suffit au bouzouk sous-neuroné qui lui ouvre la_porte avec un grand sourire.
Iels n'attendent plus que vous, Mazoukette.
Ticott remercie le sbire d'un signe de tête arrogant et supérieur puis s'engouffre dans la pièce.
Une fois en présence de Karambo, Blazord et Sangtriste, elle reste debout, elle aussi et lance:
Je suis Ticott Struleone, Dona de la Famille Struleone en devenir. Je ne crois pas que nous nous soyons déjà rencontrés.
Dernière modification par Dona Ticott (2963-04-17 14:00:12)
Déconnecté
C'est une lettre top secrète que le Don reçoit, le contenu est vraiment très secret Personne ne devait lire ce que Quelqu'un lui avait écrit. Il l'envoit dans le feu de la cheminée de son bureau s'assurant qu'il ne reste plus Rien de cette dernière.
Il s'arme de bouteilles de champo de la cave de la Villa qui est encore pleine de l'époque, autant qu'il a de poche c'est à dire les Kah Dru.
Il se rend ensuite vêtu d'un voile intégral laissant deux trous pour ses yeux à la taverne de perzi, personne ne devait le voir là bas.
Il tombe alors trompe a trompe avec zig des censeurs entrain de lire une version de poche de la saine censure seulement les pages sont vierges. Il leur tend alors une bouteille de champo à chacun puis quand ces derniers tendent leur main les assomme avec et vide une partie du contenu sur ces derniers pour simuler un bourrage de trompe.
Il entre discrètement après avoir glisser un oeil pour vérifier que la voie est libre puis une fois rentrer dans le rade il se met à ramper le plus discrètement possible pour passer IN CO GNI TO.
Il emprunta le chemin qu'il avait vu sur les plans qu'un zespion lui avait ramener toujours en rampant.
Il prit un couloir qui menait sur un autre couloir, une porte, puis des escaliers qui descendaient vers le sous-sol, il emprunta alors un autre couloir, passa une kahière salle, puis une zigonde. La stoième était la bonne, Karambo avait du oublié de la refermer derrière elle. Il entra dans une pièce ouverte sur un couloir exigu qui serpentait sous la Taverne. Le Don remonta une série de marches, et se releva enfin, trompe a trompe avec deux autres garde censeurs il réitère la technique.
Ces zig derniers tendent leur mains se croyant intouchable par leur statut il les assomme à leur tour retire son voile intégral et le place dans une de ses kahdru poches.
D'un mouvement brusque il ouvre en grand la porte projetant la pseudo Dona derrière cette dernière sans s'en rendre compte.(oui c'est dangereux les portes plus qu'on le croit !)
Excusez moi du retard le chemin pour arriver jusqu'ici était semé de bûches et de zloteurs ivre quête !
Bonjour à tous je vois qu'on est tous là, on va pouvoir commencer !
Pour ceux qui ne le sauraient pas encore, Il jette un regard dans la direction de Blazord. je suis Don Zouklove Struleone mais même notre cher GPS vivant dans une grotte le sait alors je me fais pas de soucis pour les autres!
Il fait un clin d'oeil à sa Grande prêtresse puis se dirrige vers kah fauteuil pourpre qui semble être fait pour lui en sortant blaz bouteilles de champo millésimé Struleone mais cette fois il n'assomme pas les autres protagonistes avec il leur tend kah bouteille et saisit des flûtes de champ' qui se trouvent derrière lui sur kah étagère.
Tenez servez vous ne restez pas planté là les yeux ébahis !
Dit-il en prenant place dans le fauteuil.
Dernière modification par Zouklove (2963-04-17 19:35:16)
Ce fut avec un sourire satisfait que Karambo salua le kahier arrivant. Elle n'était pas surprise que le leadeur du MLB soit aussi ponctuel, il s'agissait d'un rendez-vous dans une Taverne après tout. Et puis, il ne devait pas avoir grand chose de mieux à faire. La GPS Sangtriste fut la zigieme arrivée. Karambo la salua d'un signe de tête respectueux. Elle s'apprêtait à lui répondre et à entamer une joute verbale sur la ponctualité à en faire pâlir le Percepteur, lorsqu'une invitée impromptue montra le bout de sa trompe. Karambo fronça les sourcils. Elle les froncait tellement dernièrement qu'elle allait finir par creuser une terrible ride d'expression. Heureusement, elle avait ouïe dire qu'une nouvelle bouate de cosmetik avait ouvert en ville. Mais Karambo n'eut pas le temps de laisser son neurone divaguer davantage que Zouklove fit son apparition. Et les sourcils de la brunette se froncerent plus que jamais. Cette reunion allait visiblement avoir raison de sa bonne mine et de son allant naturel.
" Dona Ticott ... Don Zouklove ... Enchantée. "
N'importe quel observateur avisé aurait aisément compris que la cheffe du Club était paumée. Elle n'avait jamais rien compris aux histoires de succession de la Famille Struleone. Elle aurait bien passé un appel à un ami, afin d'interroger Sky : le Zigond devait bien savoir, lui, de qui il était le Zigond. Aux dernières nouvelles, Karambo l'entendait parler de son Don Volezouk. Visiblement rien à voir avec Zouklove, dont personne n'avait plus entendu parler depuis bien longtemps. Mais bien sûr, ça c'était avant que Sky la traite de miettes. Elle avait bien compris depuis qu'il n'y avait plus la moindre amitié possible entre eux. Elle aurait sans doute dû le comprendre avant, alors qu'elle lui parlait d'amitié et que lui ... Bref ! Qui Todz était donc le représentant officiel de la Famille Struleone ?! Les zig protagonistes essayaient-ils de se payer sa trompe ??
A zig doigts de sombrer dans une intense remise en question de son existence sur la Colline, Karambo leva la main, et mit la situation en pause. Elle alla jusqu'à la porte pour interroger les subalternes qui y étaient postés. Mais ils n'étaient malheureusement pas en mesure de lui répondre. Elle fit donc le chemin inverse et se rendit vers la porte de derrière. Myrddin lui avait largement enseigné à toujours opter pour la porte de derrière, mais Karambo s'obstinait à n'en faire qu'à sa tête. Les Censeurs n'étaient pas dans de meilleures dispositions de ce côté ci. Elle échappa un soupir, puis revint vers ses condisciples éminents représentants des clans les plus puissants de la Colline.
" Eh bien, eh bien ... Est-ce que la Secte attend également kah GPSbis ? Le MLB a t'il kah autre Grand Secrétaire caché quelque part ? Je dois pouvoir faire sortir Ajuntapall de sa retraite spirituelle, si vous insistez. Après tout, plus on est de fous ... "
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Si sangtriste savait compter jusqu'à DRU elle aurait remarqué qu'il y'a avait présentement plus de convives que de chaises.Cela n'aurait probablement aucunement impacté son comportement.
Mais au moins elle n'aurait pas à faire semblant de comprendre le problème qui se présente dans ses yeux remplis d'ennui tandis qu'elle refuse le champo proposé par Don Zouklove et qu'elle se retourne pour répondre à la cheffe du CdBM lorsqu'elle revient de sa promenade inopinée.
La Secte, c'est Lui, LUI et Moi.
Ça fait donc STO.
Donc évidement pas de GPS-bis.
Comment ça, plus de fous?
Je suis parfaitement saine d'esprit, moi.
D'ailleurs, je n'ai que Sa voix dans ma tête, maintenant!
La GPS se retient de faire toute remarque quant au prédécesseur de la zoukette et son habitude de laisser traîner son doigt Schnibble sait où, plus par profond désintérêt que par politesse.
Manquer sa prière préférée pour ça, vraiment... Vu qu'elle voit désormais La_Porte de sortie, la tentation est si grande pour elle de faire semblant d'aller prendre l'air pollué pour retrouver Sa Secte. Sauf que c'est n'est pas ce que Schnibble attend d'elle... Elle reste de dos aux autres, mais au moins elle reste là.
Grande Prêtresse de Secours
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Venant des Jardins Publiques, Buck erre dans la ville, s'étonnant des différences entre son monde et celui-ci. La plus grande disparition constatée est celle du quartier des plaisirs. Buck n'était pas très familier de cet endroit, il faut dire qu'il n'avait nullement besoin de ça pour avoir la compagnie de KAH ou plusieurs zoukettes, mais c'était un endroit parfait pour recueillir des informations. Faisant le deuil de cet endroit de débauche, le bouzouk arrive devant la porte d'un bar. La Taverne de Perzival.
Oh, ce bon vieux Perzival. Celui à qui je dois tout, autant ce magnifique corps que cette virée dans l'inconnu.
Il entre alors gaiement, espérant trouver des zoukettes attendries par son sourire et donnant volontiers quelques informations intéressantes.
Patron ! KAH coupe de champozouk je vous prie. Et du domaine Struleone, bien entendu.
Dernière modification par Buck (2963-08-13 22:54:23)
La trompe coincée dans son coude en pleine déprime, Ticott et son plus si nouveau neurone broient du noir devant une coupe de la cuvée Jack Dan'zouk.
Quand elle entend Buck un inconnu demander une bouteille de la cuvée Struleone, elle sourcille et redresse à peine la tête juste pour lui souffler:
Y'en a plus depuis des années de c'ui là. Mais je vous déconseille le Piouk Dubluxtrier, il est immonde.
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Alors que le tavernier lance un regard étrange à Buck, Dona Ticott une zoukette derrière lui marmonne quelque chose. Il se retourne, avise la coupe pétillante devant elle, puis demande la même chose. Verre en main, il s'approche d'elle en louvoyant et s'installe à sa table. Il lance d'une voix suave :
Et bien très chère dam'oazelle, est-ce l'absence de champo Struleone qui vous met dans cet état ?
Dernière modification par Buck (2963-08-13 22:53:53)
Ticott s'affale d'autant plus sur la table quand Buck l'inconnu s'assied près d'elle. Elle pense un instant à l'envoyer balader mais n'est-ce pas typiquement ce genre de comportement qui a provoqué le désarroi dans lequel elle se trouve?
Au bord des larmes, Ticott redresse la tête. Son regard se pose d'abord sur la coupe tenue par Buck et en une seconde, elle reconnait la cuvée JDZ. Ouf, au moins quelqu'un que je ne vais pas empoisonner! se dit-elle.
Proche d'éclater en sanglots, elle lève alors les yeux sur Buck et secoue la tête en reniflant:
Non...
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Le visage de Buck marque un temps de surprise avant de s'illuminer.
Ciel, vous ici, vous m'en voyez ravi. Je me disais bien que cette chevelure améthyste ne m'était pas inconnue...
Malgré les yeux rougis par l'émotion et le visage grimaçant, la belle Ticott gardait tout son charme. Il se rapproche encore un peu plus d'elle, s'accoude sur la table et, d'un air de confidence, lui demande : Dona Ticott
Que se passe-t-il ma douce ?
« Ciel, vous ici... Je me disais bien que cette chevelure améthyste ne m'était pas inconnue... »
Ticott sourcille quand Buck prononce ces quelques mots mais ses interrogations sont de courte durée: il l'a surement reconnue à cause des affiches du Piouk Dubluxtrier qui sont distribuées en ville. C'est une catastrophe!
Elle inspire profondément puis redresse la tête un peu plus fièrement, prête à se justifier sur les bruits qui courent quant à la qualité de sa production, mais le voilà qui se rapproche.
« Que se passe-t-il ma douce ? »
Ticott marque un nouveau temps d'arrêt, le temps que la chair de pioupiouk qui parcourt ses bras cesse, et dévisage le bouzouk intriguée par son regard doux et espiègle à la fois.
Elle hésite. Raconter sa vie à un inconnu, ce n'est pas son genre. Sauf si cela peut l'aider à obtenir Justice. Mais quelle justice trouver dans un bar si ce n'est celle qui est au fond de son verre?
Ticott lance à Buck un petit sourire gêné puis fait un signe au gérant.
Ce n'est pas important.
L'acolyte de Perzival dépose deux glaces aux lobriks à leur table et une autre bouteille de champagne JDZ.
Je m'appelle Ticott. dit-elle en poussant une des deux glaces devant Buck et en lui tendant une cuillère.
Déconnecté
Quand la zoukette refuse à nouveau de se confier à lui, Buck s'écarte poliment. Elle le fera bien assez tôt. Il porte le verre à ses lèvres pour goûter au breuvage, qui lui chatouille la langue. « Hum, ça ne vaut pas la cuvée spéciale de Henry... » Alors qu'il se languit de son frère Struleone, le tavernier apporte ZIG coupes de glace... aux lobriks.
Je vois qu'ici ou ailleurs, les goûts ne changent pas.
Il accepte la cuillère avec politesse et lance un regard malicieux à Dona Ticott quand elle se présente à lui. « Comment ? Ce Buck-là ne connaît même pas une beauté pareille ? »
Ravi de vous rencontrer, je m'appelle Buck.
Il observe KAH lobrik s'agiter dans sa cuillère pleine de crème glacée, puis le gobe délicatement.
Et sinon, que faites-vous dans la vie ? Avec votre magnifique visage, vous devez être KAH star de la tévé ?
La gorge sèche, la flasque vide et l'envie de se détendre ont conduit Henry, nouveau Don Stocrate, à la Taverne de Perzival. Il entre d'un pas décidé et il est immédiatement interloqué de voir Dona Ticott et Buck qui discutent autour d'une glace aux lobriks.
Bien que n'ayant plus le neurone de Dona Ticott en lui, Henry tilte en les voyant. Il sait qu'il s'est passé quelque chose entre les zigs, il sait que ça a été fort et intense. Toutefois, il ne reconnaît pas vraiment son patron, et il sait que Ticott n'a pas son vrai neurone. Intrigué, il décide de se mettre dans un coin pour observer ce qui se passe. Il se dirige vers une table d'un pas feutré et s'installe en faisant signe au tavernier de s'approcher pour qu'il puisse passer commande en parlant à voix basse.
- Une bouteille de votre meilleure cuvée. Si possible une cuvée JFS, j'y mettrai le prix fort si besoin. Et mettez moi sto coupes, on ne sait jamais.
Si Ticott est déçue que Buck s'écarte, elle ne le montre pas et plonge dans sa propre glace, profitant du recul pour le détailler discrètement du regard. Elle manque de se mordre la langue quand il décline son identité et un flot de questions la submerge. Heureusement, sa crème glacée lui permet de prendre le temps nécessaire à retrouver ses esprits et leur conversation.
UMoi, star de tévé, grand Schnibble non! Je dirige un vignoble et je suis...je suis... Nulle!
Une ombre passe près d'eux. Elle frissonne à nouveau. Ou bien est-ce la glace qui se rappelle à elle?
Elle se perd un instant dans le regard du bouzouk avant de poursuivre puis grimace:
Je fais du très mauvais champagne, pour tout vous avouer...
Elle hausse les épaules pour appuyer sur l'effet irrévocable de la chose puis elle se cache derrière une autre cuillerée de glace pour pouvoir rester silencieuse. Le silence est de Schnibble, parait-il et il lui permet de laisser son regard planer sur Buck jusqu'à ce qu'un serveur naviguant entre les tables ne bouscule la leur. Dans la manoeuvre, il manque de renverser son plateau et une bouteille dont l'étiquette ne laisse aucun doute quant au contenu. Elle pointe la bouteille du doigt, oubliant momentanément l'adage l'intimant à se taire.
Ça, vous voyez? Cette bouteille a la réputation de contenir le meilleur champagne que la colline ait connu. Ça c'est le produit que j'aurais aimé proposer aux connaisseurs!
Elle se rapproche un peu du bouzouk pour chuchoter la suite:
Je me demande qui a commandé ça, c'est une bouteille hors de prix voire introuvable!
Toujours proche de Buck, elle marque un nouveau silence puis glisse une série de question à son tour.
Et vous? B-u-ck...Elle appuie volontairement sur chacune des syllabes du prénom prononcé. Que faites vous dans la vie? Vous êtes de retour de quête? La Cuvée du Domaine Struleone, Schnibble, vous savez depuis combien de temps elle n'est plus produite?
Déconnecté
Buck se laisse observer avec un léger sourire. Les regards qu'elle lui lance lui picotent la peau. Quand la zoukette commence enfin à se confier, il abandonne sa glace pour se plonger dans les yeux de Dona Ticott.
Du très mauvais champagne ? Vraiment ? Il est vrai que cet art n'est pas ouvert à tout le monde, mais il faut avant tout pratiquer et... peut-être qu'il manque KAH ou ZIG ingrédients dans la cuve.
Lorsque le serveur virevolte dans la salle, et qu'elle lui montre la bouteille, il l'observe curieusement. « Meilleur champagne ? Rien ne peux égaler le nôtre. » Il reprend une gorgée de sa coupe, et se reconcentre sur la belle, refusant de chercher des yeux la personne ayant commandé cette cuvée. Après tout, c'est Ticott qu'il essaie de séduire, pas le richissime derrière eux. ... ... Ou du moins, pas encore.
Et vous? B-u-ck... Que faites vous dans la vie? Vous êtes de retour de quête? La Cuvée du Domaine Struleone, Schnibble, vous savez depuis combien de temps elle n'est plus produite?
Il est surpris par cette question, car il n'a pas réfléchi à quoi répondre. Que faisait ce Buck-là déjà ? Il tente de se remémorer les épisodes étranges de l'année dernière.
Hmm, c'est une bonne question. Je suis patron d'entreprise moi aussi. Je n'étais pas en quête, mais peut-être espérais-je que cette taverne ait encore KAH bouteille quelque part... Il semblerait qu'il faille plutôt se rapprocher des riches collectionneurs de la ville. En connaissez-vous KAH ?
Au moment où il pose sa question, sa main touche délicatement le bras de Ticott. Si ce collectionneur possède KAH bouteille très ancienne du Domaine Struleone, il y a de fortes chances qu'il possède également l'objet perdu de l'autre Buck. Il a beau être un séducteur né, il n'oublie pas ses objectifs pour autant.
Après avoir ENFIN réalisé son discours d'investiture, Karambo s'était installée dans son nouveau bureau. Elle avait mis au rebut les vestiges du mandat MLBiste précédent, puis avait entrepris de faire le tour des comptes. Entre zig oh et sto ah, elle avait distillé quelques dons avec par ici et Monique (la collègue de Martine). Satisfaite de son kahier jour de mandat, elle s'était auto congratulée puis avais considéré qu'elle méritait bien une petite soirée pour elle. Elle s'était alors rendue à l'unique adresse qu'elle pouvait envisager. Quelle ne fut pas sa surprise de remarquer, alors que Sabrina lui proposait une toute autre table, que Henry avait eu la même idée qu'elle. Modifiant sa trajectoire, elle laissa Sabrina filer, sans même la prévenir, et s'approcha de son cher ex époux. Il semblait concentré sur un point précis. Karambo suivit son regard, et comprit rapidement qu'il était en plein espionnage. Elle s'installa alors rapidement en face de lui, tout en chuchotant.
" Oh, je vois qu'on est bien occupé par ici. Est-ce que je peux t'aider ? "
C'était une question purement rhétorique, bien sûr. Car un éclat malicieux brillait déjà dans les prunelles de Karambo, qui jeta alors un regard appuyé vers la table où se trouvaient Ticott et Buck. Puis elle chercha le regard de Henry. Elle voulait être certaine d'avoir toute son attention, pour lui révéler une information capitale.
" Ticott n'avait pas l'air bien tout à l'heure. A fleur de peau. Que se passe t'il entre vous ? Elle a l'air ... différente. "
Déconnecté
Ticott s'apprête à rebondir sur le fait que Buck soit patron d'entreprise quand une nouvelle ombre lançant des flashs de lumière rose et bleue passe près d'eux. Hé bien, c'est devenu le point de rencontre d'adopte un zouk, ici? se dit-elle alors que la curiosité lui fait amorcer un mouvement pour se retourner et lancer un coup d'oeil circulaire dans la salle.
Mais Buck touche son bras.
Loin de la ramener sur terre, ce geste lui fait oublier la totalité des bouzouks qui pourraient être présents dans la Taverne. Au ralenti, elle baisse les yeux sur la main du bouzouk et les relève tout aussi lentement pour plonger dans le regard brulant qui la toise.
Kah collectionneur? Je n'en connais pas mais c'est facile à trouver si vous voulez tant dégoter cette cuvée!
Sans dégager son bras, elle utilise son autre main pour s'emparer de son itobozon et pianote avec dextérité à l'aide de son pouce. Elle observe le résultat qui lui est proposé et fait glisser l'appareil sur la table, entre les coupes de champagne et celles de crème glacée pour permettre à Buck de le consulter.
Ici sont répertoriés les plus grandes collectionneurs et les plus grandes fortunes. Je suppose que les zig sont liés et puis ça vous offre un plus grand choix!
La chaleur qui émane de la main de Buck se diffuse dans tout son bras. Ticott pose un regard doux sur le bouzouk en reculant de quelques centimètres pour s'en échapper et reprendre tant sa place initiale qu'une autre cuillerée de glace, le laissant à la lecture.
Pendant quelques secondes, elle fait tournoyer la cuillère vide devant ses yeux, puis se risque à déranger son compagnon de table, espérant qu'il a eu le temps de trouver l'information qu'il cherchait.
C'est quoi, le nom de ton entreprise? Je ne suis pas en ville depuis très longtemps mais je la connais peut-être? Oh... Désolée... Maintenant qu'on a partagé ma glace préférée, on peut se dire tu! Ça ne te dérange pas?
Déconnecté
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