*Savourant un immense cigare, assis bien confortablement au fond de son grand fauteuil en cuir de cromomouth, il laisse la porte de son bureau ouverte.*
Bene tutti... Si l'un de vous a une question à poser, une réaction à partager ou une demande à faire, vous pouvez venir ici. Si vous m'intéressez, je vous inviterai à prendre une coupe de champagne 1000 ans d'âge, si vous me dérangez, je vous botte la trompe, capisci ?
Bene... Bene... A vous la parole.
Des raviolis à la sauce de Pioupiouks
Dernière modification par boubouch (2955-07-31 21:25:15)
Salut ça va ?
Salut le nanti!
Nous et les camarades, on était en train de se faire un raki l'autre soir, tranquiles, en buvant une biero, comme d'hab quoi! Et donc on attendait que les crocomouths reviennent, c'est parfois long. Donc tu vois, le Don, là on s'est dit qu'on s'en referait bien un p'tit, un raki hein! pas un crocomouth, l'temps qu'ils rentre.
Puis on a compté les crocomouths. Z'étaient bien tous là, enfin presque! Parce qu'à moi on me ne là fait pas! Chais bien qui y'en à toujours à baguenauder le soir comme ça, à la recherche d'un pioukpiouk voir d'un enfant à se mettre sous la dent.
Donc j'ai cherché cherché, j'ai fais tout le tour de Vlurxtrznbnaxl, et pis j'ai pas trouvé crocomouth 14 et son frère jumeau crocomouth 14 bis. Bref, disparus! Volatilisés! Envolés!
En fait, je crois bien qu'ai trouvé quelque chose quand même ce soir là....comme une odeur de crocomouth pas loin de ta villa.... Tu sais à moi faut pas me la faire! Le crocomouth je le repère à des kilometre à la ronde!
Donc, pour en venir aux faits.....
Ton fauteuil là, sur lequelle tu es assis.... je ne l'ai jamais vu autrefois....c'est louche tout ça....
*Hochant simplement la tête à la question de Tekilla, le Don est bien plus interpellé par le passage de Zorba. Il se redresse, posant les deux coudes sur le bureau, mains dans la trompe, il sourit très largement.*
Tiens ! Zorba... Quelle bonne surprise de te voir ici. Les deux trompes balafrées ne m'ont même pas prévenu qu'un invité de marque allait passer.
*Il claque des doigts indiquant à son mazordome Sergiouk de donner une chaise au révolutionnaire.*
Assis-toi.
Bon ! Tu es venu me parler de crocomouth alors ? Disparu me dis-tu ? Oh... Quelle tristesse. Moi aussi j'ai perdu un crocomouth un jour.
Il était beau, il était puissant, je le gardais dans mon bassin privé derrière la villa, une brave bête. Blouzp qu'il s'appelait.
Alors que je venais lui apporter son grazouk matinal, il n'était plus là... Pendant une semaine j'ai demandé à mes gars de ratisser Vlurxtrznbnaxl pour le retrouver. Un échec.
*Il tire une grosse latte de son cigare et expire, blasé.*
Cependant, quelque chose m'a semblé étonnant. Le jour où Blouzp a disparu, la seule chose que j'ai trouvé autour du bassin est une vieille bombe de peinture rouge... Comme celles que tes nabots utilisent.
Étrange, mh ?
*Il tapote la cendre son cigare avant de se recoller au fond de son fauteuil et de caresser l'accoudoir.*
Beau fauteuil, n'est ce pas ? Il m'a coûté une trompe à faire produire. Mais ce n'est pas un des tiens, en tout cas il ne serait pas arrivé ici par ma faute. Je l'ai acheté à un type, grand, orange, veste rouge... Un peu musclé. Un bon gars.
Arrivant dans le long couloir, impassible, marmonnant seulement quelques mots pour lui-même à chaque garde-trompe qu'il croise, se présente finalement devant la porte de Don Struleone et en passe tout juste le pallier, avant de s'arrêter et de le saluer. Enonce à voix basse une courte prière puis prend la parole.
Hmpf...Bonsoir, Don. Vous semblez en bonne forme.
Sort une Bible et la tapote de son autre main
Il y a quelques...petites choses, dira-t-on, qui m'amènent ici et dont j'ai à m'entretenir avec vous...
Dernière modification par Leela (2954-06-27 12:07:58)
*Le Parrain incline la tête vers Fuyuzora et l'invite à s'installer à son tour.*
Parles donc, prêtre, je suis à ton écoute. Sauf si tu penses qu'un entretien privé serait plus judicieux.
Dernière modification par Don Struleone (2954-03-22 23:36:46)
Refuse d'un signe de la main l'invitation à s'asseoir et feuillette rapidement la Bible
Hmpf, non, merci, cela me parait suffisamment privé ici. Et puis, le Saint Schnibble entend tout, de toutes manières.
S'arrête de feuilleter et lève à nouveau le regard
...Don...vous êtes un croyant. Vous montrez une étincelle de Foi que le Saint Schnibble observe attentivement, car le Schnibble voit tout, le Schnibble sait tout. Je vous ai vu quelques fois lors des sermons publics et même à mon baptême, Il l'a vu lui aussi.
Pourtant, "tel un pioupiouk doté d'une seule aile, le bouzouk à la Foi incomplète ne saurait s'élever bien haut." disait Saint Anonyme. A juste titre, malheureusement.
La plupart de vos fidèles ne montrent pas votre entrain et l'écho de leur Foi n'arrive pas jusqu'au Roc tout puissant. Sans compter votre main mise sur ce réseau empestant le zlot et les vices, le Marché Noir, perversion de l'échange honnête et lieu de rupture des interdits. Sans parler de ce partenariat douteux que le Saint Schnibble ne saurait voir d'un bon œil. Vous êtes à l'orée d'un chemin de Foi qui ne peut que vous anoblir et grandir votre âme et toutes celles sous votre direction! Mais il reste beaucoup à faire si vous comptez vous y aventurer.
Referme la Bible du Schnibble et la pose sur un meuble, non loin
A titre personnel, je vous apprécie, Don. Je pense que vous pouvez faire quelque chose de grand pour la ville. En bien comme en mal. C'est pourquoi je suis venu. Celui qui prie d'une main et blasphème de l'autre finit rarement du côté émeraude de la Force. Au grand dam de tous et du puissant Schnibble.
Tapote une dernière fois sur la Bible déposée, salue le Don et se retourne...puis brusquement s'arrête
J'oubliais...Pensez au chèque tobozonné adressé au Trou du Culte. Faute de séparer le bouzouk de ses zlots, la charité envers la Secte le protège au moins partiellement et temporairement de ses démons.
Zamen, Don. Ne cédez pas à la corruption de l'âme.
Joignant la parole à une prière, s'en retourne vers la Secte
Dernière modification par Fuyuzora (2954-03-23 00:01:47)
*Le Don écoutait attentivement le prêtre, il se lève lorsque celui-ci prend le chemin de la sortie, visiblement très concerné par les dires de ce dernier.*
Je passerai à la Sainte Chapelle déposer mon offrande mais je sollicite aussi une confession. Je vous ferai part de ma venue, que vous puissiez vous préparer.
*Il tire sur un de ces tiroirs et sort un éclat de Schnibble qu'il embrasse avec force.*
Zamen, prêtre Fuyuzora, bon retour à vous.
*Toque à la porte du Don mais personne ne réponds alors j'ouvre la porte et je vois le siège du don complètement vide *
Tiens, je vais m'y installer 2 minutes pour pouvoir me mettre dans la trompe du Don. Il parait que le siège est en cuir de crocomouth alors j'essaye...
* ouvre la porte du Don *
Parait qu'il y a du champagne 1000 ans ici ?
[Le Don observe les arrivants et sourit.]
Installez vous donc, souhaitez vous goûter la nouvelle cuvée ?
avec grand plaisir!
*Sursaute à l'arrivée du Don*
Pardon monsieur Struleone, je ne voulais pas prendre votre place... Oui je veux bien un verre de champagne svp..
Dernière modification par melon (2954-04-03 12:31:09)
[Souriant, il demande à Sergiouk de servir deux coupes.]
- Profitez en donc, il est excellent.
* glou glou glou *
délicieux ! certe , mais un petit gout de trop peu quand meme
* c'est pas une coupe c'est une cuillere a café?? *
Chère Don j'ai entendu parlé de votre famille ( que on bien ce qui est normale), j'ai un grand respect pour vous et votre famille. C'est la que j'aimerais intervenir car je connais plutôt bien le fonctionnement d'une famille (organisation, la pieuvre) et je pense être à la hauteur de vos attentes mais bien sure c'est à vous d'en juger !!!
Dans l'attente d'une réponse, Don, je vous fais mes salutations les plus respectueuse et vous embrasse la main comme il se doit auprès d'un parrain.
Skila
Le fait que je sois nouveau ne veux pas dire que je n'ai pas d’expérience dans le milieu des négociations, des finances ou même de mise sous pression. Car bien au contraire je peux me montrer très persuasif !!!
Après comme je l'ai dis dans le message précèdent c'est à vous d'en juger cher Don Struleone.
Bien à vous, Sikila le manipulateur ^^
*fini le verre de champagne gentiment offert*
On ma dit que vous recherchiez des gens de confiance, je suis votre homme cher Don.
[La motivation de certains intéressent grandement le Don qui leur sourit.]
Si vous souhaitez avoir quelconque rapport avec la Famille, veuillez m'adresser un courrier en bonne et due forme.
Avec vos motivations, vos ambitions et pourquoi la Famille Struleone et pas une autre faction Vlurxtrznbnaxlienne.
Le vent soufflait sur la ville de Vlurxtrznbnaxl, les trompes rétressiçaient tandis que la pluie radioactive s'abattait sur les quelques Bouzouks qui s'étaient aventurés dehors. Une villa trônait fièrement sur une des collines entourant la ville, elle semblait veiller sur elle de son piédestal. Une canette roula non loin de là, sous l'impulsion d'un coup de pied fatigué et éreinté. Les mains dans les poches, le regard dans les chaussures, le dos courbé comme si toute la fainéantise du monde s'était agrippée à ces frêles épaules, le jeune Neter avançait dans la rue, perdu dans ses pensées. Il venait de se faire virer de l'école pour avoir tenté de rattrapé sa mauvaise note au controuille n°2 en usant de ses charmes sur la très laide professeur, peut être était-ce mieux ainsi, qui sait ce de quoi le laideron était capable... Sans un struls, sans avenir, il pensait au futur sombre qui l'attendait. En pleine réflexion dépressive, le jeune Bouzouks se heurta soudainement à un mur aussi noir que le ciel d'aujourd'hui. Ses fesses sur le bitume, le choc semblait l'avoir réveillé.
Regarde ou tu vas morveux...
Après avoir retrouvé ses esprits, le jeune Neter leva la tête et s’aperçut que ce qu'il avait prix pour un mur était en faite un Bouzouks costaud, vêtu d'un magnifique costard cravate noir et de lunettes assorties. Les vieilles guenilles qu'arborait le petit Bouzouks faisaient pâles figure face à autant de classe. Il se remit sur ses deux pieds et engagea la conversation.
Bonjour Monsieur ! Excusez ma maladresse, j'espère que je ne vous ai pas fait trop mal...
Aucune réponse, aucune mimique, le colosse était resté impassible.
Dites moi mon brave, quel jolie costume vous avez ! Je suis sûre qu'avec ça, j'aurais la classe, un peux old school, mais efficace !
Devant cette remarque stylistique le molosse n'esquissa même pas un semblant d'intérêt.
Vas voir à côté au lieu de me les briser gamin...
Neter le fixa pendant quelques secondes, dépassa le Bouzouks de quelques pas hésitant, il se trouva alors devant un portail immense, les barreaux étincelant supportaient une plaque avec écris dessus "Famille Struleone". Son regard se posa au-delà de cet entrée atypique, sur une villa resplendissante, tout droit sortie du film ScarfZouk. Le jeune Neter admirait cette oeuvre architecturale, il en était bouche bée. Une voix le sorti de ses rêves.
Hé toi, arrête de baver devant le portail, le boss aime pas trop ça.
A côté du portail, il y avait une porte en fer, pour les accès restreint, un Bouzouks habillait avec les mêmes vêtement que le colosse avait sorti le bout de sa trompe, il était tout de même moins imposant, un gabarit normal s'approchant de celui du jeune Bouzouk.
Tu m'as l'air bien niais toi... Tu dois être perdu mon pov'. Si tu cherches un petit boulot, le boss reçoit quelques Bouzouks tout les jours, tu peux venir, on a besoin de main d'oeuvre.
Ah... J'aurais un costume aussi ??
Haha, une classe pareille mon gars, faut la mériter, aller viens, suis moi.
Neter s'engouffra dans cette porte, sans aucune hésitation, l'idée d'un jour pouvoir porter un costard aussi beau le transcendait. Il dû mettre un sac sur la tête pour qu'il ne puisse rien voir de la villa. Le jeune Bouzouk bouillonnait, il était impatient de revêtir ses nouvelles fringues, il imaginait déjà toutes les zoukettes qu'il allait emballait, et la classe qu'il allait avoir, cette villa était une bénédiction sur le chemin de son calvaire. Une porte s'ouvrit, on le poussa à l'intérieur, elle se referma aussitôt dans un grand fracas. Une voix roque, usée et avec un léger accent qui était inconnu à Neter l'interpella.
Vous pouvez enlever le sac...
Le Bouzouk s'exécuta, face à lui, un vieux Bouzouk assis sur un magnifique trône, à ses côtés, deux colosses encore plus impressionnant que la brute de dehors. Ce mystérieux Bouzouk avait énormément de classe, les cheveux gris, façonnés par le temps étaient coiffés en arrière, un cigare dépassait des lèvres du Bouzouk, une rose s'échappait discrètement de la poche du costume. Neter contempla le plus beau costume qu'il ne lui avait été donné de voir.
Bonjour Mr, très belle maison que vous avez, mais ce que j'aime le plus, c'est votre costume, terriblement classe. Vous en auriez un pour moi ?
[Fumant avec plaisir son gros cigare, le Parrain est interpellé par le jeune bouzouk face à lui, il hausse un sourcil et sourit.]
Si c'est du boulot que tu cherches, gamin, il va falloir m'envoyer tes motivations par missive. Visiblement, t'as l'air d'être quelqu'un de dynamique, c'est déjà une bonne chose.
Discrètement, le petit Peppino Di Boille s'immisce dans le Bureau du Don, sans au préalable avoir marmonne quelques mots à l'attention du Saint Schnibble et avoir essuyé ses petits souliers.
En s'approchant du Bureau Peppino s'aperçoit de son invisibilité manifeste du à sa petite taille puisque le Don continue ses affaires.
Se présentant devant le bureau, puis reculant de quelques pas, le petit Peppino se racle la gorge afin de se signaler au boss.
Don, tu m'connais. J'fais pas dans la dentelle. J'cire des pompes, j'coupe des pieds et je ramasse les souliers pour les revendre ou les porter.
Bah figure toi que j'ai envie de cirer les pompes ET la trompe d'un Journaleux un peu trop bavard qui ose me citer dans son Torchon.
Alors tu ne serais pas d'accord pour que je sorte de l'Anonymat pour lui planter une lame dans sa trompe? Dis Le Don, j'sais que je suis jeunot, tu m'as déjà dit que j'étais pas prêt pour me mettre en danger inutilement, mais le Journaleux est gênant... J'peux plus faire mon p'tit business tranquillement maintenant...
Le petit Peppino sait qu'il n'est pas de taille à lutter contre un Bouzouk Massif. Lui est plutôt chétif, mais tellement impatient de faire ses preuves auprès du "Papa".
Il attend alors le discours du Don, tout en s'agitant devant le bureau.
Chi non sa far i fatti suoi, Peggio sa far quei d'altri.
Déconnecté
[Le Don fait de grands yeux à l'évocation des méthodes violentes de son Négociateur.]
Peppino ! Les murs ont des oreilles ici, il y a déjà assez de preuves pour que la bouzopolice te mette au trou dans les isoloirs de l'asile ! Un peu de discrétion, bon sang. Il aura son compte, ne t'inquiète pas.
**Pincemi arrive devant la grille de la Villa. Elle tient une bouteille de champo. Elle regarde le gorille à l'entrée, lui fait un sourire cajoleur et lui demande**
Bonjour !
Pourrais-tu, s'il te plaît, dire au Don que Pincemi est là, et qu'elle demande s'il veut bien la recevoir ?
Dis-lui que j'ai avec moi une bouteille de champo que j'ai moi-même mis en bouteille, après m'être baignée nue dedans...
[Par la fenêtre, le Don fait signe au gus à trompe balafrée de laisser la jeune bouzoukette entrer.]
S'il vous plait, mademoiselle, veuillez entrer. En haut des escaliers, premier étage.
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