*Lineo était seul dans cette grande pièce aménagée de manière à garder les Bouzouks en détention.
" Dans cette sale seront en attente de jugement tout les Bouzouks accusés
Ils pourront ici recevoir la visite de leurs proches seulement trois fois par jours.
Les repas sont médiocres et l'hygiène laisse quelque peu à désirer, mais cet endroit ne doit pas donner envie d'être visité. "
*Soudain le Don arriva menotté face à Lineo, son regard resta confiant.
" Tu peux me regarder avec ton air condescendant Don, mais sache qu'enfermé ici, tes magouilles n'ont plus lieu, ta famille, sans toi, va partir en lambeau !
D'ici demain ton procès commence, tu seras jugé et inculpé dès samedi de production illicite de Gnoulze et pour blanchiment de struls.
Crois moi, tu vas pouvoir t'habituer à cet endroit un moment... "
*Le Don gardant le silence Lineo se leva et quitta la pièce.
" Bonne vacance Don Struleone. "
Dernière modification par Lineo (2954-04-24 20:49:20)
[Un cigare, c'est tout ce qui lui restait pour se détendre. Les bouzopoliciers lui ont laissé quelques allumettes, au moins ça... Bref, Don Struleone était là, enfermé dans cet isoloir, il pose son front entre deux barreaux et observe l'extérieur, son cigare en bouche. Etrange mais vrai, il lâche un sourire d'ironie.]
"Tu ne perds rien pour attendre... Lineo... Oooooh non."
[Puis attend qu'un visiteur pointe le bout de sa trompe.]
**Pincemi arrive d'un pas rapide et assuré. Elle fulmine. Comment ont-ils osé ?! Un bouzouk de sa prestance, de sa condition et, il fallait bien le dire, de son âge mérite un infini respect. Et ce gros balourd, que fait-il ? Il le met en cage ? Et pour quels motifs, non mais on se le demande... L'expression de son visage change et s'adoucit alors qu'elle approche du Don. Elle lui sourit, malgré sa colère.**
Oh cher Don... Comment a-t-il osé... Vous faire ça... quelle honte...
C'est un scandale...
Je suis venue dès que j'ai su. Il m'est intolérable de vous voir ainsi enfermé.
On ne parle que de cela en ville !! ça et la transformation de TodZ en un abominable monstre géant qui parcourt la ville, détruisant tout sur son passage.
Je prie le Schnibble que ses pas ne le mènent pas ici, et pour que votre sécurité soit garantie. Mais que pouvons-nous espérer de la garde en toc d'un chevalier en mousse...
Je suis tellement en colère **elle referme sa main sur un des barreaux**
Ah cher Don, si je pouvais seulement vous aider. Puis-je faire quelque chose pour vous ?
Vous savez que vous avez toute mon amitié, et que je vous suis dévouée.
Tout ce que vous voudrez, vous n'avez qu'à demander...
[Le Don sourit en voyant sa première visiteuse, il essaye de la rassurer en restant joyeux et serein.]
C'est un plaisir de vous ici, ma très chère. Je vous remercie de votre dévouement, c'est si appréciable... Malheureusement il n'y a rien à faire pour le moment à part attendre.
Mon avocat ne devrait pas tarder.
[Il semble lever un sourcil à l'évocation de TodZ]
Un monstre ? Incontrôlable ? Faites très attention à vous en sortant...
*entre dans l'isoloir vêtu d'un de ses plus beau costume il ne regarde personne et file sans demander l'autorisation à qui que ce soit vers Don Struleone *
Don, le mémoire en défense est en préparation. Ne vous inquiétez pas vous allez sortir d'ici au plus vite. Nous ne laisserons aucune chance à la partie adverse.
*Sikila se rend à l'isoloir, craignant de ne pas être très bien accueilli*
*D'une voix douce*
Don, je sais bien que ce n'est pas moi que vous vous attendiez à voir, mais j'ai senti le besoin de voir comment vous alliez !!!
Je suis qu'une petite recrue mais je connais l'importance des miens.
**Pincemi sourit de voir le Don s'inquiéter pour elle alors qu'il est dans cette situation dramatique. Elle glisse sa trompe entre les barreau pour déposer un baiser sur sa joue**
Je serai très prudente. Ne vous en faites pas pour moi, préoccupez-vous seulement de vous. Et sortez vite de là.
Lorsque tout ceci sera fini, je vous inviterai, si vous le permettez, au Ristorante...
**Un dernier sourire, un regard tendre, Pincemi s'en va, il y a trop de monde ici**
[Après avoir adressé un hochement de tête aimable à Sikila, le Don tend la main vers son avocat à travers les barreaux pour la serrer cordialement.]
Bene. Je te fais confiance sur ce coup là. Jamais je n'abandonnerai la Famille pour une broutille judiciaire.
[Le baiser de Pincemi le fait légèrement rougir, il répond par un clin d'œil, la laissant partir tranquillement.]
GROUAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
** Une partie du batiment se fissure au moment du cris démoniaque **
*Sikila l'a bien compris ici n'est pas ça place*
Bien Don je me retire, mes respects.
[Apercevant le monstre non loin, le Don fait de grands yeux ronds.]
Ah. Dois-je considéré cela comme une visite ? Je ne pense guère... Cela ne sent pas bon... Pas bon du tout.
[Ne voyant pas d'autres alternatives, le Don récupère son porte-struls pour se saisir d'un billet de 100 qu'il plie en forme d’aéronef avant de le balancer le plus loin possible vers l'extérieur... Peut être dans l'espoir de faire reculer le TodZ mutant ?
**Alors qu'elle sortait de son entrevue avec le Don, Pincemi entendit les murs craquer. Elle sentit le sol trembler. Un grondement sourd se fit entendre. Une masse humide et gluante lui tomba sur la tête, comme si on lui avait balancé un seau d'eau.**
Oh mais ça puuuuuuue !
**Elle leva la tête et fut soudain saisie de terreur. Un énoooorme streum se trainait dans la ville. TodZ !!
Ce fut alors au tour de la colère de l'envahir**
Ah mais te voilà gros naze ! Mais qu'est-ce que t'as encore foutu comme connerie ? T'en as pas marre ???
T'as vu ton allure ? T'étais djà pas bien joli, mais là !! Pis tu schlingues, ma parole !
Alors tu vas me faire quoi aujourd'hui ? Tu vas m'écrabouiller sous ton gros pied velukipu comme on marche dans un excrément de croco mou ?
Asy' arrive devant le bâtiment fissuré, puis ouvre les portes de cette grande salle. Il y découvre de multiples cellules toutes plus déprimante les unes que les autres.
Il se présente à l'accueil.
Jeune bouzopolicier : Monsieur je vais devoir vous fouiller
- Me fouiller? Vous plaisantez j'espère..
-Je n..
- Conduisez-moi.
Le jeune bouzopolicier ne sait quoi rétorquer, et s'avance en direction de la cellule du Don.
Asy' s'engage dans la geôle, la porte se referme violemment derrière lui, Un rictus s'affiche sur le visage de ce dernier..
Toujours aussi agréable celui-la..
Observe discrètement la cellule
Lugubre. Lugubre mais plutôt reposant je trouve!
J'ai appris ce qu'il vous étiez arrivé. C'est moche, provisoire, mais moche.
Le Don n'a pas l'air touché moralement, au contraire, une certaine force se dégage du personnage
Vous avez l'air en forme, mais j'ai bien l'impression qu'il vous manque quelque chose..
Asy' mets la main à sa poche et en ressort une boîte de cigares
Vos préférés.
J'ai pas mal de chose à faire dehors, je voulais voir comment vous alliez.. Vous avez du monde derrière vous, je pense que vous n"avez pas à vous alarmer, c'est contrariant mais momentané..
[Le Don accueille chaleureusement le jeune bouzouk à lunettes, il prend la boite à cigare puis lui fait à lui aussi un clin d'œil.]
Merci bien, mon jeune ami. Je me demandais bien comment tenir tout ce temps avec un seul et unique cigare. J'essaye de garder le moral, il faut bien que je prouve que toutes ces inepties n'ont aucun sens.
Faites bonne route et méfiez vous du Monstre.
*Tobec ayant apris la nouvelle, se rendit devant la cellule froide et humide. Il planta ses yeux dans ceux du Don un long moment sans rien dire. Un petit sourire en coin, il fit demi tour pour se raprocher de la sortie. Il s'arreta de nouveau, tourna la tête sur un côté et déclara...
Ca au moins, vous ne l'avez pas volé cher Don...
Sur ces mots, il s'en alla.
Leela avait entendu les nouvelles, et malgré les liens du sang, elle était tirallée par ses affinités envers le maire actuel. Son amour pour son pere était certes indestructible, mais elle n'avait pas vraiment eu le choix. Les liens du sang sont là, qu'importe si on les veux vraiment. Elle décidé tout de meme de rejoindre son pere à son cachot, afin d'avoir une derniere conversation avant son inculpation.
Je t'avais prevenu papa... Madre t'avait prevenu lorsqu'elle est partie.
la roue tourne toujours.
Le don compris en un haussement de sourcil ou sa fille voulait en venir. Il savait qu'il lui avait inculquer l'art de l'auto preservation, et qu'aujourd'hui, elle en userait. Il avait perdu sa liberté, en même temps que sa fille, et ne pouvait pas l'en blamer, tout ceci : C'etait LUI qui lui avait appris.
Tu sais bien que je t'aime... mais je ne tomberais pas pour toi.
Leela repprit son soufle, essuya la larme qui coulait sur sa joue, embrassa son pere a travers les barreaux et rejoins Linéo pres de l'entrée.
Fais ce que bon te semble, je ne m'y oposerais pas.
Sans lui, la famille : C'est fini pour moi.
Linéo lui tendit le bras, elle s'engouffra contre son épaule, enfournant sa trompe dans le reconfort qu'il lui apportait en esquissant un clin d'oeil à son pere en guise d'adieu.
[Autant le Don conservait un sourire narquois, autant la visite de sa fille l'a littéralement abattu. S'il s'attendait à ça... La regardant s'en aller avec un air plus qu'attristé, il vient s'adosser contre un mur avant de se laisser glisser au sol et taper l'arrière de son crâne machinalement contre les briques froides.]
Madre De JF Sebastiano... La chair de ma chair...
*Lineo demanda à Leela de l'attendre à la sortie de l'isoloir.
" Je t'ai toujours respecté Don Struleone et tu penses aujourd'hui, maintenant, savoir pourquoi. Leela est ta fille mais tu restes en travers de mes convictions, ta famille entière tombera bientôt.
J'espère néanmoins t'apporter le réconfort en te disant que ta fille sera traiter comme une reine. Sache qu'il n'y a aucune manipulation dans tout cela et que je porte une estime infini à Leela. "
*Lineo quitta l'isoloir et pris Leela dans ses bras.
" Je n'imagine pas à quel point cela t'est difficile, mais je promet de veiller sur toi, rien ne t’arrivera.
Il est tard, je te raccompagne chez toi, il semblerais qu'un monstre arpente les environs, ce sera plus sur. "
* Tif arriva à la prison et bien décidée à entrer , elle fit un peu les yeux doux au gardien qui la mena à la cellule du Don *
Buongiorno Don ! J'ai appris la triste nouvelle par Jeoff et je suis directement venue vous rendre visite ! Ne vous en faites pas ! Vous serez bientôt dehors et cela ne sera plus qu'une mauvaise blague . Vous avez le meilleur des avocats et je sais qu'il fera tout son possible pour vous , pour la Famille .
*En tentant d'échapper au monstre qui sème la terreur en ville, Soom finit par se retrouver non loin du bâtiment où est enfermé le Don. Un sourire illumine alors son visage: "Tiens, et si j'allais rendre une petite visite à notre ami Struleone?!" pensa t-il.
Arrivé devant la cellule, c'est une mélange de jouissance intérieure mais aussi de respect profond pour l'être charismatique qui est assis au fond de sa cellule, qui animent les sentiments de Soom. "Trop de monde est déja passé ici aujourd'hui, la visite se doit d'être courte" se dit il. S'approchant des barreaux de la cellule, Soom s'adresse alors au Don, du ton de celui qui est arrivé à ses fins*
"Bonjour Mister Struleone. Apparemment cette fois votre tour est venu. La prochaine fois, soyez plus vigilants quand aux gens qui pénètrent dans vos locaux!
Allez, moi je vais pas traîner, m'étonnerais pas que TodZ repasse par là tantôt. On se voit au procès! "
*Soom s'éloigne alors, fier, et impatient d'en découdre lors de ce procès*
*Il entre dans l'isoloir pour aller voir Don Struleone. Dans le couloir il voit Soom s'éloigner fier, un peu hautin, et tout excité. Il rit! Dans l'excitation il ne voit pas la petite marche à la sortie de l'isoloir. il trébuche devant tout le monde. Quelques rires se font entendre.*
Haha! c'est ca Soom, à tout à l'heure!
Don comment allez-vous?
*Il parle avec le Don du procès et essaie de le rassurer. Les deux semblent sereins. *
Venant tout juste de présenter sa candidature en tant que magistrat, je réfléchissais à ce que je venais de faire. Tout était parti sur un coup de tête. Mais maintenant que j'avais réfléchi, je savais que mes chances d'être élu était basses. Tel que je voyais les choses, dans cette ville, les Bouzouks inconnu n'arrivaient à rien. Il n'y avait que trois possibilités.
- Être Patron d'une entreprise ayant du succès.
- Avoir énormément de charisme.
- ... Ou avoir l'appui de quelqu'un d'important.
Je devais donc réussir à parler à Don Struleone et le convaincre de me donner cet appui. Et le convaincre de "m'aider" financièrement. Mais comment faire moi qui ne l'avait jamais vu de ma vie. La Bouzopolice m’autoriserait-elle à lui parler? Et plus important, Don Struleone accepterait-il mon offre! J'aurais pu y aller en le suppliant de m'aider, mais j'avais mon orgueil! Je ne m'abaisserai devant personne, quel qu'en soit les conséquences.
Lançant une dernière prière au Schnibble en qui je ne croyais guère et redressant ma veste, je fit un pas vers l’isoloir.
*Soom, vexé, se relève et quitte l'isoloir sans demander son reste...*
Je me dirige alors vers la pièce où se trouve le Don. Devant les portes se trouve des bouzopoliciers en uniforme. Prennant un ton respectueux, je m'adresse donc à eux:
"Je souhaite parler à Don Struleone"
Je n'ai plus qu'à attendre le Don. Si il accepte, je pourrais essayer de le convaincre. Si il refuse, je n'aurais plus qu'à aller au bar le plus proche et me soûler tout en essayant de chercher une manière de devenir magistrat.
[Méprisant le maire, il adresse un chaleureux sourire à la zoukette à robe rouge.]
Vous avez bien raison, mademoiselle. Jeoff est un excellent avocat, je suis sûr qu'il saura me défendre de son mieux.
[La visite de Soom le laisse sans voix, il a juste le temps de souffler fortement sa fumée de cigare dans la direction du chevalier. Il s'interesse plutôt à son avocat à qui il adresse un hochement de tête rassurant. Puis il se tourne enfin vers Azer.]
Qui êtes et que voulez vous, jeune bouzouk ?
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