Obey vit Pincemi, quelque peu transformée, s'asseoir a sa table. Le Raki aidant, il fut surpris de la tenue de la Bouzoukette.
Par la Barbe du Grand Rakitouzouk. Que... Que s'est il passé?
**Se remettant la perruque en place, Pincemi se dit que si elle avait eu une chance de séduire le pouète, ce ne serait plus le cas à présent qu'elle était gluante et malodorante.**
Toujours pas finie, cette ode à Pincemi ?
Regarde-moi, je vais bien t'inspirer quelques vers ?
Moi, j'aurais bien besoin de quelques verres...
**Pas mécontente de son jeu de mot, elle en oubliait presque qu'elle schlinguait**
Hum... ce qui s'est passé ? T'as pas lu la Gazette ?
*Tobec arrive dans un sale état et s'assoit au bar. Il commandat ses 3 bierros, les descendies consécutivement d'un trait, en repris 3 autres et leur fit subir le même sort. Apres les évenements de ce soir à l' U.S.I.N.E, il ne savait plus trop quoi faire apart boir, beaucoup. Ce qu'il avait vu, son échec face à se monstre et les dégats occasionés lui tordit le ventre. Il regarda autour de lui, ne vit pas grand monde et encore moins Zoukinette.
Chef, trois autres s'vous plaît. Et une vodkazouïolli en plus, NON, deux.
*Tobec se mit la tête dans les mains, et se perdit dans ses pensées....
Essayant de faire fi de la mauvaise odeur, Obey répondit à la bel... A la Bouzoukette en prenant soin de ne pas respirer par la trompe...
A vrai dire... Je ne lis pas vraiment les articles de la Gazette. L'information, la vraie, je la vis au quotidien, entre deux moments de sobriété...
Il sourit à la Zoukette, en l'entendant parler de Pouèmes.
Pour faire un Pouème, il faut être inspiré, tu le sais... Et je ne sais pas si ton état actuel pourrait m'inspirer quelque chose...
Et puis, tu m'as ouvertement demandé de poursuivre mon but premier : la Pouèsie engagée, me trompes Je? Ne m'as tu pas demandé de t'oublier?
*Tobec releva la tête, bu ses Vodkazouïollis et ses bierros. C'est calme ce soir, un peu trop calme. Tobec, déjà un peu éméché, se roula un mégot radioactif. Il fumma tout en regardant Zouzouk, bléssé lui aussi dans le combat contre le gros monstre poilu.
Pfff... qu...quelle j...journé. Et le Don libéré en plus...
*Tobec regarda à nouveau autour de lui. Zoukinette ne viendra sûrement pas...
Chef, donnez moi un peu de tout ce que vous avez s'vous plaît... non pas à manger, à BOIRE!
Dernière modification par Tobec (2954-04-26 22:23:50)
**Rha le fourbe ! Il lisait en elle bien mieux qu'elle ne l'avait cru. Ainsi, il l'avait percée à jour.
je ne sais pas si ton état actuel pourrait m'inspirer quelque chose
Aïe, il n'avait pas tort, elle était piteuse...**
Hum, tu veux bien m'excuser une minute, s'il te plaît...
**Elle disparut dans les vécés. Elle se dézbiya entièrement, tout en regardant les affiches du pouète. Elle se lava intégralement, rinça sa perruque, et enroula son corps dans un vieux tablier qu'elle avait taxé à melon en passant. "Pas top, mais ça fera l'affaire" se dit-elle. Elle revint s'asseoir face au pouète.**
Tu es plus malin que tu en as l'air. Quoiqu'en fait, tu n'as l'air de rien ainsi planqué sous ta capuche...
Mais tu n'as pas tort.
Si t'avoir signifie te changer, quel intérêt... C'est le pouète qui me plaît. Celui à la mine renfrognée...
Je voulais être ton repos du guerrier, pas un traité de paix.
Si être troublé doit te museler, je ne veux même plus te regarder.
Ton aimée, c'est la Révolution. Jamais je n'ai voulu l'évincer.
Je voulais juste, avec elle, te partager...
Voilà que je fais des rimes... Bref, tu as compris ce que je te dis...
*Tobec se réveilla, étalé sur le bar. Il avait un mal de trompe du tonnere.
Mais? ouille... j'ai passé la nuit ici moi?
*Tobec s'en retourna chez lui, en penchant un peu d'un côté
Obey soutint le regard de Pincemi...
La Révolution sème le trouble dans nos esprits,
Et la confusion, empêche aux Kamarades d'être épris,
Pris? C'est sans duperies que j'admets la tromperie.
As tu compris pourquoi je te témoignais autant de mépris?
L'amour et la Révolution ne font qu'un,
Pas de rose ou de gris - j'suis manichéen.
Si Zorba triomphe, j'oserai surement partager,
Plus qu'une bierro, un moment d'intimité.
Surprise? Et pourtant aucune traîtrise à calculer,
Lorsque les MLBistes au pouvoir, il faudra acclamer,
Douce Pincemi, de mes bras je viendrai t'enlacer,
Et les larmes sur mes joues: symbole de ma joie non dissimulée.
Ne voulais tu pas voir le Pouète heureux?
Prie donc, pour voir demain - plus que ses deux yeux,
Bleus et profond - comme le changement chaleureux,
Et les étreintes qui s'en suivront, mélange de deux corps vigoureux.
La Révolution est en marche, nul recul aujourd'hui,
Pincemi iras tu fuir - le destin accompli?
**Pincemi émue et troublée ne sait pas quoi répondre**
Tes mots...
Ton aveu m'émeut, tes mots me touchent comme une caresse.
Ta promesse...
Cependant... je ne peux me réjouir totalement d'un amour soumis à condition...
Tant que Zorba ne gagnera pas, tu me refuseras tes bras ?
Mais la Révolution, elle, ne m'attend pourtant pas.
Ce que je te donne sans arrière-pensée, toi, tu veux le marchander.
Tu veux faire de moi un trophée...
Non... je ne reculerai pas.
Mais alors je ne serai jamais entièrement à toi...
Obey restait Stoïque face à la Bouzoukette.
Pas de trophée qui tienne. Juste un accomplissement. Suivi d'une délivrance.
Lorsque ma quête sera achevée, je pourrai enfin me reposer.
**Pincemi regarde le poète, mais ne voit que sa capuche. Et ses yeux...**
Alors ce jour-là, je serai ton havre de paix.
Mais nous savons que ce jour est loin d'être arrivé...
Et s'il n'arrive jamais...
Veux-tu m'obliger encore à me renier, me faire prier pour un avènement qui va tant me coûter ?
Tu sais pourtant que je ne suis pas de ton côté. Derrière la bannière de la Révolution, jamais je ne me rangerai.
Si un jour, toutefois, vous êtes victorieux, et si d'ici à, tu ne me désaimes pas...
c'est avec bonheur que je me rendrais à toi.
Obey préparait ses affaires. Il était occupé. Le troisième tour des élections leur tendait les bras, et il devait être prêt à porter son Leader.
Il prit le temps de regarder une dernière fois la Zoukette et lui dit doucement.
Il suffit. Je crois en la Révolution. Tu crois en moi. Le Leader vaincra Babouche la fripouille et nous porterons les couleurs de la liberté dans tout Vlurx'.
Tu verras, tu comprendras, tu apprécieras. Les gens ont peur de ce qu'ils ne comprennent pas, et je te pardonne pour cela.
Nous, les fous, les illuminés, nous porterons notre idée jusque dans la Mairie, et nous poserons ensemble la première pierre qui pavera la route vers l'équité.
Puis il déposa un baiser tendre sur le front de la Bouzoukette et se fraya un chemin jusqu'à la sortie de la Taverne.
Il était temps pour lui de redoubler d'effort. Le Leader comptait sur lui - et lui comptait sur la Révolution pour soutenir son Leader.
**Pincemi rougit de cette proximité, puis regarde le pouète s'éloigner. Elle sait qu'il a une nouvelle raison de vouloir gagner.
En attendant, elle décide de prendre une dernière coupette et de se rentrer. Elle est fatiguée.**
caCtus franchit la porte d'entrée de la taverne, qui est bien calme en ce début de soirée. Elle se dirige vers le bar, se fait servir une bierrouïoli, puis part s'installer à une table, dans un coin près de la fenêtre.
*Rien de tel qu'une bonne bierro pour remonter le moral après s'être fait laminer aux cartes...*
/ pousse les portes de la taverne et prend place à la première table
Hé bien, y'a pas grand monde ici !
/ fait un signe de tête à caCtus en guise de bonsoir, puis se parle à lui même:
Quelle journée! Don Struleone à enfin pu quitter la prison et ma protégée Leela semble aller pour le mieux. What else ?
Chef! Apportes moi donc un champagne 1000 ans d'âge tout droit sorti de ta cave, j'aimerais profiter de ma soirée.
*rentre dans la taverne, les yeux fatigués mais toujours avec un sourire rayonnant, se dirige vers le bar*
Melon, tu me fais un truc qui me rechauffe s'il te plait!
*Regarde Melon*
Tu m'as l'air fatigué toi dit donc...faudrait te poser un peu et venir boire un ti truc avec moi.
*Saisit le drole de cocktail que Melon lui a préparé et va s'asseoir, goute au breuvage*
Outch y a quoi la dedans!!??!! ça chauffe!! c'est parfait!!
*Voit la dame qui pique assis a une table, voit le gorille de la Struleone...surement son jour de repos...sinon la taverne est assez calme*
ça manque un peu d'un...je ne sais quoi...
*reboit une bonne gorgée de son cocktail...et part dans ses pensées*
**Après avoir fait ses bêtises discrétos à la foire au maire, Pincemi décide qu'elle a mérité un petit verre. Elle fait donc un crochet à la taverne avant de rentrer. Elle file au comptoir, commande une coupette, puis la sirote en rêvassant. Elle repense à lui... De loin, elle aperçoit la table vandalisée. Les vers qu'il lui a dédiés résonnent dans sa tête. Elle se souvient surtout qu'il a parlé de ses bras, de l'enlacer et d'étreinte passionnée. Il est prêt pour elle, il lui a dit.
Mais quand il saura... Quand il saura qu'elle a choisi... en parfaite connaissance de cause...
à la foire au maire, tout à l'heure, elle a signé contre le MLB...
Elle maudit ce monde où il faut choisir. Où choisir signifie parfois trahir. Peut-être un jour saura-t-il lui pardonner, elle qui est de l'autre côté.
Elle finit sa coupette. Les bulles pétillent dans ses yeux et dans sa tête et chassent ses idées noires.
Elle va saluer Zoukielle en se disant qu'elle est toujours aussi belle. Quelques mèches s'échappent de son chignon. Pincemi trouve ça charmant.
Elle lui fait une bise et lui demande si elle va bien. Elle aurait aimé papoter, mais il est tard, et elle doit vraiment rentrer. Elle lui souhaite alors une bonne soirée et part d'un pas léger.**
Bonne soirée, à bientôt Zoukielle !
* est ravie d'avoir vu Pincemi même si c'est un court instant..se rend compte de l'heure*
outch je vais y aller aussi
* va deposer ce qu'elle doit à Melon sur le comptoir, lui envoie un bisou , quitte la taverne et se depeche de rentrer*
Rowland rentra dans le bar, pris une boisson et s'asseyai
**Pincemi entre, s'attrape une bouteille de champo et va s'asseoir à la table vandalisée. Elle fait comme chez elle, mais après tout, depuis quelques temps, elle trouve que le service laisse à désirer. Elle se sert une coupette. Elle sirote quelques gorgées.
Sur le chemin de la taverne, en venant, elle a vu, de loin, une nouvelle affiche sur le Mur. Elle a pleuré.
Puis elle a essuyé ses larmes. Elle a relevé la tête. Elle a fouillé dans son sac, sorti son rouzalèvre... Elle a coloré ses lèvres aux couleurs de la Révolution. Comme une dernière provocation, une ultime trahison.
Et maintenant, elle est là, buvant son champo à grandes goulées. Les bulles lui feront oublier... à elle... à lui, aussi...
Et s'il n'oublie pas, peut-être qu'un jour, il pardonnera. Ah ah, décidément, elle n'y croit pas. Pourtant, il l'a déjà surprise bien des fois.
Dans sa gorge, le champo coule à flot. Les larmes ont cessé. Trop tard, le mal est fait, il n'est plus temps de pleurer.
Cette fois, elle ne prend pas son rouzalèvre. Elle ne veut pas que son dernier message risque d'être effacé. Elle prend une épingle à cheveux qui était tombée du chignon de zoukielle. Et à son tour, près des mots du pouète, elle entaille la table et lui laisse une cicatrice**
pardon
**Elle se lève, attrape sa bouteille aux bulles-qui-font-merveille et s'en va. Elle va aller se balader du côté de la Villa**
*Tobec entra dans la tarverne. Nom d'une trompe, il avait si soif. Il s'assit en saluant les quelques Zouk présents et se prit ses 3 bierros habituelles.
Et ben, y'a pas grand monde en ce moment...
*Entre et se joint à la table de Tobec éspérant lui gratter une bierro*
c'est que je suis pauvre en ce moment mon ami
*Tobec vit arriver Soad, il fini d'un trait toutes ses bierros. On ne touche pas à sa dose de 17h. C'est sacré.
Toi, pauvre? Si c'était vraiment le cas, je t'aurai vu à la ruelle, la trompe molle. Et je n'aurais pas vu tant de produits vendus au marché noir par toi et toute ta fraterie, et dans bien d'autres affaires toutes plus douteuses les unes que les autres. Va t'en, enstrulé. Par tous les diables...
*Tobec sorti trois autres bierros de ses poches et se roula un mégot radioactif.
Non mais oh, y'en a marre des corompus et des louches dans cette ville. Si tout le monde est à tes services, moi, NON!
*Penche la tête et souris*
Que tu es braves mon cher Tobec, sache qu'on ne refuse pas une invitation. Et heu.. mes produits? Je ne vois pas de quoi tu parles Et je ne mènes aucune affaire douteuse, je suis droit, sincère et honnête dans tout ce que je fais.
Tend un petit cigare à Tobec
Prends donc celui-ci il est bien meilleur que ton mégo de mendiant crasseux et je te l'offre de bon cœur.
Bon et ce verre il arrive?
*Tobec ignora le cigarre puant le strul sale à pleine trompe.
Garde ca loin de moi, je garde mon mégot de mendiant crasseux, lui au moins sent l'honêteté.
*Il se l'alluma, tira une bonne bouffé dessus et soufla un bon coup en direction de Soad.
Toi et ta fraterie, vous ne me faite pas peur.
Et que venait tu faire à ma table?
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