*Dyns arrive avec sa nouvelle tutur de fonction, Pin Pon à fond il déboule dans la cours, manque d'écrasé un gros bras, se gare en diagonale devant la maison puis finit par sortir de sont véhicule, lunette de soleil sur la trompe*
*Dans sont très belle uniforme il rentre dans la villa et se dirige vers le bureau du Don*
*Il tapote a la porte et tente de l’ouvrir mais celle-ci est verrouillé*
Mouarf... en plus d'être tape à l'oeil il sont malpoli, sa va changer c'est moi qui te le dit !!!
*Dyns s’assoie sur un fauteuil devant la porte attendant qu'on lui ouvre.*
[Le Don ouvre tranquillement la porte.]
Tiens donc, monsieur Dyns, qu'est ce que vous faites en uniforme de bouzopolicier ?
*Luna arrive devant la Villa Struleone, sapé trop la classe avec une coupe de cheveux super High-Tech ! Elle a une mallette en cuir noir dans une main, un raki dans l'autre. Quand elle apperçoit la Tutur PinPon dans la cours de la ville*
Hé Maiiiiiirde ! La Bouzopolice !
C'est pas bon ça !
Je repasserais plus tard ...
*Luna fait demi-tour, tant pis, ça sera pour une autre fois*
*Sky avait quitté les ruelles du Marché Noir pour suivre un étrange Bouzopolicier jusqu'au bureau du Don Struleone
-Tiens, je croyais que la Bouzopolice gardait secrète l'identité de ses agents pour leur propre sécurité, j'en connais au moins un maintenant
*Il repartit s'occuper de ses stands, gardant le nom de Dyns en tête
*Dyns rentre dans le bureau du Don, Le Don s'assoie sur son siège et Dyns commenca à marcher au millieu de la pièce et ce mis à parler*
Don, étant donner que vous êtes le parrain mafieux de la ville et que je viens de reprendre les reines de la bouzopolice, nos relation vont certainement évoluer très rapidement.
Je viens donc aujourd'hui vous présenter votre plus vigoureux énnemie !! *Dit Dyns avec un large sourire*
Je vous le dit très largement je vous méttrais des battons dans les roue autant que possible. Partout ou vous serez je serais derrière vous, prêt à bondir tel un pioupiouk sauvage.
Vous devez vous dire que je doit être un peux trépané du neuronne pour venir de moi même vous annoncé que je polurais vos action et qu'il serait plus simple pour vous de vous débarrasé de moi des maintenant... Mais, saché que je suis apte à usé de la force pour me défendre et que mon pistolet à Beurk est chargé *Dit'il posant la main dessus*
[Un sourcil interrogateur se lève et il se contente d'acquiescer mollement d'un hochement de tête.]
Eh bien, au plaisir de vous revoir, monsieur l'agent. Nombreux sont ceux qui essayent de porter atteinte à ma Famille en ce moment... Est-ce le réveil de la ville ?
Khamièrement je suis shérif !!! et Zigièmement, les gens se rebelle car il en ont assez de vos agissement. Je travaillerais d'arrache pied jusqu’à se que vous soyez attacher par une camisole de force au sein de l'asile !!
Sur ce je m'en retourne à mes nouveau bureau ! nous nous reverrons bientôt... MOUHAHAHAHAHA !!!
*Dyns quitte la pièces la main posé sur son arme au cas ou ...*
Dernière modification par Dyns (2954-09-20 15:06:48)
Toinouz qui avait écouté la conversation alla parler au Don
Vous voulez que j'aille lui crever ses roues? Ou quelque chose de plus sérieux Don?
[Le Parrain s'allume un cigare en regardant le "shérif" partir puis se tourne vers Toinouz.]
Il me fait doucement sourire. Si tu lui fais une petite crasse, fais attention à ne pas te faire voir, c'est pas le moment de se prendre un procès à la trompe.
Manuo, qui passait par là, trouvas que la trompe de Dyns avais Singulierement grossi !
Bigre Sergent Garcia est de retours dans la Ville, Il va falloir trouver un Zorro!
Bon, nous allons refaire le stock de bierrovinaigre pour une petite livraison chez le sergent
[ en partant tranquillement, il se dit : que vas t'on bien pouvoir lui faire comme autre misère, ce nouveau Garcia semble être une cible de choix pour les sons of Struleone]
Mon cher Don Struleone,
sachez que je continu ma carriere de compositeur chanteur et qu actuellement je travail sur une chanson que dis je plutot des louanges en votre faveur
une fois fini je viendrai vous la chanter
vive les struleone
Déconnecté
[Tout en se pavanant avec un bon gros cigare, le Don hoche la tête.]
Tu n'as pas intérêt à me décevoir.
j espère
on dit que le travail paye j espere vraiment vous faire plaisir
Déconnecté
Gladstone attendait un rendez-vous avec le Don depuis des mois. Puisqu'il n'arrivait pas à obtenir ce précieux rendez-vous, il décida de se présenter directement. A l'accueil, une jolie standardiste.
Salutations à vous, mademoizelle. J'aimerais rencontrer le Don immédiatement et sans plus attendre. Et vite !
[Le Don plisse les yeux et accueille froidement le talent de Vlurxtrznbnaxl.]
C'est à quel sujet ?
Gladstone entra dans le bureau du Don. C'était très chic. Il regarda le Don, sourit et se permit de consulter la bibliothèque emmuré du Don.
Et ben ça alors ! Vous avez le tome 16 de Comment j'ai trompé le Percepteur de J.F. Sebastien. C'est une édition très limité. C'est le dernier tome avec le fameux secret qui révèle comment il a réussi à échapper au Percepteur.
Gladstone tend son bras pour se saisir du précieux ouvrage et se rétracte. Se tournant vers le Don :
Je peux ?
Dernière modification par Glady (2954-10-03 20:32:59)
[Un balafré allait lui sauter dessus mais le Don lève une main pour le stopper.]
Laissez cet ouvrage où il est, sauf si vous voulez que votre trompe ressemble à une tarte de Bloubz. Quel est l'objet de cette demande d'entretien ?
Gladstone s'avança vers le bureau du Don. Il s'assit sur un siège.
Cela doit faire longtemps qu'un Bouzouk en soutane n'est pas entré dans ce lieu de création. Vous êtes un artiste Don Struleone. Votre oeuvre majeur est votre famille. Et quelle famille !
Bref, j'ai voulu m'entretenir avec vous pour une raison bien précise : Votre famille. En effet, quelques collègues et moi comptons écrire l'Histoire du Peuple Bouzouk. Et certains points doivent être clarifiés.
Gladstone marqua une pause et regarda un portrait de Leela Struleone accroché derrière le siège du Don.
Les liens qui vous unissent aux autres Struleones sont ceux du sang ou de la fraternité ? Si Leela Struleone est votre fille, qui est sa mère ? Que pouvez-vous m'apprendre sur la généalogie des Struleones ? Jeoff ? Dranz ? Boubouch ? Toinouz ?
Tant de questions qui rendent indispensable cet entretien pour le savoir et la connaissance.
[Tout en s'allumant un cigare, le Don s'enfonce dans le fond de son fauteuil.]
Vous êtes bien curieux, même si votre but est noble.
La seule personne qui a le même sang que moi est Leela et je garde jalousement le secret qui m'a mené à l'avoir. Je suis obligé de laisser une zone d'ombre autour de cet heureux événement.
Quant à sa mama, cela rendre dans le même registre, c'est un secret de Famille qui ne sera dévoilé qu'au cas où un fait exceptionnel se produit.
Concernant l'exécutif de la Famille, ils sont des bouzouks qui ont su progresser dans la hiérarchie Struleone au fur et à mesure du temps et des succès.
Gladstone muni d'un petit calepin écrivait tout ce que le Don voulait bien lui dire. Lorsque le Don eut fini de parler, Gladstone lui sourit et se leva.
Je vous remercie pour le temps que vous m'avez accordé et pour les clarifications. L'oeuvre est noble mais surtout ardue et très compliquée. Nous essayons d'écrire une Histoire qui corresponde à tous et qui se rapproche le plus de la vérité. En tout cas, vous m'avez déjà bien aidé. Au revoir.
Gladstone tourna le dos au Don et s'en alla.
voila ma chanson,je chauffe ma trompe ,do re mi fa fa sol la si do
oh cher don,fait moi des strulls,fait les forts
tu ne crains pas les rhumes,la brume de ton cigares te protege
oh cher don,fait moi des strulls,fait les forts
tu chauffes le bitumes avec tes chaussures,
oh cher don,fait moi des strulls,fait les forts
oh parrain,je t aimmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmme
Déconnecté
[ Après avoir pénétré le domaine, s'infiltre dans le bureau du Don dans le but de trouver des renseignements sur le kidnapping de Blazzord.
Entre tout en aillant pris la précaution que personne ne se trouvais dedans et qu'aucune kahméra n'y est présente.
...
...
S'approche du bureau du Don et utilise un Roh scie gnoule pour crocheter les tiroirs du bureau.
N'y trouve que quelque document sans grande importance sur l'affaire en cours tel que des contrats de magouille et autres papier sur l'ancien enlèvement de Ouah.
Laisse un petit message révolutionnaire sur le bureau, quelques tag 'MLB" sur les mur et prends la direction de la sortie ]
[Modération : Fais attention de respecter le Rôle-Play des autres joueurs.]
Dernière modification par Kuppit (2954-11-22 05:22:40)
[Le Don vivait comme un pacha dans une période où le BuZiness n'était pas au beau fixe, il se laisser aller en étant en peignoir toute la journée. Il alla dans son bureau pour récupérer ses lunettes anti-UV pour ensuite rejoindre sa cabine bronzante. Il fut interpellé par les papiers en pagaille sortis de son bureau et du message laissé.]
Quelle est la bande d'incapables qui a laissée un terroriste entrer ici ?!
**Après son passage devant le Ristorante, c'est tout naturellement que Pincemi se retrouve devant la Villa Struleone. Le regard que lui lancent les ZIG balafrés à l'entrée est pour le moins hostile et ne cherche même plus à s'aventurer sous la jupette de la blondinette bannie.
Il est fini le temps où on lui ouvrait grand le portail et où on l'invitait à entrer avec moult révérences et sourires charmés. Le temps où elle arpentait les allées du parc, riant, au bras de boubouch, lors des belles soirées de pleine radio-activité. Le temps où, dans le confort du salon, ils sirotaient de la gnoulze en se moquant des pauvres et où elle défilait, vêtue des belles et coûteuses robes qu'il lui avait offertes aux frais de la mairie...
Le regard de la zoukette est attiré par la lumière d'une fenêtre. Le bureau du Don... Elle se revoit débouler à l'improviste un paquet de fois, finissant apwal et s'amusant de le voir rougir. Elle lui prodiguait tendres bises et chastes câlins. Ils passaient de longs moments à discuter, elle assise sur les genoux du vieux zouk élégant, lui ne s'autorisant qu'à embrasser le front de l'effrontée. Nombre ont cru qu'elle était sa maîtresse. Aucun n'a imaginé que c'était ce qu'elle aurait aimé. Qui pourrait croire qu'il s'y est toujours refusé.
Comme il la fascinait, à la fois terrifiant et prévenant, menaçant et élégant, dangereux et attentionné. Elle se souvient que très vite, avec joie et honneur, elle lui a confié ses ficelles, pour qu'il fasse ce qu'il voulait d'elle. Reconnaissante et dévouée, elle lui était loyale et fidèle. Mais il ne la voulait pas assez et la blonde ne reste que si elle est aimée et suffisamment désirée.**
Je me préfère bannie qu'ignorée.
...
J'espère qu'au fond, il sait que je l'aimais...
**La zoukette trace sarace pour s'éloigner avant que les gros bras ne l'aident à accélérer**
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