Globalement les Binouzeux ne voulaient pas faire grève alors on reste calme, si nous sommes mécontent c'est contre les deux qui ont lancé la grève sans nous consulter.
Donc le MLB à part soutenir Camilo, et éventuellement Jeoff ( ) qui ont lancé cette grève, les employés vous demandent de garder vos bonnes intentions pour les mendiants hein.
Maintenant je trouve que ça ne concerne que la Binouze, mais j'ai bien hâte de voir comment Camilo et Jeoff vont justifier leur attentat contre le patron et sur nos salaires du même coup.
Dernière modification par Kikidamours (2954-09-26 12:33:44)
Heu...
Camilo tes kamarades du mlb n ont pas a interférer dans cette grève!Je te prierai de les retenir...
Nodaska, sauf ton respect, il ne s agit pas d une grève décidé e par l entreprise mais par son syndicats .
Il ne s agit donc pas de quitter la binouze pour le grazouk (petit malin) mais le fedbc a la limite.
T'as tout faux cher ami. Aucune tentative de ramasser des employes. J'aurai ecrit le meme message si zorba m'aurait ecrit a moi. Merci!
Si j'ai tout faux alors j'en suis désolé!
Laisses moi retirer mes dires et acceptes mes excuses
Dernière modification par Jeoff (2954-09-26 15:28:59)
* Camilo s'approche des barricades montées à la hâte. Certains sont encore en train de déguster des sandwiches ramenés gracieusement par Jeoff, ou des bierros que choux à tirées directement des cuves. L'ambiance n'est pas mauvaise, mais on sent que les tensions dans l'air ne se sont pas évaporées.
Camilo est un peu gêné, avec ses 4 pages à la main, il ne sait pas comment commencer à parler, il a peur du verdict. Il a peur de ne pas être à la hauteur. Pourtant, il se racle la gorge et parle d'une voix forte et décidée.*
Mes amis, mes chers collègues,
Après des heures passées à bloquer l’entreprise, je ne peux pas vous laisser avec seul discours et seules explications la missive destinée à boubouch. Vous n’êtes pas ce zouk, vous méritez un autre ton et de plus amples détails sur ce que lui sait déjà mais que la majorité d’entre vous ne sait pas encore.
Je vais m’efforcer d’être le plus clair possible. Il s’agit pour moi d’une véritable gageure, puisque les événements ont été nombreux et sont restés obscurs longtemps pour moi aussi. Cependant, je m’engage à tout vous dire, de ce que je pense, des faits, mais aussi de ce que je regrette et vous présenter des excuses.
Je vais commencer par ce qui vous concerne directement. Jeoff et moi avons agi en accord l’un avec l’autre, car nous pensions tous les deux qu’au vu des éléments que nous avions, une action était justifiée. Mon collègue, je le rappelle, est administrativement le chef du syndicat, et la décision finale lui ait revenue. Si je vous dis ça, ce n’est pas pour que ceux qui étaient contre aillent le taper lui, non, c’est pour vous prouver que je n’ai eu absolument aucun moyen de pression sur lui, puisqu’il avait le dernier mot dans tous les cas.
En ce qui concerne la consultation du syndicat, je veux adresser mes plus sincères excuses à ceux que j’ai déçus, ou à ceux qui croient que seuls quelques zouks peuvent user de leur pouvoir et que d’autres ne sont rien. Je leur adresse mes excuses, car je n’ai pas fait tout ce qui était en mon pouvoir pour recueillir leurs opinions et que j’ai cédé au vice de faire le même coup que boubouch nous a fait à nous, employés : un coup en douce. La prochaine fois, aussi fastidieux que cela soit, je vous promets de vous adresser à tous une missive personnelle pour demander votre avis et de lire toutes les réponses que je recevrai avec attention. Dans cette mesure-là, oui, je n’ai pas été à la hauteur de mon rôle de cogestionnaire du syndicat.
Cependant, mes amis, Jeoff et moi avons pris une décision douloureuse en toute connaissance de cause. Je peux parler en son nom, car je sais que nous avons la même pensée sur le sujet. La grève serait difficile pour tous, surtout après 3 jours de coupe de salaire. L’opinion allait être difficile à gérer… Pourtant, nous avons voulu aller jusqu’au bout, parce que nous pensions qu’il était dans notre intérêt, aux salariés, de mener cette lutte. C’est en ça que la décision m’a beaucoup coûté. En voulant nous battre pour nous tous, nous savions que nous allions avoir à affronter des paroles qui allaient beaucoup nous affecter : votre opinion sur nous.
Pourtant, je reste malgré tout convaincu que parfois, les décisions sont très dures à prendre, et le fait que quelques personnes acceptent de les porter n’est pas plus mal. Puisqu’en effet, quand j’ai parlé de la grève devant le syndicat, il y a eu peu de réactions… J’y ai vu plusieurs raisons, mais plusieurs raisons à l’encontre desquelles je veux aller. La première, tout simplement, est celle que le syndicat n’a pas et n’aura jamais de poids dans une entreprise comme la Binouze. Nous voulions donc vous prouver qu’avec une action, on pouvait au moins remuer beaucoup de choses, qu’il y avait moyen de faire parler de nous, de ne plus rester des anonymes, des pions du patron. Ensuite, j’y ai vu le reflet d’une autre opinion : il est dur de s’opposer à boubouch. Pourquoi ? Car il nous paraît tout de même quelqu’un de bien. A titre personnel, il est prêt à beaucoup d’aides, il traite au cas par cas pour ne pas laisser partir les zouks en quête quand il y a baisse des salaires pour des raisons économiques de gestion.
Voilà la deuxième partie, la vraie revendication de la grève, celle qui n’a pas pour but d’éveiller des consciences. Voilà notre cause. Boubouch, derrière ses airs de bon prince, a bien des défauts qu’il s’efforce de dissimuler. Ne le défendez pas avec tant d’ardeur, mes amis, il ne fait que le minimum vital pournous acheter et acheter notre conscience.
Le salaire minimum, les comptes pour le syndicat (pour que nous puissions l’aider à une meilleure gestion plus équitable et pour donner des revendications justes et justifiées, sans risque pour l’entreprise) nous ont été refusés. Ou non, plutôt, la question a été éludée. Je l’ai déjà dit. En attendant, nous n’avons rien. Soit. Il me demande des opinions ; il sait qu’elles seront en sa faveur, parce qu’il sait acheter les esprits. En réalité, il sait qu’il tend à tous nous contrôler. Il ne nous considère pas comme des zoukettes et des zouks. Nous sommes sa masse. Nous sommes son pouvoir. Vous ne le croyez pas comme ça ? Je vais vous faire une confidence qui va peut-être vous faire bondir, me sachant MLBiste. J’y ai cru aussi.
J’ai cru que j’étais un Binouzeux. Au moins un peu. J’ai cru au moins qu’il me voyait comme un être vivant. J’ai cru qu’il s’adresserait à moi comme à quelqu’un, non comme à un terroriste sans foi ni loi. Je me suis trompé. Au moment du sauvetage de l’entreprise, le salarié stigmatisé par le patron vient me voir pour que je discute de sa coupe avec le patron, en tant que délégué syndical. Bien sûr, j’accepte et je fais du bruit, pour éveiller les consciences. Quoi de plus normal ?
Eh bien, Boubouch vient me parler. Dans son bureau, personnellement. Il me dit de me taire, de ne rien dire. Il insiste sur le fait que ce soit très important. Je lui dis que, si je suis dans la confidence, je suis prêt à l’aider, au moins à considérer sa demande. Dans tous les cas, à me comporter en zouk d’honneur, que rient ne sortirait de ce bureau. Il me supplie presque. Je sens que c’est important. Que puis-je faire de moins que d’accepter ? Je ne peux pas ne pas lui tendre la main, patron ou pas.
Qu’il ait contribué à la gloire des Struleone grâce à ça, qu’il m’ait empêché de faire mon travail, que je passe pour un incapable devant l’employé qui m’a demandé de l’aide… Oui, pour ça, je lui en veux personnellement. Mais pour ça, je n’aurais jamais engagé l’action d’un organisme qui concerne tout le monde. Je suis prêt à accepter de n’en tenir compte dans aucune négociation, car c’est ça la conduite à tenir.
Mais derrière cela, il y a quelque chose de bien plus profond. C’est bien qu’il ne considèrera jamais un zouk comme son égal, comme un être. Nous ne sommes que des pions… Un MLBiste dans la confidence ? Normal, ça ne se fait pas. Mais… il a fait la même malversation à TOUS les employés. Il nous a tous menti, même ses plus fidèles alliés, même ses plus fidèles amis. Pourquoi… Pourquoi n’a-t-il pas expliqué qu’il sauvait la Binouze. Il ne nous fallait pas plus d’explications. Mais même ça, nous n’y avons pas droit.
Je reste encore convaincu qu’on aurait pu la sauver autrement, avec d’autres actions, sans avoir à couper les salaires de tout le monde pendant 2 jours. D’aucuns disent que nous avons prouvé notre force. Je le leur concède, mais je pense avant tout à nos familles à nourrir. Mais ne nous étendons pas plus là-dessus.
A son retour, à cause de l’impôt, alors que nous (euh, vous, excusez moi…) étiez déjà saignés depuis 2 jours, il n’a pas donné paie complète. Nous n’avons été nullement compensés. Alors, voilà ce que j’en déduis, voilà ce que Jeoff en a déduit : le patron se sert de nous, ne nous dédommage pas matériellement, et ne nous accorde pas plus de considération morale qu’un simple pot de fleur dans son bureau.
Encore une fois, nous ne sommes pas payés. Mais n’oubliez pas que si nous ne le sommes pas, c’est parce que boubouch ne l’a pas fait pendant 2 jours aussi auparavant (et pas seulement) ! Nous avons réussi à nous serrer les coudes pendant cette période, parce qu’il nous l’a demandé. Nous pouvons recommencer pour faire valoir nos droits. Pour changer, soutenons-nous mutuellement pour nous défendre nous et pas uniquement pour défendre notre entreprise. Surtout, ne nous soutenons pas pour défendre ce zouk qui, j’en suis convaincu, ne le mérite pas, ou au moins, ne le mérite plus. Pour nous, il doit y avoir deux objectifs : nos droits de bouzouks, notre entreprise et avec elle notre fierté de brasser ensemble. Pour ces deux causes là, nous devons nous battre. Et moi, je suis prêt à faire des sacrifices pour l’une et l’autre sans distinction.
J’espère que vous serez avec nous, j’espère vous avoir convaincus de notre bonne foi à Jeoff et moi.
Pour terminer, je remercie à titre strictement personnel les kamarades qui font preuve d’un soutien moral envers nous, mais je précise bien que cette action a été décidée sans aucune concertation avec le MLB et que mes kamarades n’ont strictement aucune prise sur ce qui a été décidé et ce qui sera décidé par la suite. Il s’agit de décisions prises pour l’entreprise, au sein de celles-ci.
* Camilo souffle bruyamment de soulagement. Enfin, il a terminé de parler. Il guette avec une inquiétude non dissimulée les réactions dans la foule. Il ne supporte plus les insultes dont il fait l'objet. Il n'a jamais agi en pensant faire du mal à ses collègues, même s'il s'attendait à quelques mauvaises réactions. *
*Kikidamours a écouté attentivement les paroles de Camilo, elle pense comprendre les grandes lignes et, même si elle n'approuve pas la méthode, voit où ses collègues veulent en venir. Après la promesse faite qu'ils ne recommenceraient pas de grève sans en informer le syndicat, elle décide de leur accorder sa confiance à nouveau.*
-Mais si il y a une deuxième grève en douce, je vous l'ai déjà dis mais ça n'ira plus mes petits loups
*Kiki repart les mains dans les poches en imaginant ce que sera la vie à la Binouze après ça. Un mot lui vient en tête : "Bierro !" *
Les dizaines de machines de la Binouze du Plouc sont restés à l'arrêt 24 heures. Syndiqué ou non, aucun Binouzeux ne pouvait se mettre à brasser. Les chefs du syndicat ayant décider d'interdire toute approche des machines.
Certains syndiqués se sont sentis trahi par la FedBC du fait de cette grève non annoncée et ont décidé de quitter l'organisation.
D'autres, à l'inverse, se sont joint au mouvement estimant que le patron devait mettre l'ensemble de ses employés au courant du complot organisé par Bubool.
Pendant ce temps, Boubouch était resté enfermé dans son bureau. Il était furieux contre cette prise de décision soudaine. Furieux également de voir que les avis des syndiqués divergeaient et que ce mouvement de grève était loin d'être souhaité par tous.
Toutefois, bien qu'énervé, Boubouch a entendu les revendications des Binouzeux. Il a également lu à plusieurs reprises la missive de Camilo dans laquelle était listée l'ensemble des demandes des Binouzeux.
Pendant 24 heures, le patron a réfléchi. Les revendications étant importantes, le changement d'avis était fréquent.
Toutefois, 24 heures ont été suffisant pour permettre à Boubouch de prendre les décisions. Elles seront transmises, dans les quelques jours qui viennent, aux chefs de la FedBC.
Lieutenant de la Famille Struleone,
Unique Millionnaire
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[ Une derniere nuit a la binouze, et puis s'en va , prochaine direction le buffet du Grazouk ]
Je tenais a vous remercier Boubouch de votre professionnel envers moi malgrè le fait que vous sachiez mon opinion contre les struleone !
Cette aventure m'a montré que c'est une usine mais qu'il y'a quand meme un petit noyau qui a l'esprit 'famille' et je me suis beaucoup plu chez vous !
Apprecier un struleone je croyais pas sa possible , mais Toinouz j'espere que nos chemins se recroiseront , et personne me fera changer d'avis que tu n'es struleone que de nom mais ton coeur est autre !
Les cuvées avec mamanyoyo , edwin , landriks , Lakpowa , chouxfleur, timmy , Sky et les autres me manqueront terriblement !
Merci de votre accueil , Le Vagabond
Dernière modification par Blazzord (2954-10-18 06:48:34)
Bon vagabondage Blazzord, à la revoyure
Hasta Luego Blazzord !
Créateur de Muzique Zelectro :
https://soundcloud.com/sky-r-1/suddenly-the-rain (Approuvé par Pincemi)
Avatar par Suddenly !
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Boubouch avait reçu ce matin la lettre de démission de Blazzord.
Je suis très content que ton séjour à la Binouze du Plouc t'ai plu. J'ai moi-même apprécié ton travail; du bon boulot de brassage !
Je te souhaite une bonne continuation dans ton parcours de vagabondage
Lieutenant de la Famille Struleone,
Unique Millionnaire
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un jour peut etre je reviendrai a la Binouze
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**Ces derniers temps, Pincemi se sent prise d'une profonde nostalgie. Elle n'est pas zoukette à avoir des regrets et elle a toujours assumé erreurs, amours et amitiés. Et c'est parce qu'elle n'a pas de regret qu'elle peut continuer à chérir ses vieux souvenirs, même si elle sait que jamais elle ne pourra les ressusciter, qu'elle ne souhaite à aucun prix changer le passé.
C'est emplie de cette nostalgie qu'elle est partie se promener et, inconsciemment, son exagéré déhanché l'a conduite aux portes de la plus grande entreprise de la ville. Lorsqu'elle a réalisé où elle se trouvait, les souvenirs ont afflué...
Les rencontres inattendues, les surprenantes amitiés, les tendres complicités, les amants fougueux et passionnés... et l'amour. ZIG fois... ZIG fois, ici, elle a rencontré un amour auquel elle ne s'était pas préparée, un amour qui l'avait transportée... et transformée.
Un sourire empreint d'une tendre tristesse se dessine sur son visage à la pensée du patron. Le doux, tendre, attentionné et gentil Boubouch, qui l'avait aimée telle qu'elle était et avait veillé sur elle pour la protéger. L'amour qui les unissait était celui de ZIG bouzounets. Nul ne sait que cette tendresse n'a jamais été consommée, que leur complicité était celle de ZIG marmouzets dans la cour de récré. La relation qu'ils entretenaient à l'époque était unique et chère à son coeur. Boubouch était un zouk spécial, tout comme l'était l'amour qu'il lui avait inspiré.
Pas besoin d'une séance sur le-dit vent de nogoud pour savoir que si elle se trouvait là, c'est parce qu'il lui manquait.
Avant de partir, au rouzalèvre, elle dessine un pioupiouk sur lequel elle dépose un baiser, un chou-fleur dans un coeur ♥ et un Mr Schnibble assis sur une montagne de struls, elle tag un "Edloose"puis elle s'en va, là où son inconscient voudra bien guider ses pas**
La zoukette est parvenue à éloigner Blazzord du Skwatt'. Visiblement, ce lieu ne l'a pas aidé. Bien au contraire. Elle ne perd pas espoir. Elle pense à la Binouze. Boubouch étant à l'origine de ce qui lui arrive, peut-être que de revoir l'entreprise de Boubouch lui rappellera quelques souvenirs.
Allez Blazzord, fais un effort.
Blazzord traîne des pieds.
Ici c'est la Binouze. Tu te souviens de la Binouze du Plouc ? Et de Boubouch ? Tu te rappelles de Boubouch ?
A force de courir partout dans la ville, la zoukette commence à avoir faim.
[ Blazzord devant un batiment, encore un peu torché par la 'bierro', pendant que T3kila lui dis des trucs qu'il entend a peine, elle tient a lui faire retrouver la mémoire mais lui a lu un petit panneau ou c'est ecrit cuve.]
T'as ton maillot?
[ T3kila le regarde etonné ]
Euh bon ok on verra.
[ Blazzord attrape t3kila, la met dans ses bras cours avec elle dans les couloirs, cherche la cuve, la trouve et saute dedans.]
Plouf
T3kila n'a même pas le temps de répondre à Blazzord. Ce dernier l'attrape. Elle essaye de se débattre mais il est trop fort pour elle. Elle attend de voir où il l'emmène. Ils arrivent devant la cuve de bierro.
La cuve à bierro ? Tu es sérieux là ?
Il saute dedans avec T3kila toujours dans ses bras.
Une cuve à bierro ! Je vais puer... J'aurais préféré une cuve à champagne.
Elle profite qu'il a la tête dans la bierro pour essayer de sortir de la cuve. Malheureusement, elle ne peut pas aller très loin à cause des menottes.
[ Blazzord replonge dans la cuve, entraine t3kila avec lui, lui fait des calins sous l'eau,ressort la tete de la bierro ]
Cet endroit ne me dis rien T3Kila, je me rappel de rien, de plus rien, je sent que je trouverais plus jamais ma mémoire
T3kila gifle Blazzord.
Je suis une zoukette fiancée !
Elle lui montre sa bague de fiançailles.
Tu la retrouveras Blazzord, j'en suis certaine. Il te faudra peut-être un peu de temps, mais elle reviendrai, j'en suis persuadée.
Puisque cet endroit ne te dis rien, on va aller manger un bout au Ristorante.
Boubouch avait, depuis quelques jours, annoncé un Quizz ce Lundi 3 Mars 2955. Ayant appris qu'une fête générale allait se dérouler ce jour là en Ville, il prévient les Binouzeux de la modification de la date.
Il annonce en même temps les différents gains prévus pour la soirée.
Chers employés de la Binouze du Plouc,
Ce Lundi 3 Mars 2955, nous fêterons le Premier Anniversaire de l'ouverture officielle de l'entreprise.
Pour l'occasion, un Grand Quizz aura lieu la veille, Dimanche 2 Mars 2955 à 21 heures.
Les Lots:
Un Schnibble débloqué par pallier de 5 participants. 3 Schnibbles au minimum garantis.
Gros Lot: 2 Schnibbles garantis + 3 Salaires de 500 struls.
2ème Lot: 1 Schnibble garanti + 2 Salaires de 500 struls.
3ème Lot: 3 Bibles + 2 Salaire de 500 struls
(+ 1 Schnibble en fonction du nombre de participants)
4ème et 5ème Lots: 3 Bibles + 1 Salaire de 500 struls
(+ 1 Schnibble en fonction du nombre de participants)
6ème, 7ème et 8ème Lots: 1 Salaire de 500 struls.
Pour tous les Participants:
Une Prime sur le salaire de 150 struls.
Apéritifs et Cocktails offerts (Tous les habitants seront invités à venir déguster le buffet avec nous).
Pour tous les Binouzeux:
Une Prime de 25 struls minimum garantis.
Règles:
Questions 1 à 10: 1 point
Questions 11 à 13: 3 points
Questions 14: 5 points
Question 15: 7 points.
Thème: Vlurxtrznbnaxl
Lieutenant de la Famille Struleone,
Unique Millionnaire
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Super, je serai là !
J'espère repartir avec les poches pleines !
Dernière modification par Tintest (2955-03-02 13:21:27)
teddy8 toujours la pour faire la fête
Les Binouzeux présents ainsi que le patron ont passé une agréable soirée. Avant de remettre les tables à leurs places, Boubouch colle une note avec le résultat pour le reste des employés.
Un Merci aux 13 participants:
Chouxfleurs, Bouzougay, Kikidamours, Lakpowa, Mamanyoyo, Romain2839, Teddy8, Tintest,
Moutarde, Joule77, Den, Baz et Spyzouks.
Avec 1 point, les gagnants des lots 5 à 7 sont Kikidamours, Teddy8 et Moutarde.
Avec 3 points, nous retrouvons Mamanyoyo en 4ème position !
Sur le podium, en troisième avec 5 points ...
3 Bibles et 2 Salaires à 500 struls sont gagnés par Baz !
En deuxième position, nous avons Lakpowa qui a obtenu 8 points !
Il repart avec 1 Schnibble et 2 Salaires de 500 struls.
Et le grand Gagnant, avec 15 points:
Qui remporte 2 Schnibbles et 3 Salaires de 500 struls !
Tous les gagnants sont invités à venir me voir en privé pour la remise des lots.
Une petite surprise pour les participants: Un salaire de 500 struls ce soir, au lieu d'une prime de 150 struls !
Enfin, une augmentation de salaire de 25 struls pour l'ensemble des Binouzeux qui n'ont pas pu être présent ce soir.
La fête a été clôturé par un apéritif offert dans les rues commerçantes de notre Ville.
Bon anniversaire à la Binouze et a bientôt pour un nouveau Quizz !
Lieutenant de la Famille Struleone,
Unique Millionnaire
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* misshoes se pointe et comme elle l'avait predit elle arriva en retard... tres en retard*
c'est dejà fini
Dernière modification par misshoes (2955-03-03 00:45:07)
**Timmy se joint à misshoes pour pleurer**
Ooh noonnn j'ai tout raté!
bllllebizz arrive comme d'habitude en retard pour travailler, c'est alors qu'il se rappelle qu'il a encore beaucoup d'autocollant à poser, il en colle donc un sur la porte d'entrée en passant, et espère que personne ne viendra l'enlever
**Pincemi avait postulé à la Binouze avec Sky, sans trop y croire. Lorsqu'elle avait volontairement tu une information importante à la Famille, Boubouch s'était montré très déçu et elle se savait bannie et blablacklistée. Mais contre toute attente, Boubouch avait répondu favorablement à leur candidature et leur avait rouvert la porte de son entreprise.
La blonde est donc heureuse d'avoir retrouvé certains bouzouks et certaines bouzoukettes. Elle savoure le plaisir de retrouver ce lieu dans lequel elle a passé de si bons moments et fait de si belles rencontres.
Ce matin, elle est arrivée tard au boulot. Bras droit, on a le droit. Après avoir brassé mollement pendant quelques minutes, Pincemi sort de sa cuve et remet sa robe courte et virevoltante, sans même avoir essuyé la bierro qui ruisselle le long de son corps.
Depuis la veille, jour de son arrivée, elle n'a toujours pas croisé boubouch. Elle attend pourtant tellement de ce moment. Mais la blonde n'est pas patiente et elle n'attendra pas plus longtemps. Elle se dirige donc vers le bureau du patron et s'apprête à toquer à la porte. Celle-ci est entrouverte, comme la plupart du temps. Cette porte là est rarement fermée et quand elle l'est, en général, Pincemi est du bon côté.
Elle prend le temps d'observer boubouch, toujours si concentré, entouré de tous ces objets coûteux et luxueux qu'il affectionne tant et qu'il ne cesse d'amasser. C'est lui qui lui a transmis ce goût du luxe et des beaux objets. Elle sourit, un pwal attendrie, puis se décide à se manifester.
Elle se racle doucement la gorge, qu'elle a profonde. Lorsque boubouch lève la tête dans sa direction, elle lui sourit timidement**
Ça fait longtemps...
Peut-être est-il temps d'en parler, tu ne crois pas ?
Je peux entrer ?
**Pincemi attend, le coeur battant, les mains emmêlées comme celle d'une colle et gienne boutonneuse et coincée devant le bogosse du lit C. Elle s'attend à être congédiée, elle espère être pardonnée**
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