Le t-shirt trippé de sueur, les cheveux gras de haine et les yeux rougeoyants de vengeance, ouah boite jusqu'au mur, un énorme Blotroflatrozoneur à la main.
Il tire trois coups sur le mur, qui suffisent à réveiller tout le voisinage, et laisser à jamais 3 larges impacts verts-radioactifs sur le "monument"
REEEEEEEENDEZ NOUS MON KAROUK OU JE VOUS JURE QUE J'ENVOIE CHACUN DE VOUS EN QUÊTE !!
*Kuppit alerté par trois énormes bruits, sort des caves pour vérifier ce qu'il se passe. Dehors il aperçoit ouah, ça faisait un moment qu'il ne l'avait pas vu*
Ah ben tiens, salut Ouah. C'est toi qui a... toqué ?
Va y rentre, je vais chercher des bierros.
**Ni vu ni connu, Azer s'infiltre chez le MLB**
Le mur du MLB ! Non m'enfin quel idée de nous envoyer là-bas ! J'vous jure, ya intérêt à ce que j'gagne quelque chose ou je fait un malheur.
**Jette un coup d'oeil à droite, un autre coup d'oeil à gauche, il prend au hasard l'un des sticker de son manteau et le colle sur le mur**
Y'a comme une odeur de bierro ... Nom de #"@!*b?/, j'ai été repéré !!!
Prochaine arrêt, les murs de la mairie
Dernière modification par Azer (2955-03-08 10:54:06)
Par dessus l'autocollant de Azer, ouah colle le sien.
Et signe "ouah" ... Ni vu ni connu.
* Suddenly re-recolle par dessus son sticker. *
bllllebizz arrive discrètement devant le mur du MLB, enjambe deux soûlards allongés par terre, gisants dans la bierro, et là, stupeur! il y a déjà un autocollant! Il regarde à droite, à gauche, personne.. il colle alors le sien par dessus afin de masquer l'ancien, et repart l'air de rien
Dernière modification par Bllllebizz (2955-03-08 12:57:18)
C'est pas ma faut, c'est à cause de la secte :
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*Sky, n'arrivant plus à retrouver Kuppit et le sticker qu'il lui avait collé dessus, se rendit à nouveau au MLB et colla un sticker identique par dessus ceux semblant déjà être empilés
La prêtresse - revenant de l'Académie - arrive au Mur pour y apposé un sticker. Malheureusement, le Mur est déjà bien rempli. Elle décide qu'il n'est pas utile d'en rajouter une couche. Elle a déjà bien assez embêté les MLBIstes aujourd'hui. Elle recommencera un autre jour.
Baluchon sur son dos, Obey en avait terminé avec sa ballade hors de Vlurx'. Ayant pris quelques plants de raki, il avait cependant passé plus de temps à l'extérieur que ce qu'il avait prévu.
Obey fredonnait...
Kiki cé kié rassasié, kiki cé kié RA-SSA,
Kiki cé kié rassasié, kiki cé kié BOU-RRÉ!
Ha qu'il fait bon, d'rev'nir chez les pochtrons,
Ha qu'il fait bon, d'rev'nir boire son litron!
Ha qu'il fait bon, d'rev'nir chez les pochtrons,
Ha qu'il fait bon, d'rev'nir boire son litron!
Cependant, à mesure qu'il avançait auprès de son Mur, il vit qu'il était recouvert par des stickers de la Secte et qu'aucun des Kamarades du MLB n'avait pris la peine d'arracher.
Obey grommela. Il savait que les MLBistes n'étaient pas les plus travailleurs de la ville... mais tout de même...
Obey savait cependant que Zorba s'en était allé. Il décida de rejoindre le QG du MLB afin de prendre des nouvelles du Mouvement et d'y reprendre du service...
Obey était arrivé auprès de son Mur sacré dans l'après-midi. Il utilisait une brosse enduite de Beurk afin de nettoyer ce qui avait été laissé là par les encapuchonnés. Il était rageur dans ses mouvements et il s'acharnait sur ce qui allait redevenir vierge après tant d'efforts. Il tournait une page de son existence à mesure que les couleurs s'effaçaient - il était déterminé.
S'essuyant les tempes gonflées par l'effort qu'il venait de produire, il fulminait.
D'un poing vengeur, il frappa plusieurs fois l’icône inanimée du Schnibble, image pourtant immobile sur une affiche qui peinait à se décoller.
Obey marmonnait.
Vous... allez... payer ... pour ... cette ... offense...
Le temple de la Secte du Schnibble sera le théâtre d’événements particulièrement difficiles à vivre pour ces satanés Schnibbleux. Puisse la Révolution me pardonner - il est des actes qui ne peuvent être tolérés...
Par ses mots, il scellait une promesse qu'il s'était fait à lui même.
Profitant de la noirceur de la nuit, Matou7 alla coller quelques affiches pour la Secte du Schnibble (la seule et l'unique Secte autorisées dans cette ville) afin de promouvoir et illuminer la bonne parole et il en apposa une solidement sur le Mur du MLB, car un MLBiste a entaché un de nos murs il y a quelque temps de cela.
T3kila, Fuyuzora, Sangtriste, Crole, Revzz, Brodik
Matou7
Prêtre du Schnibble - Secte du Schnibble
Béni-soit les Saintes écritures!
Ex-Patron de Feu Evil Piouks'
Déconnecté
**Pincemi arrive discrètement devant le Mur. Chaque fois qu'elle a eu à communiquer -berk berk- avec le MLB, c'est ici qu'elle a frappé. Hors de question pour elle d'entrer dans leurs locaux ou même d'aller plus loin dans leur quartier mal famé.
Comme elle n'a pas de bombe de peinture...**
Faudra que je demande à Kuppit de m'en filer une, un jour...
**...elle sort son rouzalèvre RougePassionBaiserArdentPourCoeurBrûlant**
Alors... keskel a dit déjà, l'Eau-Râcle ?
J'ai rien pigé
Attends, que j'me rappelle
Ah oui ! ça y est !
Le phoenix perdu... Un coeur rouge...
**Pincemi commence à dessiner**
**Elle recule pour vérifier son oeuvre, puis repart, satisfaite**
J'espère que ça plaira à Nabuee...
Quoi le Phoenix perdu ?
Vladimir, actuellement sympathisant et appartenant aux idées communistes du MLB sortait de son appartement, descendant les marches des escaliers en marbre couverts par un tapis rouge écarlate. Une pluie légère s’abattait sur la ville, quasi-vide de Zouk à cette heure-ci. C’était probablement les températures en baisse de la nuit approchante qui faisait refroidir l’humidité de Vlurx’. Il se baladait aux alentours du QG et des quartiers Pro-MLB, regarda les affiches des « pigeons Schnibbleux » puis arracha la plupart via ses deux mains (les affiches), certaines ont étés remplacées par des affiches révolutionnaires. Vladimir restait derrière l’un des murs, dans son coin, attendait une « future victime » Schnibbleuse.
« Voyons… »
*Vladimir s'assois sur un banc, et sortait son Bestouf Beurkeur*
Zorba était parti loin de la Colline, pour de longue semaines. Personne ne s'était véritablement posé la question du pourquoi il avait dû fuir la Colline ni des circonstances qui l'avait conduit à se réfugier loin de toute civilisation.
Au moment de partir, il était encore maire. Il tachait de guider les bouzouks sur le chemins de la Révolution, de les mener sur une voie juste, faite de liberté et d'égalité. Alors qu'il remplissait ses taches, conformément à sa pensée, il dû fuir, contraint et la mort dans l'âme, vers des contrées inhospitalières, vers des contrées que seul lui connaissait.
Il trouva refuge dans une communauté, réelle, imaginée ? nul ne le sait, loin de la Colline où il pu vivre conformément avec ses idéaux.
Le miracle de la Révolution lui permit de communiquer avec ses kamarades, mais malgré tous ses efforts et toute l'énergie qu'il y consacra, il ne put établir de contact viable avec eux.
Persuadé que les choses zlotaient, et sentant que le peuple avait profondément besoin de lui, Zorba quitta le Nulle-part pour revenir à la civilisation. Car il sentait en lui même qu'il n'était pas possible que le Peuple demeure sans guide, bien que cette charge devenait ô combien pesante sur ses épaules.
Zorba traversa la jungle, nu, dans le simple élément qui symbolisait sa liberté et son affranchissement de toute contrainte.
Il traversa furtivement les frontières de VLurxtrznbnaxl, qui en l'échange d'un pot de vin sont bien aisées à franchir. Et ses pas le guidèrent machinalement vers cet endroit.
Le Mur.
Le Mur du MLB. Symbole des peines, symboles des espoirs de tout un peuple qui ne voulait plus se laisser opprimer par la tyrannie des puissants. Il s'assied en face du mur. Prit dans sa sacoche qui contenait ses seuls bien sa vieille pipe qui l'accompagnait depuis de longues années de luttes. Il la bourra de raki et l'alluma, en regardant un espace vide du mur.
Le monde que nous voulons construire est encore une page blanche. c'est à nous d'y écrire la mémoire des bouzouks. Ceux ci se souviendront de nos actes, et de notre lutte quand l’ère révolutionnaire adviendra.
Zorba resta longtemps à contempler le mur, et de sa main gauche il prit de la terre et s'en enduit le corps.
Nous ne sommes que poussière éphémère en se bas monde, seules, nos idées demeurerons éternelles.
Il se leva, et lentement se dirigea vers le skwatt', afin de remobiliser ceux qui avait perdus espoir, afin d'annoncer la bonne nouvelle que, oui, la Révolution lavera toutes les fautes des bouzouks.
Dernière modification par Zorba (2955-10-17 03:21:58)
Dernière modification par Zorba (2956-02-07 02:24:00)
La Taverne avait apportée à la bouzoukette la réponse qu'elle cherchait : Pour construire son avenir, elle se devait de dire adieu à son passé. Ses pas l'avaient conduites au seul endroit de la colline ou son coeur pouvait encore battre : Devant son mur. Il était là, devant elle... Imposant, vide, seul... Triste, tout simplement. Le coeur de la Struleone se mit à battre la chamade comme s'il allait sortir de sa poitrine. Elle savait que cet adieu, signerait le début de sa nouvelle vie, et qu'il représentait la chose la plus difficile qu'elle pouvait faire. Abandonner sa part de Bouzou'nité, et fermer à jamais son coeur à ce sentiment qu'elle avait tant apprécier par le passé.
Don Struleone lui avait inculquer quelques règles simple pour survivre dans un monde de requin tel qu'une famille mafiosa. La plus révélatrice était sans doute celle qui visait à penser que l'amour et le sentimentalisme ne faisait pas bon ménage avec les affaires familiale. Déterminée à vouer son existence à l'héritage qu'il lui avait laissé, elle sorti de son sac un feuillet blanc et un stylo rouge. Comme si elle avait pris possession des habitudes de son pouète révolutionnaire, elle s'installa à même le sol sans craindre de salir ses vêtements hors de prix et commença à rédiger les mots qui l'a libéreraient.
Une fois sa missive rédigée, elle l'a relue attentivement. Les mots rouges lui procurèrent une émotion intense, au point même qu'une larme puisse s'échapper sournoisement du raz de ses cils. Elle plia le feuillet en quatre, se releva, et l'enflamma avec l'aide d'une allumette qu'elle eut du mal à craquer. Elle regarda ses mots noircir, puis disparaitre au pied de ce mur. Elle essuya rapidement la larme qui avait coulée le long de sa joue, puis pris une grande respiration : C'était fini... Elle avait fait taire la seule faiblesse qu'il lui restait.
Elle était prête.
L'escroc est tombé sur un torchon " Kanapé du Piouk [BLAZ] Maire trompé ou trompeur ? " En voyant le nom du Maire, il …
Ce torchon date de six mois ! Mais que font les journalistes dans cette ville ?!
Jetant le torchon dans la première poubelle venue, il continue son chemin d'un pas étourdi.
Super_Bulle hein ? …
Arrivant devant un mur, le Mur ? Il se dit qu'il aurait du garder le torchon finalement. Ne se souciant pas d'être au bon endroit, il se gratte le menton et observe.
Le Mur est notre toile, la bombe notre pinceau. Oui, voilà qui m'inspire … HAHA !!
Soulevant un marteau, il commence, à grands coups, à détruire la toile.
Un coup, deux coups, trois coups …
Mais où est le petit personnel quand on a besoin de lui ?
Il replace ses cheveux, puis s'éloigne du Mur.
......
Il revient avec un grappin de démolition.
Tombe le Mur ! Tombe !! HAHAHAHA !!
Son méfait accomplit, le Fêlé retourne vaquer à ses occupations.
Déconnecté
* Mojo qui se baladait dans la rue et qui était manifestement perdue comme à son habitude, arriva à WOuahlle Stritz, la fameuse rue du Mur des MLBistes... Voyant une fissure immense, elle s'engouffra dedans.
Le fameux Mur, tant de personne sont passés devant, mais qu'il y a-t-il derrière? Mystère et boule de gomme, Il faut absolument que j'aille zyeuter un coup.
* Ce qu'elle vit la laissa sans voix, elle revint stupéfiée! Dans ses bras se tenait un bouquin qu'elle avait trouvé au-delà du mur dans la poussière...
Doux Schnibble! C'est impossible! Comment ce fait-ce? Non, non et non, ce ne peut-être vrai! Et quel drôle de livre que voilà!
* Mojo retourna derrière le mur pour s'assurer qu'elle n'avait pas halluciné...
Que? Qu'ouis-je? Qu'est-ce? Splendide et pourtant terrifiant... Vite filons!
* En revenant, elle ramassa quelques objets qui trainaient par terre devant le mur.
Tiens donc, voilà un certificat de garantie zig ans pour un grappin de démolition, ainsi que quelques cheveux verts... Mmmhh bizarre... quelle idée d'avoir des cheveux verts, alors que le pourpre fait tellement plus élégant et naturel... tout cela est bien étrange... Il faudra regarder cela de plus près...
Mais tout d'abord retour à l'akadémie pour étudier ce livre mystérieux déniché par delà le Mur!
* Mojo retourna fissa retrouver son bural à l'akadémie.
Dernière modification par Lady_Mojo (2957-07-04 19:11:59)
"Le mur du MLB est tombé".
C'est ce que Gildass a entendu pendant sa pause, entre deux tags.
Le MLBiste a donc rassemblé du materiel nécéssaire à la réparation de ce grand mur. Il ne faudrait surtout pas que les secrets du clan révolutionnaire, stockés derrière le mur, tombent entre de mauvaises mains...
Entre le recueil de chants révolutionnaires conservé pour l'ultime révolution, un enregistrement du discours fondateur du MLB, la recette du pudding révolutionnaire, et même un véritable aspirateur à corruption... Les secrets du MLB sont trop précieux.
Gildass arriva donc devant le mur avec une b'roue-hete et des sacs de 6-ment. Il n'était pas le premier MLBiste à s'atteler à reconstruction du mur, d'autres étaient déjà là.
L'urgence était à la reconstruction, plus tard viendraient les représailles...
Déconnecté
Danaeis traînait devant le mur, comme souvent lorsqu'elle cherchait l'inspiration révolutionnaire. Elle passa respectueusement la main dessus. Sur ce mur s'étaient succédé tant de Révolutionnaires qu'elle aurait aimé connaître. Il se dressait là, tel un symbole inébranlable de l'engagement des Kamarades. Il en restait des morceaux intacts et colorés par les bombes de peintures, qui avaient résisté à sa quasi destruction.
Mais le mur avait été reconstruit, car rien ne pouvait détruire la Révolution. Et puis le grand endormissement s'était abattu sur les Kamarades, et personne n'avait écrit dessus depuis. La zoukette trouvait cela navrant.
Elle médita sur ce qu'avait été le MLB à travers le temps, elle pensa à ce qu'il était en ce moment, et imagina ce qu'il serait dans le futur. Ce qui était certain, c'est que le grand endormissement avait prit fin, et qu'il fallait que le mur renaisse, et redevienne le lieu d'expression de la révolution.
Elle passa encore une fois ses doigts sur le béton froid et soupira.
Il est temps maintenant.
Elle sortit des bombes de peinture de sa poche, se dressa en souriant devant le monument et écrivit une gigantesque inscription en rouge vif. Elle laissa ensuite son inspiration parler à travers la peinture, et y ajouta un dessin représentant à ses yeux parfaitement le passé, le présent et le futur du MLB.
Gloire à la Révolution. Gloire à Zorba, le Leader Eternel.
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