Le Mur
Espace libre, dédié aux pouètes, aux artistes ou aux penseurs. Le Mur est notre toile, la bombe notre pinceau.
Le Mur
Manuscrit de nos joies, de nos tristesses et de notre espoir: la Révolution.
Le Mur
Support de notre propagande visant à libérer le peuple.
Le Mur
Un espace ouvert aux talents des bouzouks et bouzoukettes.
Pouèmes, citations, tags, dessins, le mur est l'espace de Liberté du plus pur réalisme prolétarien, où chacun peu venir s'exprimer.
Le Mur, parle de lui même, nul besoin de le commenter.
Le "Mur" : Obey ne le conçoit pas comme les autres murs. Ce n'est pas une limite entre deux propriétés, un symbole du capitalisme qui sépare le riche du pauvre. Ce "Mur" brise les barrières. Il laisse libre cours à l'inspiration de tous. Il crée des liens, laisse place au débat artistique, permet "LA Révolution artistique". Il ressuscite l'âge d'Or dans lequel l'expression passait par les mots et s'inscrivait dans la pierre afin de ne laisser personne indifférent.
J'irai poser quelques verres à côté du mur, et quelques vers sur le mur. J'ferai ça une fois que j'aurai dilapidé les dons du Maire en Raki et en Bierro. Je pense vouer un culte au MUR très prochainement...
Si l'envie de travailler te prend, assied toi et attend que ça passe.
Ode à la déchéance.
Une distribution de bierro's. Ils ont appelé ça "l'apéro"
Mais sans un sou en poche, Nom d'un Zlot' j'ai raté le coche.
De retour au QG, les amis, ces dépravés,
Camarades et proches, tous enivrés - et moi et moi... toujours pas bourré.
La soirée passe, la nuit défile,
Et devant le Mur, mon esprit - stérile.
Comment l'avouer... pouète je l'étais,
Mais uniquement imbibé, saoul, alcoolisé.
Je me pose donc, et je réfléchis,
Je contemple les étoiles, je respire, je vis.
J'ai beau être un camarade, fier et illuminé,
Sans raki, comment me concentrer?
Tigroo passe et beugle à mon attention, visiblement heureux d'une journée de dons,
S'étant miné toute la soirée, il ne me reconnait pas, quel empaffé!
Hé brave Zouk' lui répondis je, Assez de bibine pour partager?
*'ai pu à boireuuh, S*pèce de Crocomouth... chut, j'retourne aux Ateliers!*
Le Soleil se lève, et découpe le Mur,
Et le vent me souffle dans un murmure,
Tu es né pour écrire, n'oublie pas c'est un don,
Ecoute, retranscris , jamais tu ne perdras l'inspiration.
La partie du Mur destinée à Obey est toujours vierge, mais qu'importe, la méditation a porté ses fruits,
Déterminé à inscrire son nom dans l'histoire, il caresse le Mur et le séduit.
Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse?
Qu'importe le support, les rimes ne sont que richesses.
Quiconque se prononce en faveur de la voie des réformes légales, au lieu et à l'encontre de la conquête du pouvoir politique et de la Révolution, ne choisit pas en réalité une voie plus tranquille, plus sûre et plus lente, conduisant au même but, mais un but différent, à savoir, au lieu de l'instauration d'une société nouvelle, des modifications purement superficielles de l'ancienne société, non pas la suppression du salariat, mais le dosage en plus ou en moins de l'exploitation.
Un petit tour au Club te ferait le plus grand bien
Quand un révolutionnaire tombe, il y a toujours dix mains pour ramasser sa bombe.
Pis*e sur le mur
Se soulager sur un mur est le premier acte de désobéissance à l'ordre établit.
Brave enfant. Contestataire en urinant. Bien joué!
Prévenir.
Aujourd'hui les compiouteur du MLB se sont fait hacker
Peuple de Vlurx', entendez le chant des Camarades!
Peuple de Vlurx', venez vous joindre à nous...
Un peu de Raki prêt du mur ?
*Lineo revenant de son entrainement quotidien passa devant le mur. Censé nous protéger, selon les mythes anciens, de toutes attaques de monstre plus farfelu que les autres.
La tentation de le détruire, ne donnerait que l'envie de fuir
Soit brave à l'affronter, sans jamais un œil détourné
Que cette garde posée sur le cœur, me protège de toutes ces peurs
Irrationnelle et avide, qui ne font que tester mon égide
Reste vaincus à jamais, sous la pointe de mon épée
Puisse t-il en être l'hégémonie, Zorba et ses calomnies
N'affronte pas l'adversaire, il préfère se taire
Lorsque dans l'abysse et la pénombre, surgit cette ombre
Bien que tu penses y être préparé, te voilà désarmé
Aussi intense soit le combat, il n'en brille pas moins aux éclats
D'estocs et de bottes, garde la trompe haute
Car lorsque les joutes font rage, tu te dois de rester sage
Sans cela nul grâce, dans l'honneur qui te fais face
Au bout de nombreuses années, une victoire tente à se dessiner
Grande et triomphante, tu ne plieras devant cette tâche harassante
Aussi victorieux sois-tu, en un soupir il s'est tu
Ce qui te fait penser aujourd'hui, a cette garde qui te maintient en vie.
Le véritable remède contre le chômage est qu'il n'y ait plus de travail pour personne, mais pour chacun une place dans la société.
Cher mur, Cela fait longtemps que nous ne nous côtoyons plus, et cela me désole.
J'aimerais tant te déclamer ma flamme, mon amour, et ma passion,
Rimer, chanter, slammer, rapper, fredonner, siffloter à tes côtés...
Je reviens bientôt à tes côtés, et cela annoncera mon renouveau. Mon renouveau, et le passage à une autre étape; une étape cruciale pour le MLB...
Et voila que le Père Zorba est enfermé parce qu'il souhaitait défendre le peuple du pouvoir corrompu corrosif qui effrite la base de la Pyramide, c'est à dire VOUS, en taxant sans relâche et en redistribuant de manière désastreuse nos salaires...
Mes amis, l'heure est venue pour moi d'agir. D'agir en apposant mon nom dans toute la ville, afin de dénoncer le pouvoir mis en place. Obey. C'est ce que nous sommes obligés de faire. Obey, c'est le crédo du patronat verreux. OBEY, c'est mon pseudonyme et c'est mon cri de ralliement. OBEY, c'est le contre pouvoir qui s'impose via une terreur visuelle...
AMIS - INDIGNEZ VOUS.
Obey
Les ruelles n'étaient plus aussi agréables sans les Kamarades Zorba et caCtus. Certes, les nouveaux sympathisants et membres venaient grossir les rangs du MLB de jours en jours, mais les Kamarades Zorba et caCtus donnaient l'impulsion au Mouvement. Il le savait. Ils le savaient.
Obey s'approcha du Mur déjà bien griffonné par son Compère Zorba et lui même. Il laissa aller ses doigts sur les différents matériaux afin de s'en imprégner. Il souhaitait communiquer avec le Mur, et communiquer avec Zorba par ce Mur. Mais il le savait. Le Mur ne pourrait pas communiquer. C'était avant tout un simple mur, un mur comme il y en avait beaucoup dans la Maison du Bonheur. Un Mur certes abîmé par le temps, mais un simple mur tout de même.
Obey enleva délicatement ses doigts de son Mur. Comme s'il lui témoignait une forme de respect. Un rituel chaste et pieux entre deux individus égaux. Il savait que ce Mur apporterai la sagesse aux générations futures, comme peut le faire l'Académie, ou la Bibliothèque bien fournie de la CCE.
Il sorti humblement de sa besace une affiche. Il la colla délicatement sur un pan du Mur encore vide.
Obey s'en retourna - sans un mot. Il lui fallait un entretien avec la Mairesse Bourikette pour que ce trouble cesse.
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