Un vieux zouk à moustache s'approcha de Karambo qui, n'ayant pas tout à fait retrouvé ses esprits, le laissa faire. Elle le dévisagea, tentant de comprendre pourquoi il avait l'air à la fois si épuisé et paniqué. Ne trouvant pas d'explication, elle se concentra simplement sur sa peur. Il était effrayé à l'idée de perdre quelqu'un. Sa peur était tout à fait perceptible pour Karambo. Inconsciemment, elle s'approcha de kah pas, ouvrant son esprit au zouk pour recueillir ce qui le terrorisait, et faire de lui le légume vide d'émotion qu'il était destiné à devenir.
Puis il parla. La blafarde suspendit ses gestes, et le regarda enfin réellement. La zoukette de sa vie? Alors c'était elle qu'il avait peur de perdre? La peur de Bubool ricocha sur Karambo, mais ses sentiments pour elle trouvèrent le moyen d'atteindre son esprit. Sa tête se mit à tourner et elle porta kah main à ses lèvres, puis murmura.
" Bubool. "
Les souvenirs de Karambo faisaient pression pour revenir. Mais elle n'en voulait pas, c'était trop douloureux. Profitant du lien fin qu'elle continuait d'entretenir avec Bubool, elle renvoya vers lui ces souvenirs. L'abandon de l'être cher, le départ de kah membre de sa famille, qui l'avait toujours soutenue. La peine cherchait à l'atteindre. Elle la repoussa plus fort, et envoya vers tous les zouks présents la tristesse qu'elle avait ressentie au départ de Pincemi, incapable de trouver du réconfort chez nul autre que Cecilia et son île diabolique.
Dedel regarde avec un sourire en coin la pathétique tentative de drague du Bubool.
Il aimerait bien lui montrer comment fait un zouk, un vrai, mais il a quand même conscience que c'est pas le moment d'aller galocher le fantôme de Karambo à sa place.
Alors il le pousse d'un geste faussement maladroit pour qu'il lui tombe dans les bras.
Oups !
Gnark gnark gnark !
C’est vrai que Christox était mignon. Mais ce n’était pas ça qui ferait culpabilisé Cécilia. Et Cécilia, c’était elle. Elle écouta tout de même les explications de son zouk et se laissa entraîner, quoi que méfiante (elle avait reçu l’invitation elle aussi, après tout), vers les tristes festivités. Elle reconnut tout de suite Bubool, le preux chevalier en armure blanche. Elle roula des yeux et plissa la trompe avec un léger dédain.
Ils ne te comprennent pas comme moi…
L’ombre de la Lady, si enveloppante.
Bubool après avoir spontanément lâché ces quelques mots attendait une réponse, figé, crispé et le regard planté dans celui de Karambo. Une réponse, un signe, un clignement d'oeil, un léger sourire.. N'importe quoi qui pourrait témoigner de la persistance d'une quelconque trace de la Karambo qu'il a connue. La voyant comme perdue dans ses pensées, en pleine réflexion au plus profond d'elle même, Bubool se met à espérer... Espérer entrevoir une infime marque de joie, de vie, de couleur émerger de ce corps pâle et froid.. La gifle est rude, sèche, cinglante : plutôt que la chaleur tant attendue c'est une vague de désespoir et de tristesse abrupte qui frappe Bubool de plein fouet. Vacillant, il s'accroche à sa canne, ferme les yeux et se laisse envahir par la peine de Karambo quant tout à coup une petite pression vicelarde venant d'un vicelard qui mérite des baffes dans son dos le pousse vers la zoukette. Bubool se retrouve avachi dans les bras de Karambo et sent la froideur de ce corps kilakonuplucho. C'est le moment ou jamais. Luttant contre la tristesse qui l'envahit Bubool avec une furtivité insoupçonnée dévisse le pommeau de sa canne ...
Tu l'auras voulu, à défaut d'avoir accepté de manger des bluxtres... attention ça risque de chatouiller la gorge !
... en extrait kah plume rose bonbon la fourre dans sa propre trompe, soulève celle de Karambo, agrippe sa mâchoire, lui ouvre grand la bouche et, d'une habile contraction de la trompe maitrisée à la perfection après des années passées à casser des bluxtres à Tourneboule avec la trompe, propulse la plume rose bonbon au fond de la gorge de Karambo. Sans prendre le temps de souffler Bubool murmure les yeux humides :
Tu te rappelles du 09/02/2956? On avait compté les grazouks au clair de lune, je crois qu'il y en avait GOZ...
Pas serein pour un strul, Bubool triste mais plein d'espoir attend la réaction de la zoukette.
La peine se déversait de Karambo. Les yeux clos, elle ne pouvait pas s'apercevoir que l'assemblée s'était réduite. Mais elle luttait de plus bel pour rejeter ses peurs et ses sentiments. Elle accusa le choc dans un hoquet stupéfait lorsque Bubool lui rentra dedans. Ses peines lui revinrent de plein fouet. Elle rouvrit alors les yeux, furieuse, et se concentra uniquement sur le zouk qui lui faisait face. Elle ne ressentait plus seulement le besoin égoïste de faire subir aux autres son désarroi, mais souhaitait que lui comprenne ce qu'elle avait vécu.
Karambo arqua un sourcil lorsqu'elle vit le vieux bouzouk s’affairer sur sa canne plutôt que de lutter contre la peine qu'elle lui renvoyait. Il la mit en garde contre d'hypothétiques chatouilles, ce qui continua de surprendre la zoukette. Cela lui valu kah instant d'innatention durant lequel son aîné en profita lâchement pour propulser une étrange plume roz' au fond de sa gorge.
Elle crut d'abord qu'elle allait s'étouffer, mais le souffle ne lui manqua que kah court instant, durant lequel elle s'était crispée. Lorsqu'elle expira, elle porta kah main à sa gorge, surprise de respirer correctement. Puis ses prunelles se figèrent sur Bubool. Leur teinte vermeille subsista, dans une ultime tentative de kah partie de Karambo de demeurer ignorante et vide. Puis le rouge se délava, et il passa par un éclat rose avant de revenir à sa couleur d'origine. Le bleu, brillant et profond. Les zig azurs découvrirent le zouk devant eux. Un sourire s’immisça au coin des lèvres de la brunette, qui murmura :
« Poo. Ils était poo en fait. »
Karambo se jeta dans les bras de son zouk et le serra avec soulagement.
Bubool vit Karambo se courber un peu puis porter la main à sa gorge comme si elle allait s'étouffer. "oulekon, je lui ai offert un aller direct vers la quête". Puis... paaaaaf le choc. Le regard tourouge touroz toubleu de Karambo qui se fige dans le sien efface toutes les peines du monde mêmelahainedesStrus et empli Bubool de sérénité et bonheur. Il accueille Karambo dans ses bras, fait un petit sourire à tout ce beau monde qui est derrière pour les remercier de leur précieuse aide et aussi pour un peu narguer dedel et cecilia.
Tu m'as affreusement manqué, c'était horrible, je suis vraiment désolé de pas avoir été là pour toi quand t'en avais besoin.. Mais je crois vraiment qu'ils étaient GOZ.
On peut rester manger avec tout le monde si tu veux, Nabuee a du laisser un peu de kahtre kahre. Et il faudrait toucher zig mots à cecilia, je crois que christox aimerait bien retrouver sa zoukette lui aussi.
Dernière modification par Bubool (2956-06-23 19:33:44)
Cécilia avait regardé la scène avec une horreur toute sincère. Amoureuse, vraiment? Elle l’était vraiment..? Lady Cécilia fut presque empreinte d’une certaine jalousie. Quoi qu’il en soit, elle était furieuse que le plan de ces idiots fonctionne aussi bien. Elle avait surestimé la peine de Karambo. Sans doute.
Puis, quelque chose dans l’air nous indiquait que, quelque part, Pincemi revenait doucement de sa Quête.
Tout s’écroulait devant Lady Cécilia.
Folle de rage, elle lança un cri redoutable, qui résonna dans toute la Colline, avant de se transformer en un nuage de fumée, épais, qui ne cessait de grandir et grandir.
Soudain, une grande rasade d'eau schnibblique traversa l'espace pour arroser le nuage de fumée grise qui ne cessait de croître...
-Aaaaaaaaaaaaah bah enfin je t'ai retrouvé... Cecilia. S'écrit Nedwin tout en finissant d'arroser le nuage/Cecilia avec une de ses bouteilles d'eau schnibblique.
Le Consortiste était content d'avoir enfin trouvé l'objet de sa chasse.
Il faut dire que cela faisait un moment qu'il la suivait... Après qu'il se fut enfuit de la cave du manoir Touhpabôékifépeurh, il avait exploré de fond en comble le reste de la bâtisse sans trouver nulle trace des zig bouzoukettes Tout'pallh...
Du coup il était passé pour un débile. M
Les cils de Karambo se déployèrent et se mirent à papillonner tandis qu'elle fixait Bubool avec passion. Elle l'écouta attentivement, et se pressa davantage contre lui, à zig doigts de ronronner comme un vulgaire fait-lin.
Mais la brunette ne put se laisser aller à des roucoulades. Dans un timing parfait, Bubool lui rappela qu'il fallait songer à Cecilia, et son amie choisit justement cet instant précis pour pousser un hurlement venu d'outre tombe.
Karambo se détacha sans hâte de son zouk, puis tourna lentement la tête vers son amie à la chevelure ébène et à la peau cireuse. Le nuage épais qui se forma en lieu et place de ladite amie ne sembla pas accabler la brunette, qui commença à marcher à sa rencontre. Elle ne se précipitait pas, mais tout dans son regard prouvait sa détermination. Lentement mais sûrement, elle pénétra dans le nuage, ses bras fendirent la brume, ses mains accrochèrent une épaule, puis l'autre, et elle enlaça tendrement son amie.
" Lâche prise. Ca ira, si tu lâches prise. Mon amie. "
Soudain, une grande rasade d'eau schnibblique traversa l'espace pour arroser le nuage de fumée grise qui ne cessait de croître...
-Aaaaaaaaaaaaah bah enfin je t'ai retrouvé... Cecilia. S'écrit Nedwin tout en finissant d'arroser le nuage/Cecilia avec une de ses bouteilles d'eau schnibblique.
Le Consortiste était content d'avoir enfin trouvé l'objet de sa chasse.
Il faut dire que cela faisait un moment qu'il la suivait... Après qu'il se fut enfuit de la cave du manoir Touhpabôékifépeurh, il avait exploré de fond en comble le reste de la bâtisse sans trouver nulle trace des zig bouzoukettes Tout'pallh...
Du coup il était passé pour un Heureusement il savait rester stoïque dans ces moments là.
Donc il avait passé en revue toute la ville à la recherche de Cecilia... Bon, il l'avait vu au QG du Consulat, mais après mûr réflexion, il avait dû abandonner son plan qui consistait à Toukrahmer au Consulat pour la choper, en effet il lui semblait que c'était friser l'impolitesse et le savoir vivre.
Il avait donc attendu patiemment son heure...
...
ça avait été long pourrait on dire...
...
Bref, ayant éteint sa pipe pour plus de discrétion, il avait observé longuement la scène du piknik spiritik...
Il avait tout repéré surtout le délicieux Kahtre-Kahtre de Dedel et il ne c'était pas endormis... bon un peu...
Comme Nedwin était un incrédule, il n'avait pas ressenti la peur émanant de Cecilia, bien qu'il sentit un léger frisson.
D'une part cela pouvait être néfaste, mais cela l'avait aidé pour ce coup là, bien qu'il ne s'en rendit pas compte et qu'il pensait sottement être immunisé par un quelconque artifice de la Secte.
Comme il n'avait pas de plumes de Fumseck (zut) il s'était résolut à verser le contenu de ses fioles sur Cecilia et... advienne que pourra...
Il ne vit pas que Karambo s'était introduit dans le nuage juste avant qu'il agisse, pensant trop bien faire...
Karambo, elle avait réussit à toucher. Un bras caché dans la poussière. Une trompe cachée dans l’amertume. Des épaules puis une amie, rongée de l’intérieur. Comment le pouvait-elle seulement? Elles étaient sœurs de crime.
" Lâche prise. Ca ira, si tu lâches prise. Mon amie. "
Lâcher prise. Se laisser aller à tant d’amour ? Il n’en était pas question…Il…Elle ne pouvait pas…Elle…Cécilia. Alors que la ténébreuse Lady s’apprêtait à repousser farouchement (mais avec regret) sa douce amie, elle fut arrêté par une vive douleur. Ce fut comme un choc électrique, comme une brûlure, profonde, terrible, à lui en faire bouillir ses entrailles de l’intérieur (ragoûtant).
On l’avait piégé.
On l’avait trahi.
Lache prise.
Quand Nedwin versa sa dernière fiole, elle se sentit à nouveau foudroyer. La fumée partit dans tous les sens, s’évaporant entre les doigts de Karambo avant de tomber comme un tas de poussière à ses pieds, puis reprenant peu à peu l’apparence de la sombre Lady, quoi que visiblement affaibli.
Karambo se cramponna à Cecilia, pas décidée à la laisser se renfermer dans le cachot mental qui empêchait son amie de refaire surface. La brunette conservait tous ses souvenirs de la période encore très récente durant laquelle elle était vidée de toute émotion. Et elle avait appris à connaître et à apprécier la partie sombre de Cecilia, la Lady qui empruntait ses traits. Ce n'était pas totalement quelqu'un d'autre, c'était plutôt une Cecilia différente, vindicative, machiavélique et blessée.
Un éclair froid frappa Karambo de plein fouet, mais elle ne lâcha pas prise, contrairement au conseil qu'elle intimait à son amie de suivre.
La zoukette jeta un coup d’œil rapide alentour, et comprit que Nedwin était celui qui venait de les arroser toutes les zig. Elle paniqua kah bref instant, lorsque la fumée qui figurait Cecilia se dissipa, pour devenir poussière à ses pieds. Elle frissonna, les lèvres entrouvertes, suspendant tout geste et jugement.
Puis Cecilia reprit apparence bouzoukienne, et le souffle de Karambo recommença à soulever sa poitrine. Elle se pencha légèrement, et attrapa kah bras de son amie pour le passer autour de son épaule. La zoukette semblait très affaiblie, ce qui n'en faisait que plus mal au cœur de Karambo.
" Accepte de ne pas tout contrôler, Cecilia. Je suis là, nous sommes là. Nous ne te laisserons pas tomber. "
Nedwin observa Cecilia se convulser, ou plutôt la fumée se contorsionner avant de tomber en poussière...
Le paisible bouzouk était en état de choc. Tout son corps s'était raidit, tendue, quand la bouzoukette s'était évaporée.
-Que...
Cecilia reprit forme enfin, mais affaiblit et comme amaigris.
Le Consortiste se mordit les doigts tandis que Karambo s'agenouillait auprès de sa camarade.
Il était extrêmement gêné. Il n'avait pas pensé aux effets négatifs qu'aurais put entraîner l'eau schnibblique sur l'organisme corrompue de Cecilia.
Les épaules affaissés, les yeux vague, il espérait de tout coeur n'avoir pas fait trop de mal à la sombre Cecilia...
Faire du mal aux autres... Tel était selon lui une des pires choses, jamais, au grand jamais il ne voudrait faire du mal à quelqu'un.
Il s'agenouilla lui aussi près de la blessée, voulant s'assurer qu'elle allait bien.
Bien qu'affaiblit, la Lady restait dangereuse, mais il n'en tint pas compte, il portait encore les babioles de la Secte et ce n'était pas sa principale préoccupation.
Il ne savait quoi faire maintenant.
" Accepte de ne pas tout contrôler, Cecilia. Je suis là, nous sommes là. Nous ne te laisserons pas tomber. "Dit Karambo à Cecilia...
Nedwin pouvait être rusé, intelligent, patient et la politesse même.
Mais il ne savait rien de ce genre de situation. Fallait il rassurer Cecilia comme Karambo ? Fallait il qu'il aille chercher une plume roz' de Fumseck ?
Il resta abattu, là, ne voulant point faire plus de dégâts.
Ne pas tout contrôler.
Laisser tomber.
Sombrer, et au-delà.
«Vous…Vous ne comprenez pas…»
Pendant quelques secondes, la Cécilia d’autrefois était réapparue devant les convives. Son teint jaunâtre/verdâtre, ses yeux d’un vert schnibblique et sa vitalité (en tout cas en parti) étaient réapparues. Seule chose nouvelle était cette brûlure sacrée qui lui traversait maintenant le visage. La transformation semblait tellement inouïe que l’on pouvait se demander si les supplications de sa tendre amie Karambo avait eu l’effet escompté. Malheureusement, ce n’était que temporaire.
«Tout n’est…Tout n’est pas si simple», souffla-t-elle, l’air sérieux et lugubre, malgré le nouvel éclat (ou l’ancien éclat) qu’il y avait dans ses yeux.
«Le…Le bocal…»
Le bocal? Mais quel bocal?
«Le bocal, il…Il est dans la demeure.»
La demeure? Celle la même dont Nedwin, Cassius et les autres s’étaient échappés, autrefois, il y a peu.
«Le bocal…»
La peau de Cécilia redevint celle de la Lady puis elle s’évanouit.
Les yeux rivés sur son amie, Karambo avait patiemment et sérieusement écouté ses propos, bien qu'ils n'aient eux même rien de sérieux. Elle fronça les sourcils lorsque Cecilia disparut.
" Ca sent le piège à pleine trompe. "
Karambo se souvenait très bien de la Maison et de ce qui s'y était passé. Elle repensa à Cassius, qu'elle n'avait plus revu en ville depuis lors, et espérait qu'il en soit seulement sorti.
Pivotant pour regarder Nedwin, les cheveux, le visage et les habits encore souillés par son eau schnibblique, elle se voulut très sérieuse.
" C'est se jeter dans la gueule du loup mais, s'il s'agit d'aider Cecilia, et quoique soit ce bocal dont elle ne cessait de parler, il faut tenter le coup. "
Puis elle se tourna vers Bubool, et ajouta d'un air revanchard.
" Courras-tu à la catastrophe avec moi? "
Bubool bombe le torse, réajuste son veston, essuie son monocle, se caresse la moustache et mange une bluxtre. Charmé par ce petit regard mesquin et cette voix enfantine, Bubool tire la langue à Karambo avant de se rapprocher d'elle.
Je peux pas te promettre de courir... mais évidemment que je viens avec toi ! D'ailleurs ne t'éloigne pas trop hein, je veux pas me retrouver tout seul dans cette maison.. Enfin j'ai pas envie que toi tu te retrouves toute seule..
Bubool affiche un sourire très très peu naturel, galoche Karambo et avance d'un pas décidé vers la fameuse maison..
Nedwin resta agenouillé jusqu'à ce que Cecilia s'évanouisse.
Et comme il avait des crampes il se releva avant de bourrer sa pipe à Ta-bah.
D'un geste professionnel il prit une boîte de n'allumettes et en ripa une sur le rebord de carton.
Enfin il embrasa le Ta-bah.
Un nuage de fumée bleutée avec des paillettes de orangées s'échappa et dansa élégamment dans les airs.
-Ah ? Tiens cela ne ma l'avait jamais fais ça...
...
Mmmmmh "tenter le coup" ? Mais bien entendu chère demoizoukette. Après tout je suis un peu responsable de son état.
Arf.. Si j'avais su j'y serai resté moi au Manoir de la Go-tique.
Bubool lui, était déjà prêt et semblait bien déterminé à terminer toute cette affaire au plus vite.
Les zig bouzouks s’élancèrent dans la direction de l'abominable masure.
Nedwin leur emboîta le pas.
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