Homer sentit son neurone vibrer. Il entendit une voix résonner dans sa tête. Il reconnu son frère Jeoff. Il se concentra à son tour.
J'arrive, il y a un réparateur à la porte je le laisse entrer.
Homer se rendit à la veranda en courant et se pris la porte en pleine trompe. Il tomba évanoui devant la porte de la veranda.
Même s'ils sont dans le noir, Boubouch répond à Jeoff qui ne décolère pas.
Ce que je veux Jeoff ? Le Strul bien sur, comme tu dis ! Mais le Strul pour la Famille !
J'ai toujours agis pour la Famille ! Notre intérêt, avant le mien !
Alors qu'il avance, il fait une petite chute.
Arg ! Ce n'est pas très pratique de discuter quand on est dans le noir total !
Quand il entend Homer.
Heu ??!
C'est surement pour toi, Jeoff !
Lieutenant de la Famille Struleone,
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== Jeoff tatone encore pour essayer de trouver lesdits joncteurs. Il pense trouver l'interrupteur à joncteurs, appuie fort dessus, et entend DonStruleone pester qu'il couicquera la trompe de celui qui lui mis le doigt dans l’œil.
FLASH
Jeoff est à nouveau dans le désert de la quête. Il est accompagné du bouzouk zarbi à moitié à poil. Il entend au loin Dzim ( l'ex rockstar ) hurler qu'on ne peut pas lui triturer l'oeil comme ça. Jeoff marche en direction de la voix avec le bouzouk jusqu'a rencontrer Dzim à nouveau. ==
- Dziiiiim! Je n'ai toujours pas trouvé la raison de ma quête! Je ne sais toujours pas ce que je fais là! Et nom d'un Schnibble, c'est quoi cette chanson que t'as écrite avant de partir en quête? t'avais pu de ...
- Tu parles trop! Laisse toi guider et ils viendront! En quoi crois tu? Pourquoi t'es tu toujours battu hein?!
- Je...
- ho regarde la-bas?
== RETOUR A LA REALITE ==
Ok Boubouch...
L'intérêt des nôtres avant le tient... Alors que fait-on mon frère?
Tu sais à quel point j'aime la famille. Tu sais aussi que je ne t'obéirai jamais, mais que tu resteras mon frère!
Que compte faire la famille de moi avec ces conditions là?
Eh bien cher Jeoff.
Nous avons chacun de respect l'un pour l'autre. Je suis ton Frère, tu es mon Frère.
Si j'ai accepté la proposition du Don, c'est uniquement pour mener la Famille au succès. Tu l'as bien compris.
Ne pas m'obéir est ton choix. Je n'oblige personne à m'obéir. Ceux qui m'obéissent sont les bouzouks qui croient en moi, en nous ..
Tu es toutefois très attaché à la Famille. La Famille est elle-même très attachée à son ancien Premier Filleul.
La Famille a autant besoin de toi, que toi tu as besoin de la Famille.
Le Parrain réfléchit.
Tu souhaites garder ton indépendance, ne pas être directement lié à la Famille, si j'ai bien compris.
Nous pouvons envisager une place toute particulière et inédite pour toi. Une place pas complètement intégrée à la Famille, mais fortement liée à elle.
Qu'en dis-tu ?
Dernière modification par boubouch (2956-09-14 16:15:21)
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Et moi ?
**Dans la pénombre, personne n'avait entendu Pincemi pointer le bout de sa jolie trompe à la Villa.**
Homer se releva de nouveau, et, pendant que Jeoff discutait avec Boubouch, se glissa sans bruit près du Don. Il glissa sa main dans la poche indiquée par Jeoff. Il se saisit de l'enveloppe tant convoitée et retourna près de son frère. Il se concentra pour établir le lien télépathique.
Jeoff, c'est bon j'ai ce que je voulais. Je vais t'attendre au portail de la villa.
*Peaudzouk est resté discret après sa chute, trop la honte d'avoir fini la trompe en javel. Écoutant et observant les différents comparses , il attrapa in extremis Homer par le slop*
Les lunettes , c'est juste pour la déco . J'me suis pas vautré , je faisais un peu de Gym. *Grumph*
Mais peux-tu me dire ce que tu fais avec une enveloppe estampillé Don Struleone?
*Le vieux patiente , tenant fermement se bout de tissus humide et odorant *
[L'ancien parrain s'assoupissait, se laissant bercer par les discours de ses enfants Struleone.]
zzzZZzZ...Uuuuh.
[Jusqu'à ce qu'une voix familière le sort de la somnolence.]
zzZ...heiiiin ? Oooh ? Ma chère Pincemi, quel bonheur de vous voir ici, depuis le temps !
[Il se décale légèrement sur son sofa, tapotant l'espace libre.]
Venez donc bavarder !
**La blonde hésite un instant puis avance lentement jusqu'au canap'. Elle tape une bise au pâte riz arche et se laisse tomber lourdement, à moitié vautrée, les jambes croisées et la jupe trop courte. Elle regarde son pied, qu'elle agite machinalement.**
Alors, Don ? C'est cool, la retraite ?
[Le vieux Don passe son bras par dessus les épaules de la jeune zoukette.]
Si vous saviez ! Plus de prise de tête, plus d'affaires frauduleuses à gérer, plus de blanchiment de struls à faire... Le bonheur, je me la coule douce, ça fait du bien à la santé !
[Dit-il tout sourire avant de reprendre.]
Et vous ? Ça gaze ?
**Toujours vautrée, Pincemi écoute son mentor.**
Waaaah ça a l'air trop bien. Et vous avez l'air tellement détendu !
**Du coup, la blonde se détend aussi... peut-être un peu trop... et sort un raki de son sakamain. Elle l'allume, aspire une grande bouffée et le tend à Don.**
Moi, c'est bof, j'vous le cache pas. Votre khoma m'en a mis un coup. Un gros coup. J'ai... je... suis partie à la dérive. Au sens propre et au sens figue urée.
**Elle saute toutacoup sur Don, passe ses bras autour de son cou et y enfouit sa trompe en sanglotant**
Vous m'avez tellement manquééééééééé !!!!! Bouhouhouhououou.
Klooks, qui s'était un peu écarté de la vie de la colline ces derniers temps, était d'humeur nostalgique.
Il avait besoin de faire quelque chose de pas bien, de retrouver sa dose d'interdit.
Pendant toutes ces heures passées au Skwatt', il n'arrêtait pas de penser à elle, à cette relation aussi tumultueuse que Révolutionnaire. Klooks savait où la trouver, et il ne saurait pas dire pourquoi, mais elle lui manquait.
Planqué une fois de plus au Skwatt' à se pinter la trompe à coup d'bierros, Klooks se décide enfin à passer à l'action.
Pour la KAHière fois depuis bien longtemps, il se décide à prendre une douche et à enfiler un nouveau Zlibard et un nouveau Souit' tous propres.
Il fonce ensuite directement à la "véranda de la paix", pour retrouver celle qu'il aime autant qu'il déteste.
Une fois arrivé, il passe la tête dans l'ouverture de la porte et voit Pincemi en bien piètre compagnie.
Pas l'moment d'faire ta bluxtre-molle mon pote, va falloir assurer ! C'est qu'des nazes t'façon, ils comprendront jamais qu'une zoukette ça s'obtient pas avec un porte-strul plein, mais avec c'que t'as dans l'Zlibard !
Klooks se passe la main dans le Tifs, s'allume un p'tit raki, puis sort un p'tit miroir de sa poche pour se contempler.
Les tifs, c'est TIF-TOP ! Le raki dans la bouche, ça fait bad-zouk, elle aime ça je l'sais ! La trompe est propre, le regard toujours aussi désinvolte ! T'es bon mon pote, t'es bon !!
Klooks se fait un clin d'n'oeil dans le miroir, le range, puis se fait un auto-high-five avant de rentrer en scène.
Salut la compagnie ! On s'fait un p'tit rassemblement de trompes ridées pour s'rappeler à quel point on s'est enstrulés sur l'dos des p'tits pauvres ? C'était la belle époque hein ?
Klooks, toujours son raki en bouche, s'approche du Don Struleone pour cendrer sur son sofa, juste à côté du vieux parrain. Klooks n'a toujours pas décroché un regard à Pincemi, mais ça n'allait pas tarder.
Après avoir écrasé son mégot sur le sofa, il se retourne vers Pincemi et lui balance son regard-ravageur-spécial-zoukettes, avant de s'adresser à elle le bras appuyé contre le mur.
Tiens, mais qui voilà ! J'm'attendais pas à te voir ici...
Klooks regarde Pincemi droit dans les yeux, avec un petit sourire en coin qui voulait tout dire. Il sait qu'elle sait ce qu'il veut, mais il ne peut pas dévoiler cette aventure passée et inachevée aux yeux de tous, et certainement pas devant sa Famille. Mais il sait qu'elle comprendra...
Dernière modification par Klooks (2956-09-14 23:07:25)
[Alors que le retraité allait saisir le petit plaisir de la blondasse, il fut interrompu par l'arrivée tonitruante de Klooks. Vitouz fixe le mégot sur le sofa puis soupire.]
Fffffff... On ne sera donc jamais tranquille, c'est terrible.
[Dit-il en regardant Pincemi dans les yeux.]
**En entendant la voix de Klooks, Pincemi, le cœur battant, se redresse, se recoiffe et réajuste sa jupette. Elle oublie un instant la présence de Don, de Boubouch et même de Jeoff. Elle oublie le sentiment d'être seule et abandonnée. Elle est tentée de se lever, de lui prendre la main et de s'enfuir. Elle n'a pas le temps d'esquisser le moindre geste que Don s'agace de cette nouvelle intrusion. Son ton laisse penser qu'il pourrait bien se souvenir de certaines confessions que la blondasse lui avait fait pendant son khoma. **
Faut croire, Don.
**Elle pose à nouveau ses noeils sur Klooks et, d'un imperceptible sourire, accepte d'entrer dans son jeu.**
Moi non plus, je ne m'attendais pas à te voir.
On m'a dit que t'étais parti en Quête. Tu t'es paumé en allant au luxezouk ?
Klooks, voyant la KAHière réaction de Pincemi, se voit rassuré. Ce p'tit truk était toujours là, et il ne le laisserait pas passer.
Voyant la ZIGième réaction, tout en retenue devant le Don qu'elle admire tant, Klooks décide de la jouer fine afin de ne pas éveiller les soupçons. Il a appris avec le temps qu'il fallait se méfier des Struleone, et ne jamais leur laisser paraître la moindre faiblesse.
Il décide donc d'abord de s'adresser au Don, laissant croire qu'il était venu juste par provocation.
Eh non mon vieux Don, moi vivant tu seras jamais tranquille ! Jamais je n'oublierai ce que tu as fait subir à mes Kamarades, cette p'tite chemise ouverte te va bien, ces p'tits poils blancs qui en sortent te donnent même un p'tit air Clooneysque, mais tu restes et resteras toujours la plus grosse enflure que j'ai jamais connu !
Une fois ce petit hommage rendu, Klooks ne perd pas le nord et n'oublie pas la raison de sa venue. Il fait quelques pas en direction de Pincemi.
Il paraît que j'suis parti en quête, même moi j'me souviens plus trop ! Que j'me sois paumé, c'est possible... Pour aller où ? J'en sais rien.
Tout c'que j'sais, c'est qu'y' a des choses que j'oublie, et des choses que j'oublie pas.
Klooks se tourne vers les Struleone présents.
Et j'oublierai jamais que vous êtes une belle bande d'enstrulés, et que j'veux vous anéantir ! J'me casse, ça pue le stru...
Au moment de finir sa phrase, la trompe de Klooks se dresse en l'air.
Le... raki ? Mais ça sent bon le raki ! Je rêve ou quoi, ça s'fracasse la trompe en douce ? Sont beaux les Struleone tiens !
Klooks, voyant le raki dans les mains de Pincemi, se penche vers elle pour le récupérer. Il en profite pour lui chuchoter quelques mots ni vu ni connu.
Je t'attendrai au Skwatt', toute la nuit s'il le faut...
Klooks met alors le raki à sa bouche, puis tourne le dos aux Struleone présents et se dirige vers la sortie, en faisant un signe de "V" avec les doigts.
A plus les nazes, vous m'reverrez vous en faîtes pas ! Mais cette fois-ci ce s'ra pas pour vous taxer du raki !
Dernière modification par Klooks (2956-09-15 00:15:07)
**Avant que Klooks ne franchisse la porte, elle affecte de prendre son air méprisant, celui qu'elle lui réservait avant, quand il était kloups.**
Moi non plus je n'ai pas oublié, kloups ! Crois-moi, je n'en ai pas fini avec toi !
Je te promets qu'on se reverra. Cette nuit, je viendrai hanter tes rêves. Je suis... ton pire cauchemar...
Han c'est vrai qu'il est hyper saiksy !
**La blonde se laisse à nouveau tomber sur le canap'. Elle n'a plus son raki, pourtant, elle plane. Vautrée comme une MLBiste, elle se souvient du Skwatt', de sa puanteur, de sa crasse, de ses crasseux et se dit qu'eux savent vraiment ce qu'est la fraternité. Elle pose sa tête sur les genoux de Don. Allongée sur le dos, les jambes croisées, le pied qui gigote, elle soupire**
Il y a des choses que la Quête change, Don.
Et d'autres qu'elle ne change pas.
Eh bien cher Jeoff.
Nous pouvons envisager une place toute particulière et inédite pour toi. Une place pas complètement intégrée à la Famille, mais fortement liée à elle.
Qu'en dis-tu ?
Boubouch...
J'en dis que c'est une magouille qui roule!
== Jeoff respire profondément soulagé de l'arrangement qu'il trouve avec la famille. Il entend son frère Homer lui communiqué par télépathie qu'il dispose de la recette secrète de la gnoulze. Il se concentre un peu puis lui répond ==
Chouette! Mais pourquoi tu ne me l'as pas demandé en fait? J'en fait une photocopie quand j'ai ouvert il ristorante !
== Il s'allume un clop pour se détendre un peu et soulève ses lunettes de soleil. " Je suis dans le noir on s'en fiche... C'est fou j'ai quand même l'impression de mieux voir!" se dit-il. Il se tourne vers DonStruleone essaie d'avancer vers lui et trébuche sur Homer en train de prendre la tangente. ==
NAAAAAH KESSISPASSE!
== Il tombe grazoukement, mais est amortie par quelque chose d'imposant, ferme et tendre à la fois. Quelque chose de rassurant qui ne lui est pas étranger mais qu'il ne reconnait pas tout de suite. Les formes le rassure. Il essaie de deviner ce sur quoi il est. Il parcourt la "chose " avec sa main. ==
hum... Tiens!? je connais ça... c'est hum rond... Volumineux.... raaah je sais je sais... hum... ca sent bon... Tiens on dirait un bouton là... non c'est pas ca... hum c'est moelleux ... c'est... des boo... Pincemi tu...
salut vous... Ca va?
Homer se rendait tranquillement au portail de la villa quand il reçu une transmission de pensée de Jeoff. Il lui répondit instantanément.
T'aurai du me le dire plus tôt, ça m'aurai évité bien des désagréments.
Il reprit son chemin quand il sentit une force le retenir par le slip ce qui lui comprima le zgaigue. Il se retourna et vit Peaudzouk.
Hum ce que je vais avec une enveloppe du Don? Hum hum, ah oui ! Je l'ai trouvé au sol en partant. Tiens je te la laisse !
Homer se débâtit comme un diable et pris ses jambes à son coup.
Ouf, j'ai eu chaud. Coriace le vieux !!
[Le retraité regarde Le blondinet sortir avec un regard morne, il soupire de nouveau puis caresse la chevelure de Pincemi sur ses genoux.]
Eh bien... Un jeune zouk charmant mais fort étrange. Je n'ai pas souvenir l'avoir côtoyé auparavant... Une connaissance à vous ?
[Dit il avant d'hausser les sourcils en voyant la chute de Jeoff.]
Boubouch fait un clin d'oeil à Jeoff. Ils se sont compris.
Je te recontacte très prochainement. Nous allons nous réunir à la Villa bientôt.
Il voit Pincemi débarquer.
Pincemiiii !!
Il n'a même pas le temps de répondre qu'elle engage une conversation avec Don et le MLBiste.
Nous devrons nous entretenir ensemble bientôt, Pincemi !
Tu passeras bientôt à la Villa ?
Puis Boubouch se dirige vers la sortie, tout en saluant le Retraité.
Dernière modification par boubouch (2956-09-15 16:24:18)
Lieutenant de la Famille Struleone,
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**Pincemi ronronne sur les genoux de Don.**
Oui, Boubouch, je viendrais chaque fois que tu le souhaiteras, tu le sais. Tu es mon roi et je suis ta princ... OUCH... Jeoff ?! Tu n'es pas blessé ?
**La blonde s'assure qu'il va bien puis commence à entortiller une de ses mèches de cheveux autour de son doigt. Elle ne sait pas quoi répondre à Don Struleone, certaine que les sto zouks ici présents la connaissent suffisamment bien pour lire en elle.**
C'est... le chef du MLB... ça... ne vous dit vraiment rien ?
**Pincemi se revoit, le jour où elle a quitté la Villa, murmurant à la zoreille de Don ce délicieux aveu**
fricoter avec le chef du MLB. Et prendre mon pied...
[Le retraité fait un clin d'œil au Parrain en signe de salutation puis revient à la blondasse.]
- Oh, oui, je crois que ça me dit quelque chose. Ah ces djeunZs avec leur style rebelle... Ils se ressemble tous, je les confonds facilement ! C'est le chef du MLB lui ? Oukilé Zorba ?
[Dit-il l'air un peu benêt.]
**Pincemi soupire et taxe un cigare au Don.**
Ils vous ont pas fait le résumé, vos chers bébés Stru ? Maintenant que vous n'avez plus le pouvoir, ils vont vous laisser croupir ici, sans vous informer de rien.
...
Zorba est parti un temps en Quête. Klooks l'a remplacé comme j'ai remplacé Jeoff quand il a été officiellement déclaré "en Quête". Quand il est reviendu, Zorba était... comme vous... fatigué. Il n'a pas souhaité reprendre la tête des clodos, estimant que Klooks était compétent.
**Pincemi soupire. Sa voix est traînante, son corps, avachi. Ses gestes sont lents, sa pose, lascive. Elle prend quelques bouffées de cigare, tousse et, après un bref silence, reprend.**
La Quête nous change, Don. Comme le khoma. Et la mienne, d'une certaine façon, je vous la dois.
[Le vieux Don s'autorise un plaisir cigarieux à son tour, il ne dit mot pendant quelques secondes jusqu'à que la première latte soit tirée.]
mmmhpffff..... Il est vrai que je vous ai connu plus optimiste que cela, ma chère. J'espère que mes enfants ne me laisseront pas moisir tout de même, sinistre clap de fin pour un zouk de ma trempe. Enfin bon...
[Il semble pensif pendant un moment avant de reprendre.]
Votre quête... Quelle effet vous a-t-elle fait ?
**Pincemi se fait plus câline**
Je ne vous laisserai pas, moi.
...
Mon optimisme, il est parti avec vous, Don...
**Son noeil se tourne vers le vieux.**
Quel... effet ?
À quel moment, vous voulez dire ? Quand l'eau glacée a engourdi mon corps ? Ou quand elle est entrée dans mes poux monts pour me faire voguer jusqu'au Schnibble Tout-Puissant ? Ou encore quand ma conscience s'est éteinte sur une dernière pensée, me délivrant de tous mes chagrins ?
Du soulagement. Voilà l'effet que ça m'a fait. Je me suis sentie libérée délivrée d'une vie où vous m'avez abandonnée... d'une vie que je devais vivre loin de... celui à qui j'ai renoncé pour être à vos côtés. Plus d'entraves, plus de responsabilités, plus de trahisons, plus d'abandons...
Et je suis née...
On s'en fout.
...
Et sinon ? Vous ? Le khoma, c'était comment ?
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