**Pincemi git toujours au sol, inanimée.**
Blazord prend le raki de Gildass et fume tout se qui reste dedans en une bouffé.
Il regarde ensuite autour de lui le neurone embrumé par le raki et voit Pincemie allongé sur le sol.
Trouvant sa rigolo, il s'allonge a coté d'elle, roule de droite a gauche, s'étend de tout son corps comme une étoile de mer et s'endort paisiblement.
L'inspecteur ColomboW était maitenant devant la porte du skwatt'. Il remis son Kah-bas correctement puis relis ces notes.
Je pensais pas être mieux reçu ici...si il y a bien kah chose que ne changera jamais c'est le MLB. Je vais les garder à l’œil, il ne m'ont pas l'air très clair dans cette histoire...
Puis l'inspecteur reparti en direction du CdBM
Blazord arrive au skwatt plusieurs packs de bierros sous le bras.
Il monte sur une petite table et utilise ses mains pour faire un haut parleur.
S'il vous plait...
Quelques silhouette remuent sous les cadavres de bierros.
Levez vous camarades!
je vous réveil a cette heure non pas pour vous embêter mais pour vous annoncer une nouvelle.
Je viens vous annoncer que Gildass a reçu une promotion au seins du MLB, il fera maintenant parti du PolitBuro.
Il lance des bierros en directions de chaque trompe qu'il peut apercevoir et finir par en prendre une pour lui.
Aujourd'hui est donc un jour de fête.
Bienvenu au cœur du MLB camarades !
il boit cul sec sa bierro et pose les bierros restantes sur une table.
**Pincemi attrape une bierro, la boit et se rendort en marmonnant.**
Je zlote la hérarchie. Ni Schnibble, ni chef.
Gildass émergeait de sa sieste, le goulot d'une bouteille vide de bierro encore dans la bouche.
Gezgizbazz ?
Gildass cracha la bouteille qui l’empêchait d'articuler. Et écoutait Blazord annoncer une promotion, mais surtout annoncer une fête en posant un pack de bierros sur une table.
Déconnecté
**Pincemi, vautrée dans le canap', ressasse. Dans une main, une bierro, dans l'autre, une lettre. Kah gneegneegnee fois, elle l'a froissée et défroissée, elle l'a lue et relue, n'y trouvant que des mots inutiles et vides de sens.**
Regarde-les. L'ingénue machiavéliK manipulatrice et le mafieux naïf au coeur Darty chaud et au sancho. Regardez-les essayer de se donner bonne conscience après avoir piétiné mes sentiments et ma fierté.
**Pincemi, ivre, s'était mise à soliloquer à voix haute, réveillant quelques pochtrons au passage. C'est alors que Le_Facteur sonne et, sachant que personne n'ouvrira, entre. Il remet une missive à la blonde et repart, en secouant la tête d'un air désolé. La blonde ouvre, lit et s'esclaffe. Elle jette les zig missives à terre, agite sa bierro et arrose le papier, jusqu'à voir l'encre se diluer et les mots inutiles disparaître.**
Va au Diablozouk, Jeoff !
**Hurle-t-elle, pieds nus, debout sur le canapé.**
Trainant Bouchbouch derrière elle, en lui tenant fermement la main, Karambo s'arrêta devant l'entrée du Skwatt'.
" Faisons de kah pierre zig coups. Je vais te montrer le repère du MLB et le raki auquel ils carburent. "
Elle sourit et guida le no-vice à l'intérieur. Des odeurs rances se dégageaient des lieux, Karambo prit kah mouchoir Hello Zoukette qu'elle porta à sa trompe pour ne pas se sentir mal.
" Il m'est arrivé de faire le ménache par ici ... Visiblement cela fait longtemps que personne n'a vu de bas laid dans le koin. "
Karambo guida Bouchbouch entre les cadavres de bierro qui jonchaient le sol, jusqu'à la production de raki.
" Ne t'en fais pas, les mlbistes cuvent et comatent la journée, tu ne risques rien. Et si l'un d'entre eux émerge de son koma, je lui dirais que nous sommes là pour un projet pédagogiK. Il fuira immédiatement plutôt que d'avoir une reminescence des cours de Miss Augine. Imparable ! "
Elle fit un clin de n'oeil amusé au jeune zouk.
" As-tu des questions ? Oh, j'oubliais ... le raki, c'est maaal ! "
Toujours bugué par ce qu'il venait de voir au Centre Administratif, Bouchbouch rentra dans cette antre suspicieuse. Une fumée épaisse et odorante envahissait le lieu, s'infiltrant dans les trompes non averties. Les n'yeux rouges écarlates et le cervelet en vrille, Bouchbouch fut stupéfait de voir tout ces zouks allongés sur des paillasses entourés de bouteilles de bierro vides.
"On est retourné dans la Ruelle des mendiants mademoizoukette ?"
La production de Raki battait son plein, une quantité innombrable de cette plante farfelue se tenait dans ce local. Commençant à faire des liens, Bouchbouch répondit à Karambo :
"Oui, j'en ai une ! C'est cette chose que le maire veut légaliser n'est-ce pas ? A quoi ça peut bien servir ?"
Le raki, c'est maaal... Cet avertissement fut intriguant.
"C'est ça qui rend tout ces zouks amorphe ? Regardez, leur trompe sont toutes flagada !"
Hochant la tête d'un air dépité, Karambo maintenait le mouchoir Hello Zoukette sur sa trompe.
" Le raki et la bierro les rendent amorphes et quand ils sortent de leur torpeur, c'est pour parler taxes et struls. C'est une fixation maladive ... Et en ce moment, notre Maire est l'un d'entre eux. "
Alors qu'elle guidait Bouchbouch vers la sortie, les n'oeils de Karamb tombèrent sur un sweatshirt familier. Elle s'immobilisa et murmura :
" Et même les meilleurs peuvent sombrer dans le raki et la bierro ... ça vous bousille le neurone ... ça vous dresse contre votre propre famille ... "
Karambo se servit de son mouchoir pour s'essuyer les n'oeils, puis elle emmena définitivement le zouk à l'extérieur.
" Qui sait, peut-être qu'un jour, tu seras amené à rejoindre le MLB. Toutes leurs idées ne sont pas à jeter. Mais prend garde au raki. Il fait de la meilleure idée un dogme révolutionnaire. "
Bouchbouch ne savait pas si c'était lui ou les émanations qui lui faisait cet effet, mais en regardant Karambo, il ressentit un certain chagrin chez Karambo. Il ne sut pas très bien comment s'y prendre... Après ZIG temps de réflexion et POO tours de trompe, il décida de s'approcher de Karambo.
"Vas-y mon grand, sois pas zidiot... Dis lui quelque chose !"
Ses pas n'étaient pas sûrs. Maladroit, il tendit sa frêle main vers l'épaule de sa guide. Et...
" Qui sait, peut-être qu'un jour, tu seras amené à rejoindre le MLB. Toutes leurs idées ne sont pas à jeter. Mais prend garde au raki. Il fait de la meilleure idée un dogme révolutionnaire. "
Il se retrouve subitement dehors avec la mademoizoukette, ni KAH ni ZIG ! Décidément, les choses sont trop rapides pour Bouchbouch.
Eloh pénétra dans le repère de débauche du MLB à la recherche de sa proie.
Longeant les Cadavres de bierros, car elle ne voulait pas trop y toucher, même estompées.
D'un coup, elle perçoit la cible. Au sol, en train de pioncer paisiblement. Elle commence à courir vers lui, l'attrape par le col et le soulève.
Comment as-tu pu....
Zlote, c'est pas lui.
Bon, au moins je n'ai pas réussi à réveiller ce clodo...
Elle jette le pochtron endormie dans les cadavres de bierro qui font résonner un bruit de Fracas dans la zone.
Blazord est réveillé par les cris d'un zouks qui visiblement, n'a pas honte d'aller déranger un MLBiste qui cuve après son échec au élections.
Il se lève et voit Eloh en train de maltraiter un de ces camarades.
Il s'avance vers la zoukette et lui tend une bierro.
Prend, sa t’empêchera de crier pendant que tu la bois.
Mais dit moi, que fait tu donc ici?
Il s'allume un raki et attend la réponse.
Eloh prend la bierro, puis jette la bierro vers l'endroit où elle à déjà jeter l'autre individu.
Tu es suspecté d'être coupable de la disparition de la Candidate Mojo-Hito.
Pire !
Tu es coupable d'être suspecté de la disparition de la Candidate Mojo-Hito lors des élections.
Eloh croise les bras, et bien que l'on ne puisse distingué son regard, on sent qu'il juge de toute sa hauteur.
Tu vas me dire pour qui tu bosses et ce que tu as fait d'elle.
Blazord ne lâche pas la bierro des yeux et la voit s’exposer contre un mur.
Énerver et encore la tête dans la trompe, il prend Eloh par l'épaule.
Non mais tu pense que c'est qui qui va nettoyer ton bordel la?
...
Personne?
...
Oui personne et alors?
J'en est marre que tout soit sale à cause des zouks bizarre qui débarque pour nous accusé de tout et n'importe quoi.
Il tire une latte de son raki pour se concentrer.
Mojo-hito?....
Je l'ai vue le jour où je suis aller faire ma propagande, elle était en train de plier bagage.
Après bien sur que c'est mo.....
Il regarde Eloh et ressens son regard pesant.
Il hésite alors et dit calmement.
Depuis plus de nouvel, désoler.
Tu devrais demander a Charlouks, lui qui sait tout, sera peut être ou se trouve ton... sensei ?
Eloh écarte le bras de Blazord d'un coup de main strict.
Qu'est ce que c'est que ces manière. J'ai été polie moi, non ?
Charlouks ? Il était dans ma liste de suspect... Mais donc c'est pour lui que tu bosses ?
Très bien, merci de ta coopération. Ton aide ne sera pas oubliée.
Quoique... si je n'y penses pas...
Bon à la limite, je peux oublier que tu ais fait parti des suspects.
Mais fait attention, si je découvres que tu ne bosses pas vraiment pour Charlouks... fait attention !
Compris ?
Blazord regarde Eloh sans trop comprendre ce qu'elle lui dit.
Heu......
Compris madame la ninjazouk.
Il rigole de sa propre blague et tire une taf sur son raki.
Si vous avez d'autre question, n'hésitez pas a repasser au Skwatt'.
Et allumez un raki a l'entrée la prochaine fois, sa suffira a me faire venir, pas besoin de saccager l'endroit
Gaya invite sa kamarade Pincemi à lui emboiter le pas jusqu'au Skwatt'. Les lieux sont déserts. Les embruns, eux, sont bien vivaces
Toutes les affaires dont on a besoin sont là. Il faut juste les trouver.
Gaya suit une direction, tourne, bifurque, puis se trompe, et revient sur ses pas. Elle observe son environnement.
Où ais-je mis ma trousse de toilette ... Tu crois que ça a pu intéresser quelqu'un ici?
Gaya scrute les environs. Au milieu de tout le reste, triste amas de détritus, elle tombe sur l'affiche qui annonce l'anniversaire de la Z.L.O.T.E.
J'ai promis à Blazord de venir ...mais je lui ai aussi promis de rafraichir la façade de la villa struleone...
Sujette à une intense lutte intérieure, Gaya se tourne soudain vers Pincemi. Elle croise son regard et s'en remet à elle. Entièrement à elle.
Pincemi a suivi Gaya sans sourciller, sereine. Pendant que la jeune zoukette cherche sa trousse de toilette, Pincemi l'observe, fascinée par sa jeunesse, sa beauté et sa soif de combattre. Pendant que tous les vieux croûtons du MLB s'encroûtent un peu plus au point de fraterniser avec l'ennemi, il y a elles zig, éprises de Révolution, de lutte et de bûcher. Plus une pincée d'esprit de vengeance pour Pincemi.
Où ais-je mis ma trousse de toilette ... Tu crois que ça a pu intéresser quelqu'un ici?
La blonde rit à cette idée.
À moins qu'il y ait un bain de bouche alcolisé, je ne pense pas.
Lorsque Gaya se retrouve devant un affreux dilemme, Pincemi s'émeut de sa détresse. Leurs regards se croisent et la blonde y lit un abandon et une confiance qu'elle n'avait jamais vus avant. Les zig zoukettes s'en remettaient l'une à l'autre sans une once d'hésitation. Alors Pincemi s'approche de la zoukette.
Gaya, c'est ça ?
Elle la croisait tous les jours, pourtant, elle la voyait pour la kahière fois.
Si tu vas à la fête, tu pourras tagger la chef des enstrulés. Elle est à la coop', en train de siffler nos bierros et se pavane dans nos locaux.
Si tu viens avec moi, je t'emmènerai jusqu'à la Villa des Struleone et tu pourras leur refaire la façade pendant que, grâce à mon déguisement, je tenterai de les infiltrer.
Du point de vue de la Révolution, les zig alternatives sont tentantes. Alors autant choisir celle qui l'arrange, elle. Pincemi prend la main de Gaya.
Viens avec moi.
Pincemi s'adresse à elle et Gaya l'écoute. Solennelle. D'un léger signe de tête, elle confirme son nom. Ce n'est qu'un nom. Il ne la définit pas, comme Pincemi n'est pas définie par le sien. Les bouzouks doivent s'affranchir de ces barrières.
Choisir c'est renoncer... Je suis pour les questionnaires à choix multiples.
Le raki qui sature l'atmosphère fait délirer Gaya. Ses idées se mélangent, ses pensées se changent en mots.
La chef des enstrulés a fait beaucoup de mal lors de son passage à la Z.L.O.T.E. Elle hypnotise les bouzouks. Elle a arraché à notre kamarade Gildass plus que des promesses. Sa hargne, son éclat. Depuis il erre sans but dans les couloirs. Il grogne, essaye de communiquer. Mais son feu est ...
Elle vient de parler tout haut? Incapable d' allumer un feu. Idiote.
Gaya sent la main de Pincemi glisser dans la sienne. Ses derniers mots résonnent. Viens avec moi.
Je viens avec toi.
Gaya est proche du mimétisme. Son regard est ailleurs. Il a trouvé. Gaya s'élance, bondit sur la trousse de toilette. Elle l'ouvre et en sort une panoplie de peignes et de produits issus de la végétation. Elle entame alors la transformation de Pincemi. Celle ci se termine par le prêt de quelques tissus.
Ce qui est à moi est à toi.
Je viens avec toi.
À ces mots, le coeur de Pincemi, récemment arraché, déchiré, brisé en kahgneegneegnee morceaux et piétiné se regonfle à bloc. Au même moment, la main de Gaya lui échappe pour se saisir de la trousse convoitée. Pendant que Gaya s'affaire à transformer Pincemi, la blonde essaie de dissiper le trouble engendré par cette proximité.
Ce qui est à moi est à toi.
Le coeur de la blonde redémarre. Il se remet à battre. Doucement. Elle regarde Gaya, cherchant à savoir si elle ne parle que de sa trousse de maquillage ou si c'est un peu plus que ça. Autrefois, Pincemi n'aurait pas hésité. Elle aurait pris les choses en main, elle aurait initié un rapprochement. Mais, pour la kahière fois, le blonde n'ose pas, elle ne sait pas quoi faire. Alors elle sourit à Gaya, puis affiche un air désinvolte et se dirige vers un endroit où elle pourra voir son reflet.
Voyons ce que tu as fait de moi.
Alors ? Tu me trouves comment ?
Gaya a les doigts agiles, l'oeil d'une artiste et l'âme généreuse. Elle ne s'émeut pas de son travail, scrute sa kamarade. Toujours les restes de raki qui planent dans l'air innondent son esprit.
Ils n'y verront que du feu.
Gaya marque une pause. Ce petit quelque chose qui la chiffonne. Elle comprend et s'anime, approche sa main du visage de Pincemi. Délicatement, elle replace une mèche de cheveux blond sous la perruque.
Là. Tu es parfaite.
Maintenant guide moi.
Imperieuse, dans le mot, dans le geste. Elle prend la main de Pincemi. Signal qu'elle peut prendre les choses en main.
Bouboum.......... Bouboum..........Bouboum..........
La main de Gaya dans les cheveux de Pincemi.
BouboumBouboum.....Bouboum..... Bouboum...
La main de Gaya dans la main de Pincemi.
BADABOUMBOUM
Pincemi hésite, Pincemi tergiverse, Pincemi est paralysée par la peur d'être encore rejetée. Elle essaie de couper court à ce trouble.
On a une mission...
Une mission périlleuse. Elle, ex-Pincemi Struleone, qui, autrefois, embrassa la BagouZ à VitouZ et prêta le serment d'une parfaite allégeance. Elle qui servit la Famille au point de devenir la Première Filleul intérimaire du Parrain intérimaire Boubouch, allait se jeter dans laggle du grazouk. Elle regarde Gaya un long moment. Gaya qui fait battre son coeur. Gaya qui s'apprête à défier la plus puissante et la plus impitoyable Famille de Vlurxtrznbnaxl. Et si ça tournait mal ? Si elles se faisaient démasquer ? S'ils les attrapaient Qui sait ce qu'ils leurs feraient...
Alors Pincemi ose. Pour ne pas regretter.
C'est une mission très dangereuse. S'ils nous attrapent... Ils jettent leurs prisonniers dans des caves humides, ils les séquestrent et les torturent. Ils sont plus terrifiants et plus monstrueux que la Terreur qui règne sur l'île de Sainte-Quête.
Elle marque une pause, baisse les noeils.
J'ai été une des leurs.
Elle plante son regard dans les noeils de Gaya.
Je n'ai rien à t'offrir. Rien d'autre que ça.
Elle pose la main de Gaya sur sa poitrine, là où on peut entendre son coeur tambouriner kahgneegneegnee serments bien au-delà de l'amitié.
Ça et... ce secret.
Elle murmure quelques mots à l'oreille de sa belle, s'attarde un instant pour respirer l'odeur de ses cheveux. Elle s'écarte lentement, presque pas, juste assez pour que leurs visages soient face à face, que leurs trompes se frôlent.
Je crois que c'est toi, la nouvelle vie qu'IL m'a promise.
Il me faut une nouvelle identité. Donne-moi le nom de ton choix.
Gaya reste muette. Les mots de sa kamarade sont importants. Ils portent le sceau du sacré, le sceau du secret. Qu'elle soit jetée dans une cave humide, Gaya ne parlera pas.
Tu es une kamarade très surprenante.
Ni un compliment, ni un reproche. Juste les faits. Gaya se bat pour les faibles et les opprimés. La détresse de Pincemi la touche.
Ton passé, ta mémoire, c'est une partie de toi. Tu peux changer, avancer ou te venger. Mais rien ne pourra les modifier. Les oublier... Pouvoir oublier comme on tourne la page d'un livre, c'est ...
Gaya cherche ses mots. Ça a de l'importance pour Pincemi alors ça en a pour elle. Le MLB est sa famille. Son refuge. Gaya entrouvre les lèvres, grimace, puis se jette à l'eau.
Dommage.
Avoir des souvenirs douloureux, c'est ce qui te rend vivante, et surprenante.
Gaya prend les mains de Pincemi, ferme les yeux, se concentre. Elle canalise les flux qui s'échappent de sa kamarade. Saisir son essence même est primordial.
Il te faut un nom convainquant.
Gaya murmure, rouvre les yeux. Son visage se rapproche. Ses yeux glissent dans les lentilles de couleur de sa kamarade.
Mara.. !
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