**Pincemi entre dans la taverne, son ruban de maire en écharpe. Bah oui, il fait 258° et Pincemi trouve ça frisquet. Elle s'assoit à une table et scrute intensément l'entrée. Elle a donné rendez-vous à Jean-Aimar, un jeune bouzouk qui s'est exprimé en faveur de la zoukette pendant sa campagne électorale et qui lui a proposé de tailler le bout de gras autour d'un chocolat chaud et de quelques biscuits.**
Une bierro et des kahuètes, ça fera l'affaire
Cib_R regarde i-n-c-o-n-u, qu'il ne connait pas.
D'autres robots? Chouette! Je pourrai peut être récupérer des pièces détachées sur leur carcasse!
J'accepte vos excuses! Hourra!
Cib_R regarde i-n-c-o-n-u partir et il le salue d'un geste de la main.
Au revoir! Et n'oubliez pas d'utiliser : pikouz avec modération!
Le robot s'apprête à quitter les lieux quand soudain, il vibre.
...Oh...! Je viens d'intercepter illégalement une conversation privée! Cela constitue un délit condamnable par la Bouzopolice!
...
Je vais me rendre sur les lieux pour m'excuser.
Cib_R quitte alors le bar.
Dernière modification par Cib_R (2957-03-19 16:51:10)
* Mojo dormait d'une oreille sur le zinc tout en écoutant d'un oeil la TV rayon gamma qui crachotait ses niouzes. Décuvant paisiblement de sa défaite électorale...
ZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZ....
Aujourd'hui, dans Flash Investigation, les pestes bourrées de la terrasse des nobles boivent-elles du champozouk bourré de pesticides? Un reportage de Lyamili à la rencontre de la face sombre de ce produit glamour. Superpioupiouk se dope-t-il avec des piquouz? Témoignages anonymes accablants à son encontre. Que cache le relooking de la mairesse petite_bulle? Nous ferons le point avec notre spécialiste mode Britney Sprout. Avec quoi sont coupés vos excréments de kramouth? Découvrez les résultats des analyses chimiques et de notre dégustation à l'aveugle. Flash Investigation est allé enquêté POUR VOUS! Au coeur du scandale, à tout de suite, juste après les résultats du Lohtoh.
...
Bonjour à vous, chers téléspectateurs et chères téléspectratrice bienvenu à ce nouveau tirage du Lothoh du ZigDru Schnibblhok 2957, Avec aujourd'hui une super-giga-cagnotte de 5'795 struls, Et... C'est parti pour le tirage; laisser tourner les bouboules! Avec tout de suite une première boule et le numéro Poo; La seconde boule qui déboule et le numéro Zig Et la troisième boule... qui vient... qui vient pas... qui vient... Et pour le dernier numéro, le Gnee! Notre compiouter nous indique que nous avons une grosse veinarde qui remporte la cagnotte! Félicitations à elle! Et bien fait pour les autres...
* Mojo se révèille en sursaut.
Kwah? Poo-Zig-Gnee? POOZIIGNEE? POUX-IGNÉES? C'est moi, c'est Bibi! c'est ma pomme! J'ai gagné! Yeaahhhhh! Pump It Up! You've got's some PUMP IT UP! Tournée Généraaaaaaaale!
Depechetoi entre dans le bar, arrive vers le comptoir
Bonjour cher ami, une bierro s'il vous plaît
Depechetoi se retourna et esseya de trouver des visages connus
C'était un soir d'été, où le soleil faisant place aux averses radioactives, et innondait la Colline Pourpre d'U.V.
Zorba, (qui se cachait depuis de long mois), vint s'attabler à la terrasse de la taverne des pochtrons.
Alors qu'il sirotait sereinement sa biero, entouré de bouzouks de tout horizon,
Rousta, probablement un peu éméché, sur la table du Cher Leader, vint s'attabler.
De quoi discutèrent-ils ?
De politique, assurément ! Et de la conduite des affaires de cette Colline.
Ils finissaient les chopes jusqu'à en être cuit !
Jusqu'au moment où Rousta lança un paris.
"Si tu vas dans la ruelle mendier, et que tu gagnes au bonneteau,
Dis moi ce que tu voudra, et je te l'offrirai en cadeau ! "
Sur de son fait, Zorba annonça le chiffre KAH.
Rousta tourna les gobelets, sur de son fait.
Il regarda le Révolutionnaire, tout en tournant le premier verre.
Le morphoplastoc scintilla, c'était bien sous le bol KAH qu'il se situait.
Rousta pressa Zorba de lui répondre,
Zorba prit le temps de la réfléxion.
"Je veux 60 packs de bierro ! " dit Zorba.
1 pack c'est 12 bierro ?
Ouep !
60 packs, c'est 360 bierros ?
Ouep !
1 bierro c'est 6 struls ?
Ouep !
....
Rousta partie vers de nouvelles aventures, tout en payant une bierro à la taverne au vieux Zorba.
Depuis ce jour, l'ancien leader révolutionnaire ne cessera de réclamé sa mise, pour étancher sa soif.
Lors de ce "paris", Rousta avait demandé à Zorba de choisir un chiffre... Zorba qui prenait le temps de la réflexion pendant de longs moments sortit enfin un numéro...
60 !! Or ceci est un "nombre" et non un "chiffre"... Rousta essayait de lui expliquer mais le MLBiste refusait de reconnaître son tord... Alors Rousta offrit une bierro' à Zorba avant de partir... désespéré...
*Un nouveau Bouzouk entre dans la taverne*
Bonjour !
Au revoir !
*Le bouzouk sort*
*Alors qu'elle s'apprêtait à entrer dans la Taverne, Tournesol heurte Maurkovin de plein fouet.*
Hey ! Fais un peu attention où tu vas !
*Elle hausse les épaules puis ouvre la porte de chez Zangdar, sans plus prêter attention au bouzouk et en affichant un air préoccupé.*
N'ayant pas trouvé ce qu'elle cherchait à Il Ristorante, Leela avait réfléchit quelques secondes avant de se décider à rejoindre la Taverne. Si elle n'avait du ne retenir qu'une seule chose depuis toute son enfance, c'était bien que la simplicité ne décrivez pas particulièrement bien les Struleone.
Pourtant, ce soir là, elle n'avait envie que d'une seule chose : échapper au présent pour préparer l'avenir. Il lui fallait ce soupçon de simplicité qu'elle n'avait que très peu connu et que dorénavant, elle ne connaîtrait sans doute plus jamais.
Elle passa la porte, et remarqua les habitués habituels plongés dans leurs tonneaux d'alcool bon marché. Au loin, elle aperçu Zorba qui affichait un air absent presque distrait, ce n'était pas étonnant. L'espace d'un instant, son regard fut surpris de croiser celui de Tournesol. Une si fraiche et douce bouzoukette, perdue dans un bouge malfamé de la ruelle au pochtrons n'était pas habituel... Elle hésita quelques secondes à aborder la jolie illuminé mais se ravisa : Après tout, n'était elle pas elle aussi dans cette ruelle malfamée ? Chacune d'entre elles devaient avoir une bien bonne raison d'être ici, précisément, à ce moment clef de leurs vies.
Elle se rapprocha du bar, se hissa sur l'un des hauts tabourets un peu crasseux, et commanda une bierro. Au moment ou celle ci fut servi, elle caressa les courbes de la bouteilles du bout des doigts et se remémora la dernière fois ou elle avait consommé ce breuvage. Un sourire se dessina sur ses lèvres quand l'image d'Obey apparut dans son esprit. IL était sa simplicité... Pas cet endroit, pas cette bierro. Elle se leva, laissant sa bierro pleine sur le comptoir, et reprit son chemin. Il était tant qu'elle lui dise enfin adieu.
Dernière modification par Leela (2957-06-30 22:33:26)
**N'ayant pas reçu de réponse, Pincemi a tiré les conclusions qui s'imposaient. Le silence en dit souvent plus que les mots, et la blonde commence à être habituée à cette façon de communiquer.
Aussi s'est-elle dirigée tout droit vers la taverne de Zangdar. Elle ouvre la porte d'un grand coup de pied et scrute la salle. Pas de beau blond au comptoir. Les autres, aucun risque de les croiser ici.
Elle s'installe au comptoir, commande un pack de bierros et observe les pochtrons et autres âmes qui se sont égarées dans ce bouge pourri, se demandant si les recrues Stru et les nouveaux-nés fréquentent encore cet infâme taudis.**
Gaya a pris goût à l'errance dans les rues de Vlurxtrznbnaxl. Dans les vappes, douce tradition, elle distingue une ombre. Elle la suit discrètement. Elle entre dans une taverne. Elle l'observe. Juste un instant. Prédatrice dans l'allure, elle devient soudain brebis, et s'approche.
Qu'est-ce qu'une jolie fille comme toi fait dans un endroit pareil?
Elle tappe dans le pack de bierro de sa kamarade.
Tu cherches quelque chose à te mettre sous la dent?
**Pincemi lève un sourcil circonspect, surprise de se faire draguer par une femelle, une kamarade qui plus est. Voilà une expérience inédite pour la zoukette pourtant pas farouche.**
Sous la dent ou ailleurs...
En fait, je suis là en mission, pour propager la bonne parole des clodos. Mais si je trouve un amuse-trompe avec qui trompiner, j'aurai pas perdu ma soirée.
**Elle détaille la jeune zoukette de haut en bas, l'estimant assez attirante pour une kahière expérience homosaiksuelle.**
Pour propager la bonne parole, tu devrais choisir des endroits plus fréquentés.
Gaya voit diminuer le contenu de sa bierro. Pas de quoi se formaliser. Elle ne se formalise pas non plus du regard de Pincemi quand celle-ci la détaille des pieds à la tête.
Je cherche toujours la direction de la Villa Struleone pour "propager la bonne parole" comme tu dis. Mes bombes de peinture sont en train de sécher. Je tourne en rond depuis des jours.
Se morfondre, ce n'est pas pour elle. Gaya se redresse brusquement. Le génie la touche de l'extrémité de ses mandibules.
Tu ne connaitrais pas quelqu'un qui peut m'aider?
Je cherche toujours la direction de la Villa Struleone
**À ces mots, Pincemi aussi est touchée par le génie. Elle siffle sa bierro et en entame une autre. Elle relève vers Gaya un visage radieux et affiche un grand sourire. Le sourire de quelqu'un qui a un plan.**
Je connais une blonde qui connait la Villa comme si elle y avait vécu. Qui connait ses habitants comme si elle les avait aimés. Qui connaît la soif de vengeance comme si elle avait été trahie, rejetée et abandonnée.
**Elle saute de son tabouret, avale le contenu de sa bierro cuseck, attrape la main de Gaya et l'entraîne vers la sortie.**
Mais avant d'aller tout péter, je dois me changer. T'aurais pas des cheveux à me prêter ?
Gaya reste indolente. Il faut du temps pour que l'information fasse son chemin. Le raki aide à déployer la pensée, pas à la fixer.
Il faudra me présenter cette blonde merveilleuse.
Les ennemis de ses ennemis sont ses amis. Si Pincemi n'était pas montée sur la table à cet instant, Gaya aurait pu élaborer un plan. Si elle ne l'avait pas prise par la main, elle aurait pu entamé les préparatifs. Au lieu de ça, elle se retrouve entrainée vers la sortie, envoutée, subjuguée par l'entrain de sa kamarade.
Les cheveux sont mieux au naturel.
Gaya prend un instant pour détailler à son tour la bouzoukette, les mains sur les hanches.
Pourquoi voudrais-tu... Oh. Il y a d'autres façons de se grimer. Laisse moi arranger tes cheveux. Je peux aussi te prêter des vêtements plus ...moins ... des vêtements quoi.
A son tour de l'entrainer dans son sillage.
Pincemi est subjuguée par cette zoukette qui prend les choses en main. En plus d'être brillante, elle est de toute beauté, et ça, Pincemi ne peut que respecter. Elle se laisser guider. C'est ce qu'elle a toujours voulu.
Je te suis. Arrange-moi tout ça.
*Pincemi entre dans la taverne et s'assoit à une table. Elle fait signe au barzouk qui, habitué, connaît les préférences de la zoukette. Il dépose un pack de bierros, hésite, puis décide de se jeter à l'eau.*
-Vous attendez quelqu'un ?
-Oui.
-Un zoukfriend ?
-Non, une femelle.
-Ah ? ... Oh !
-Ça pose un problème ?
-Non, non, je ne juge pas.
-C'est ça, casse-toi.
*En vérité, Pincemi a donné rendez-vous à Eylun, une zoukette croisée dans la ruelle il y a zig ou sto jours et qui avait l'air paumée. La blonde, experte en paumerie, ne peut se résoudre à laisser la jeunette seule dans la ruelle, mal famée depuis qu'elle est plus fréquentée par les Struleone que le MLB... Tout en sirotant ses bierros, elle attend.*
Ça y est, vive l'indépendance ! Enfin, presque. Eylun avait eu envie de voler de ses propres ailes. Sauf qu'elle n'avait pas bien pris en compte tout ce qui était de l'ordre des factures et compagnie pour vivre.
Au lieu de la grande maison rêvée, la voilà dans un petit studio dans la rue des pochtrons, avec un salaire lui permettant de payer le loyer et la bouffe. Déjà ça de pris !
Puis il y avait eu cette mystérieuse zoukette dans la ruelle alors qu'elle était en train d'éloigner un petit racketteur avec une piquouse chipée au boulot à la main. Parce que les bouzouks, ça stresse d'un rien, c'est bien connu !
Cette zoukette lui avait donné rendez-vous dans une taverne.
La voilà donc en ces lieux. Après un regard à la ronde, elle retrouva la zoukette mystérieuse. Eylun la rejoignit sans plus de cérémonie, remarquant le pack de bierros sur la table qui lui tire une expression amusée :
- Ouah, génial ! Vous êtes capable de descendre tout ça sans devenir ivre ?
Non, non, elle ne se moquait pas. Son admiration était sincère !
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Dernière modification par Nabuee (2957-10-03 10:05:29)
*Pincemi rit de bon coeur devant la candeur de son invitée. Elle invite la zoukette à s'assoir et pousse une bierro devant elle*
L'idée, c'est justement de toujours être ivre.
Ça fait zig jours que je passe par la ruelle sans t'y voir. J'ai eu peur que le Schnibble t'aie rappelée en te laissant Quêter de faim... D'ailleurs, si t'as la dalle et que tu as les moyens, hésite pas à en bouffer un. C'est un peu raide pour les chicots mais si tu fais passer avec une gorgée de chnoupznock, c'est tout bon. Certains disent qu'il faut pas avaler le chnoupsnock, que c'est juste en bain de bouche, mais quand t'as connu le chroptznog, le chnoupzock, c'est un délice... Et si tu te pètes une dent, surtout, avale pas un médicazouk, ça c'est pour les aimaissatés. Un pansement Hello Zoukette, ça suffit.
*Pincemi parle tellement qu'elle a la gorge sèche. Elle finit sa bierro cuseck, libère un énorme rototo et regarde Eylun en zouriant.*
Sinon, ça va ?
Eylun apprend.
Elle s'est bien rendue compte qu'elle manque encore de pratique dans sa nouvelle vie, et que pour y évoluer, il lui faut apprendre. Parce que pour l'instant, à part avoir une pikouz sur soi pour éloigner les non-désirables, elle ne savait pas grand chose !
Autant commencer tout de suite. Elle se saisit de la bierro et boit en même temps que l'inconnue.
- Ouais, ouais, ça va très bien et vous ? Merci pour les conseils. Sinon, des zoukettes dans cette rue, il y en a un pakouz. Pourquoi moi particulièrement ?
*Pincemi regarde la zoukette qui lui fait face. Elle n'a plus l'air si paumée. Elle fait glisser une zigième bierro dans sa direction et fait signe au barzouk. Il apporte un pack, fixe Pincemi et semble hésiter. Il finit par retourner derrière son comptoir, plein de regrets. Sans rien en montrer, Pincemi l'observe. Elle prend une nouvelle canette et se tourne vers Eylun.*
C'est quoi, déjà, ton nom ? On s'en fout. J'sais pas. C'est vrai qu't'es plutôt banale.
*La blonde dévisage Eylun avec un sourire narquois.*
C'est ptet cette verrue que tu as sur la trompe. On ne voit que ça, je pouvais pas te manquer.
*Pincemi se met à rire si fort qu'elle tombe de sa chaise. Elle se relève, persuadée que le barzouk l'a vue. Elle se rassoit comme si de rien n'était*
En voilà un numéro ! Ou alors c'était un test. Allez savoir.
Y'avait-il de la logique dans cette invitation ? Allez savoir également.
Dans tous les cas, Eylun préféra le prendre au jeu. Elle sourit, amusée, répliquant alors :
- "Banale", mh ? Parce que vous avez besoin de voir des gens banals pour affirmer votre originalité ?
Prétendue ou pas.
*Pincemi s'étrangle en avalant sa bierro.*
Idéalement, j'ai besoin de voir personne.
Ou presque...
*Pincemi s'apprête à se lever et se barrer, mais elle repense à sa dernière conversation avec Gaya. "Être sympa avec les autres zoukettes", qu'elle a dit. Alors Pincemi reste assise. Elle reprend une bierro, la sirote tranquillement, éructe violemment puis se lève, fais le tour de la table, se penche et approche son visage de celui d'Eylun.*
Je n'ai rien à prouver. Ni à toi, ni à elle.
*La blonde laisse Eylun et le pack de bierro derrière elle. Elle se dirige vers le comptoir, sourit au barzouk et lui indique les toilettes du menton.*
Dedel fracasse la porte d'entrée, comme un cowboy qui a la super classe. Il a le sourire de Djames Dine et la mèche d'El Vis sans tournevis.
Bon ! Ça creuse de se faire digérer par Nabuee pendant des mois !
Il va se coller à Eylun sans préavis.
Salut ! Tu t'es fait relooker par la nouvelle stagiaire de Nabuee ou quoi ? T'as du PQ dans les cheveux !
Il regarde le tas de bierros vides, avec dégoût.
Qu'est-ce que je peux t'offrir ? Pour faire passer le goût de la bierro ? Pour moi ça sera un Zouk Cola, m'sieur Du Comptoir ! Avec une paille !
Et il frappe sur le comptoir avec sa trompe.
Dernière modification par dedel (2957-10-05 15:50:11)
{Il venait tout juste de passer le contrôle de maîtresse Miss Augine, mais la ville était quelque chose de nouveau pour lui. Il se balada à droite et à gauche sans trop savoir quelle route prendre. Puis apercevant l'enseigne d'une taverne, celle de Zangdar, il décida d'entrer. La décision était complexe... il n'était pas franchement sûr de lui.}
Est ce que nous prenons la bonne décision?
Mais oui !
Ou peut-être pas qu'en penses-tu?
HEHO C'est par là qu'on partage à boire?
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